Mon amour
Ma poétesse
sur les ligues,
Ma prose
entre tes mots,
Je glisse intentionnellement
mes doigts
Sur le
clavier mes mots s’envolent dans l’air,
Je t’aime
en silence devant mon ordinateur,
Mon amour.
Loin sera
le chemin des amants poètes,
Le rendez-vous
des amoureux,
Ce déchire
chaque instant à une montre,
Chaque mot
et une prose à l’appel,
Le temps mesuré
de l’amour,
Mon amour.
Nos lignes ressemblent
à une prière,
Une foi
intense à un dieu,
Le cœur plus
fort pour l’amour,
L’amour
dans nos veines,
L’appel vers
toi, cette prière,
Mon amour.
Vient avec
moi à la nuit,
Chercher guérison
du passer,
Nous abolir
des religions néfastes,
Le cœur à
démolir les barrières,
Sur le lit
nos débâcles avancés,
Mon amour.
Le regard
sur nos lèvres,
Une chaleur
suinte nos pas,
Vient mon
amour ici nous allonger,
La nuit
sera longue aux délibérations,
Le corps allongé
à la nuit des lunes,
Mon amour.
Je t’attends
ici,
L’âme à
écrire nos envoler,
Une prose,
une feuille de souvenir,
La nuit
sera longue de chapitres,
Mon cœur au
tient,
Mon amour.
NICOLLE
Edmond le 16.09.2012
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