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lundi 30 novembre 2015

Juste un instant avec vous



Juste un instant avec vous

Nous partirons chacun de son côté,
La vie et ainsi devenu,
Une amie, un instant aux rêves,
Je suis un garçon bête,
Mes rêves m’enfoncent plus gauchement,
Juste un instant avec vous,
Juste un instant aux rêves.

Je suis ainsi habitué à rester avec mon exil,
Chanter mes lignes pour vous,
Ne cherchez plus mon visage,
 Il n’est plus pour vous,
Le temps et résolu à me cacher,
Juste un instant avec vous,
Juste un instant aux rêves.

Ma foi m’entraînant davantage vers ce ciel,
Je n’ai que lui pour mon dernier voyage,
Mourir demain, me libérer de l’amour qui me prend,
Lâchant mon corps dans cette poussière,
J’attends dans le  silence, mon immortel,
Juste un instant avec vous,
Juste un instant aux rêves.

Je n’ai que mes lignes pour vivre,
Des poèmes tant envoyés dans tous les sens du ciel,
Ma vie, je la traine sur des proses au temps en bosses,
Un ciel qui me fait silence,
 Mon ridicule convoi de mots entre vos doigts,
Juste un instant avec vous,
Juste un instant aux rêves.

Juste un instant avec vous,
Mes mots sont le miroir de ma vie,
Vous ne pouvez plus en distinguer les sens,
Ils ne sont déjà que morts avant moi,
Non-non, je ne suis plus qu’une plume à vous énoncer,
Juste un instant avec vous,
Juste un instant aux rêves.

Edmond NICOLLE
Le 01.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2066

dimanche 29 novembre 2015

Regard silencieux, poétiquement posé


Regard silencieux, poétiquement posé

Une femme se cache, mystérieuse,
Je suis son pas dans ses quiétudes,
Un cri venant de la nuit, son appel,
Doucement, la tête courbée vers un horizon,
Regard silencieux, poétiquement posé.

Je t’aimerais poétiquement,
Mes lignes t’emporteront à l’infini amour,
 Notre infini souffle, se réveillant à des douceurs,
Le cœur pansé aux larmes d’une histoire,
Regard silencieux, poétiquement posé.

Nous irons cacher nos silences par de baisers,
Une vie déjà dite, mainte fois sans écho,
Le temps a tant soufflé nos peines vers une abrupte,
Les falaises du cœur vidant les proies du destin,
Regard silencieux, poétiquement posé.

Vient avec moi chanter nos espérances,
Le cœur si pressant d’un amour sûr,
Le temps fera oublier nos moments prohibés de l’amour,
Dans un coin du monde, des enfants restés inaudibles,
Regard silencieux, poétiquement posé.

Nous irons philosopher en mots,
Nos mots tant soufferts d’impatience à l’amour,
Ton regard sera mon accès à tes lèvres en prières,
Ensemble unis pour un destin de lignes philanthropies,
Regard silencieux, poétiquement posé.


Edmond NICOLLE
Le 31.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2065

Non, ne rêver au rêver au poète


https://youtu.be/nurNgrdW9vE

Non, ne rêver au poète,

Il passe son temps sur des lignes,
Comme un compositeur a la nuit,
Il pleure, il rit de tout, c’est un charlatan,
Ne vous méprenez pas de lui, il est seul,
Il écrit un monde sans mots plus en poésie,
Non, ne rêver pas au poète,
Il finira ses jours en poésie, seule.

Je suis amoureux de vous, du monde,
Votre regard sur mes lignes, me touche,
J’ai déjà touché vos cheveux sur mes pages,
Un semblant de poésie vraie en conte de lignes,
Je vous ai aimés comme un amant d’un jour,
Non, ne rêver pas au poète,
Il finira ses jours en poésie, seule.

Il ne peut vous suivre, son amour et bien trop sensible,
Il ne reste qu’un crayon pour des rêves en notes,
Une survie de lettres, ça muse dans ses artères,
Non, ne vous méprenais pas de lui,
Nu, son seul bagage,
Non, ne rêver pas au poète,
Il finira ses jours en poésie, seule.

Son regard et le vôtre, le temps d’un récit,
Il est marié, les jours passent ainsi,
Les jours sont ceux de ces nuits à écrire,
Ne vous marier pas à un poète, c’est un rêveur,
Il ne laissera que désespoirs aux partisanes de ses lignes,
Non, ne rêver pas au poète,
Il finira ses jours en poésie, seule.

Vagabondant ainsi sur des lignes,
Le poète passant comme un vent d’une histoire,
Entraîné par des sons de notes poétiques,
Une liturgie pour un ciel de décors lyriques,
La nuit et son recueil de mots didactiques,
Non, ne rêver pas au poète,
Il finira ses jours en poésie, seule.


Edmond NICOLLE
Le 29.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2064

samedi 28 novembre 2015

Juste un jour



Juste un jour

Je t’aimerais sans savoir la raison des blessures,
La raison qui déjà nous a démontés de sens,
Je partirais sans regarder les accords troublants d’un papier,
Abandonner un instant les règles, qui déjà ne sont plus de jours,
Le temps d’un amour passé par des espérances en attentes,
Juste un jour, pour un amour à des amants solitaires.

Protégeant cette quiétude sans mots,
Nous avons besoin de partir, loin des doutes,
Un monde qui n’est plus notre à l’amour,
Je te couvrirais en silence avec des baisers pour deux,
Notre silence sera notre garde-fou au temps,
Juste un jour, pour un amour à des amants solitaires.

Je te prendrais la main, sur le chemin d’un amour,
Un rêve insoumis, loin des protocoles mystiques dites,
Loin du monde, nous nous aimerons ainsi sans pudeurs des corps,
Des âmes qui ont besoin de liberté, emprisonnées au temps,
Nos corps abandonnés entre nos mains silencieuses,
Juste un jour, pour un amour à des amants solitaires.

Je t’aimerais, abandonné aux mystiques de l’amour,
Nos corps entre les joncs de l’amour libéré, tant de fois en espérances,
Je câlinerais ton corps intimidé par des violences humaines,
Doucement, nous irons sans violence, abolir le temps à l’amour,
Je caresserais ton corps à la pulpe de tes rosées au matin,
Juste un jour, pour un amour à des amants solitaires.

Nous irons marcher sur les paysages du temps,
Les regards Mouiller de liberté, un instant,
Amour abandonnés dans le silence de nos corps,
Main dans la main pour un instant apaisant au temps,
Allongé sur un sol, le regard dans un ciel en prière,
Juste un jour, pour un amour à des amants solitaires.

Edmond NICOLLE
Le 29.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2063

vendredi 27 novembre 2015

Loin du monde



Loin du monde

Je prie ce ciel, notre pardon,
Le temps nous et donner,
Une fleur sur notre cœur,
Des pétales, nos membres,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Apporter nos âmes vers lui,
Devant cet océan, notre cœur,
Nous abandonnons, bercés par des silences,
Avec lui, le repos de nos souffrances,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Le ciel nous et offert de vies,
Lentement sur les chemins d’âges,
Oubliant les instants revêches,
Les corps en suspension au temps,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps est devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Sentiments calfeutrés de nos âmes,
Amour acrimonieux par les mots,
Un naufrage d’essences en dérives,
Les regards sur un horizon en prières,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Une main en silence,
Recul d’une douleur affaiblie,
Une fleur en silence se cachant en mots,
Des cris devenus des maux,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Le temps et devenu nos silences,
Nos corps barricadés sur des murs imperceptibles,
Un monde qui lentement, s’éloignant à nos maux,
Sentiments s’égarent expressément de solitudes sans fin,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

Expressément passe le temps en silence,
Nos êtres dans un abandon désaccordé d’un monde,
Nos regards sur un horizon de liberté,
Une main s’accordant à la tienne, à des silences de consonances,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.

J’écris des mots, nos maux,
Des assonances qui défilent à des sentiments approchés,
Le cœur expressément en oraison de missives,
Ensemble à un parchemin de lignes,
Nos sourires, nos pleurs dans des silences,
Le temps devenu notre vie en prières,
Loin du monde, notre destin pour une déambulation au temps.


Edmond NICOLLE
Le 28.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2062

mercredi 25 novembre 2015

Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer


Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer

Doucement, chaque jour, j’écris,
Un fils invisible à mon âme,
Du soleil et de la pluie à mon corps,
Je me repose sur des diras tant dit,
Ma vie et ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer.

Un ciel qui me veillant,
Je t’aimerais jusqu’à mon dernier jour,
Je passe à côté des cultures inhumaines,
Le chant de la mort, ma fuite vers ce ciel,
Ma vie et ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer.

J’écris l’amour, des lignes qui ne durent qu’un instant,
Des pleurs que j’ai laissé mourir sur le macadam,
Je t’ai aimé, tu m’as laissé sur un champ de la mort,
Un enfant qui me suit ainsi sur un ciel en prière,
Ma vie et ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer.

Je ne ressemble pas ainsi à vous,
Ma vie et un mystère pour un ciel en éloges,
Vous ne prendrez pas ma vie aux mots,
Je vous ai aimé, vous n’avez pas eu tolérance à mon égard,
Ma vie et ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer.

Je suis ce poète aux temps des poètes d’une vie,
Des lignes sont un abstrait de mon âme en recul,
Une encre tant coulée à d’indécentes poésies aux années,
Des lignes qui chantent et qui pleurent à un Dieu,
Ma vie et ainsi faite pour ressembler au temps,
Un firmament me prêtant son harmonie pour y demeurer.

Edmond NICOLLE
Le 26.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2061






  




  























lundi 23 novembre 2015

Le temps s'enfermant à la nuit


Le temps s’enfermant à la nuit

Les couples s’unissent,
Les couples se déchirent à une saison,
Les souvenirs en larmes d’une pluie,
Abondons des corps sur un lit,
Déchirure du temps entre des bras,
Le temps s’enfermant à la nuit.

Le jour devenu des silences,
Comme des nuits en appel au jour,
Floraison du temps dans un vase,
Les bruits devenus des quiétudes,
Des pétales tombent sur le sol,
Le temps s’enfermant à la nuit.

Je n’ai pas vu des saisons,
Mes pas sont mes jours,
Mes doigts accrochés sur des lignes,
Je ne veux pas m’endormir,
Je suis seul, engourdi de solitudes,
Le temps s’enfermant à la nuit.

Entrelacé de sommeil,
Des mots qui ne saisissent plus à des valeurs,
Refaire le temps à des sentiments,
Déjà, l’amour dans une fuite effréné,
Un semblant de vie dans un silence,
Le temps s’enfermant à la nuit.

Saisons qui passent,
Le cœur irréductible à un amour,
Me briser dans un amour éloquent,
Des mots devenus des caresses à mon corps,
Me revaillent dans une solitude accablante,
Le temps s’enfermant à la nuit.

Le temps est devenu un voyage,
Des mots que l’on voudrait connaitre mieux,
Arrêter le temps un instant pour un amour,
Celui qui s’échappe dans des bras,
Des pétales tombent sur le sol de la nuit,
Le temps s’enfermant à la nuit.


Edmond NICOLLE
Le 24.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2060

samedi 21 novembre 2015

Loin du monde


( Ma création)

Loin du monde

Amour fuyant,
J’ai dessiné ton corps,
 Entre mes mains, tes doigts,
S’agrippent à un amour fastidieux,
Ton regard aux miens,
Déshabillés dans une nuit bucolique,
Loin du monde,
L’amour dans des corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

Ensemble allongé,
Nos maux passeront en douleur,
Un instant à nos corps d’altérations,
Nos corps se croissent de cupidités,
Purification d’un amour caché,
Entrecroisant nos regards en silence,
Loin du monde,
L’amour dans des corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

Soumissions organiques,
Les corps en abondent,
Je t’aime, tu n’aimes,
Relationnelle envie de toi,
  Des corps en libertins,
Mon corps entre tes phalanges,
Loin du monde,
L’amour dans des corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

M’y femme m’y homme,
Convoitise des sens d’un diable,
Regard d’un homme en une femme,
Je glisse mon corps vers toi,
Abandonnant les  griefs hautains,
Le culte de l’amour caché,
Loin du monde,
L’amour dans des corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

Corps entrouverts à nos gestes,
Membres se joignant  en participations,
Raison déraison de l’amour inconvenant,
Les regards ensemble,
Jouissances des membres libérés,
Corps assouvis un instant dans le silence,
Loin du monde,
L’amour dans les corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

J’ai dessiné ton corps,
J’ai dessiné ton âme,
Je t’ai laissé mes maux,
En silence, je t’ai aimé,
Nos corps en abreuvassent,
Mes mots sur ton corps,
Loin du monde,
L’amour dans les corps libérés,
Nus d’affinités sensuelles.

Edmond NICOLLE
Le 22.11.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2059