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mercredi 30 novembre 2016

Comment ne pas aimer à la vie, à l'amour



Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour

Des mots en caresses,
Je t’aime tant par amour,
Un fluide constant à mon cœur,
Des lettres qui sont l’amour,
Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour.

Je t’aime tant sans voir mes limites,
Voir tes yeux illuminés de vies,
L’amour appelant des tendresses,
Embrasser tes lèvres ainsi,
Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour.

Ne restons pas seuls sur des lignes,
Vient me rejoindre à l’amour, à l’amitié,
J’ai besoin de partager mon amour avec toi,
Tendrement enlacer l’amitié qui nous lie,
Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour.

N’ayons pas peur de ces moments,
L’amour nous donnera une suite,
Nos cœurs enlacés à l’amour,
Apprenons l’amour à nos cœurs,
Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour.

Non, je ne suis pas fou,
Seul l’amour est mon destin,
Un chemin particulier de l’amour,
Ou le temps me presse de vous dire cet amour,
Comment ne pas aimer à la vie, à l’amour.

Edmond NICOLLE
Le 30.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2351

mardi 29 novembre 2016

Poésie de-ci delà les ombres


Poésie de-ci delà les ombres

Poète quelque part,
Sur un papier des phrases,
Litanie de proses universelles,
Les poètes de tous âges,
Poésie de-ci delà les ombres.

J’écris ce que je ne sais,
Mûre réflexion dans le vide,
Des lettres qui tombent sur du papier,
Je ne sais pas le chemin de ces lignes,
Poésie de-ci delà les ombres.

Une muse sur une plume,
Je ne sais pas qui je suis réellement,
Elle me guide sur le pas,
Son message est celui de mon avantage,
Poésie de-ci delà les ombres.

Libération des mots,
Libération de sens,
Mon corps transporté en lettres,
Je ne vois rien de ce qui se passe,
Poésie de-ci delà les ombres.

 Une encre qui coule sur mon corps,
Une mémoire saturée dans ma tête,
Je n’ai plus de place à la réflexion,
Un poète qui vagabonde sur des routes,
Poésie de-ci delà les ombres.

Je cherche un repère,
Des lignes à ma convenance,
Je ne sais pas mes atouts,
Un maître sans être maître de moi,
Poésie de-ci delà les ombres.

Je suis mes lettres,
Étrange vie, étrange façon,
Une muse qui se montre distante,
Un mariage de couple en lettres,
Poésie de-ci delà les ombres.

Je vagabonde ainsi sur des lettres,
Le temps n’est plus avec moi ici,
Une muse, mon organisme devenu qu’un,
Je n’ai pas le sens des mots,
Poésie de-ci delà les ombres.

Edmond NICOLLE
Le 29.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2350

lundi 28 novembre 2016

J'écoute le silence avant l'hiver à venir


J’écoute le silence avant l’hiver à venir

Le temps passant à des silences,
Devenant loin d’un soleil rafraîchi,
Sur mes pas, une histoire amollie,
Coule des larmes de brumes sur mon visage,
J’écoute le silence avant l’hiver à venir.

J’essuie le temps dans mes mouvements,
Doucement m’enfouissent à des feuillages clairsemés,
Un frisson me parcourant mon corps d’un automne,
Me calfeutrent d’un habit trop éthéré à cette convenance,
J’écoute le silence avant l’hiver à venir.

Déjà, la vie a disparu loin à se cacher,
Restant que quelques feuilles aux arbres,
Tourbillonnant une danse avant un hiver déjà prévenant,
Mon regard devenant à une année prochaine en feuilles,
J’écoute le silence avant l’hiver à venir.

Rouge et mélange écarlate sur des feuillages,
Doucement chantant un dernier souffle,
 Un temps d’automne pour les dernières accrochées,
Déjà, un souffle contraire arrachant leurs vies,
J’écoute le silence avant l’hiver à venir.

Il me reste ce silence de ces sous-bois,
 Cette brume cachant les arbres déjà nus,
Hâte d’arriver à une saison plus douce,
Un soleil donnant de nouvelles couleurs,
J’écoute le silence avant l’hiver à venir.

Edmond NICOLLE
Le 28.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2349

samedi 26 novembre 2016

J'ai envie de t'aimer ainsi

J’ai envie de t’aimer ainsi

Ma seule façon à l’amour,
Peut-importe les regards,
Je brûle d’un amour en folie,
Entre tes bras, mon destin,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

J’ai envie de toi,
Réveiller mes fantasmes en moi,
Je t’attends depuis longtemps,
Me perdre dans tes bras,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

Respirer ton corps,
Une leçon imaginée à ma nuit,
Tendresse d’un amour,
J’ai tant prié à cela,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

Je veux t’aimer,
Entre tes bras, mon corps,
La puissance de l’amour,
Nos corps abandonnés,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

J’ai envie de toi,
Ensemble en accord,
Vient me désirer dans tes bras,
Abolir cette faim en moi,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

Je veux être toi,
L’amour au corps,
Ensemble à vibrer en émulsions,  
Nos adjoints transportés à l’amour,
J’ai envie de t’aimer ainsi.

Edmond NICOLLE
Le 27.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2348

Les couleurs de l'amour ( bon week-end à tous)


Les couleurs de l’amour

Tendresse sur un cœur,
L’amour d’une nuit,
Profitent d’une lune,
Les corps enlacés à la nuit,
Les couleurs de l’amour.

Je voudrais me perdre avec vous,
Mon corps en silence,
Supplice tentation de l’amour,
Mon corps se pressent à vous,
Les couleurs de l’amour.

Une nuit avec vous,
Sentir votre corps au mien,
Un parfum de tant de désirs,
Mes lèvres ayant tant soif,
Les couleurs de l’amour.

Brûlez-moi de ce feu,
J’ai tant envie de vous aimer,
Mon corps a tant de cris,
Des appels à vos lèvres,
Les couleurs de l’amour.

Venez, partons enfuir l’amour,
Nos corps en des déraisons,
Folie d’un diable à nos corps,
Ce feu ardent d’un amour,
Les couleurs de l’amour.

Je veux mourir en vous,
Venez, je m’offre à vous,
Mon corps au vôtre,
Venez enflammer cette bûche,
Les couleurs de l’amour.


Edmond NICOLLE
Le 26.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2347

vendredi 25 novembre 2016

Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins


Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins

 J’ai passé ma vie à écrire,
Désir de rechercher un ailleurs,
Philosophie de mots sur du papier,
Ma vie sur des lignes sans fin,
Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins.

Mon corps aux abolitions du temps,
Doucement, le temps me faisant oublier l’âge,
Des souvenirs laissés sur des feuilles brunies,
Je passe le temps sur des feuilles naissantes,
Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins.

Je grandirai encore avec des lettres,
Une union entre moi et elles en paragraphe de mots,
Des messages qui croisent mon corps à une plume,
Me faire oublier le temps à demain à une virgule,
Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins.

Je ne cache pas mes sentiments,
Écrire est ma façon de vivre,
Mon corps et mon esprit ailleurs,
Vagabondage de lignes en poésies,
Ici ou ailleurs, ma vie sur des chemins.

Edmond NICOLLE
Le 26.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2346

mardi 22 novembre 2016

Ils m'attendent un jour beau à la nuit des étoiles

Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles

Mon corps et mon âme lavés,
Je distendrais le temps qu’il me faut,
Le poids des hommes de la honte,
L’amour que j’ai tant toléré en mal,
Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles.

Amour utopique en passage,
J’ai aimé ce qu’il ne devait pas se faire,
L’amour des hommes en violence licencieuse,
Jalousie des amours prévenants en mots égarés,
Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles.

Je me suis sali de corps et d’âme,
Le temps m’est devenu indésirable,
Le souhait de partir un jour sans mon corps,
Mon âme seule dans les silences des étoiles,
Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles.

Il me reste à trier mon propre vivant de mes décombres,
Une croix, ma liberté chérie à une Divinité intime,
Celui qui m’a tant fait en exercice à mes douleurs,
Ma foi tant affaiblie d’un amour contradictoire de lois,
Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles.

Ma vie avec le temps devient un appel plus pressant,
Mon corps lourdement sur des rouages de mes années,
Le temps se précisant à régler ma foi dans un ciel d’un livre tourné,
Mes mots s’envolent avant moi, à un Dieu complaisant à mes sens,
Ils m’attendent un jour plus beau à la nuit des étoiles.

Edmond NICOLLE
Le 22.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2342

samedi 19 novembre 2016

Mon existence est une évidence en mots

Mon existence est une évidence en mots

Une poésie sans fin,
Je ne sais plus son départ,
Des mots qui passent entre mes doigts,
De lignes à ma vie,
Mon existence est une évidence en mots.

Ne cherchez pas l’amour ici,
Il est ailleurs, je ne sais où ?
Je le cherche encore en des lignes à demain,
Mon âme en une direction incertaine,
Mon existence est une évidence en mots.

Mon corps n’est qu’une rangée de mots,
Sentiment égaré des jours en défis,
Ma raison de m’aimer entre des lignes,
Insufflant mes textes à des désirs,
Mon existence est une évidence en mots.

Je vous aime en des mots volent,
Mon âme loin d’une réalité à mon corps,  
Des mots trop appuyés en des sentiments,
Une page se tourne chaque jour vous laissent,
Mon existence est une évidence en mots.

Le temps passe à vous sans vous,
Des jours à attendre une encre à mon papier,
Insufflent d’un désir aventureux en texte de couleur,
L’amour qui saura me rendre mes lignes à vous,
Mon existence est une évidence en mots.

Edmond NICOLLE
Le 19.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2341

vendredi 18 novembre 2016

Je ne sais pas demain encore

Je ne sais pas demain encore

Des caresses au vent,
Sensation d’un souffle,
Je t’ai aimé des jours,
Mon cœur au vent,
Je ne sais pas demain encore.

Des désirs à ne plus en finir,
Aujourd’hui, le temps a changé,
Je n’ai pas changé avec le temps,
Je suis resté le même, un enfant,
Je ne sais pas demain encore.

Des jours ont passé,
Mon âge, je l’ai déjà oublié,
Une route croisée à des jours,
Une route au destin tant troublé,
Je ne sais pas demain encore.

Je n’aime pas la haine,
Ils m’ont tué déjà,
Pleuré, rire en cachette,
Des silences en cris,
Je ne sais pas demain encore.

J’ai un enfant,
Ensemble à se dire,
Tu me donnes les mots, mes pensées,
Demain, une vie à deux,
Je ne sais pas demain encore.

Ma vie passant en mots,
Demain aux énigmes,
Un soleil réchauffé mes jours,
Le poète passant à vous dire,
Je ne sais pas demain encore.

Edmond NICOLLE
Le 18.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2340

jeudi 17 novembre 2016

Serre-moi fort contre toi

Serre-moi fort contre toi

Des mots doux pour un amour,
Vient oublions le monde,
Oublions le temps de nos histoires,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi fort contre toi.

J’ai encore envie de t’aimer,
Un amour pas comme les autres,
Le temps devenu ma monotonie,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi fort contre toi.

J’ai besoin de t’aimer,
Oublier les pleurs,
Retrouver nos rires,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi fort contre toi.

Je veux retrouver notre amour,
Retrouver le temps qui s’échappe,
Une vie déférente entre nous,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi fort contre toi.

J’ai besoin de toi,
Besoin de t’aimer,
Ensemble à cette route,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi contre toi.

Vient me réchauffer,
Mon amour qui a tant besoin de toi,
Besoin d’amour, besoin d’être deux,
Vient avec moi, aimons-nous encore,
Serre-moi contre toi.

Edmond NICOLLE
Le 17.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2339

mercredi 16 novembre 2016

Entre vous et moi à l'amour

Entre vous et moi à l’amour

Des mots à vous aimer,
Dire que je vous aime,
Je suis fou bien sûr.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Dites-moi vos mots,
Vos mots,  aux miens,
Ils seront plus fous encore.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Je vous aime,
Des mots sur vos lèvres,
Chut, ne dites rien.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Mes mots sont une aventure,
Aujourd’hui, mon amour à vous,
Des mots se déposer sur votre cœur.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Je vous aime bien sûr,
Vous ne m’aimez pas,
Peu importe le jeu.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Mes mots caressent votre corps,
Sublime douceur à mes mots,
Imprégnant un parfum de vous.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

J’ose espérer un souffle,
Un regard, une tentation,
Non, je vous aime ainsi.

Ne suivez pas mes mots,
Ils sont fous comme moi,
Entre vous et moi à l’amour.

Edmond NICOLLE
Le 16.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2338

lundi 14 novembre 2016

Vent chassant d'automne

Vent chassant d’automne
Une brise dévoilant une morte-saison,
Les cris de robes au sol craquant,
Saison aux silences s’acheminant,
Une ancre entres mes doigt, la marque,
Vent chassant d’automne.

Le soleil devenant opale,
Une terre trempée d’auréole,
Un arc au loin transcende des feintes,
Un semblant d’un reste encore lumineux,
Vent chassant d’automne.

Le temps se ralentissant à mes pas,
Mon souffle devenant croisant au temps,
Un air séché à mes poumons,
Air de la terre, aire d’une saison,
Vent chassant d’automne.

Saison devenu silencieuse,
Le temps d’une immersion suivante,
Des saisons qui passeront à l’an,
À vivre ainsi sur des lignes du temps,
Vent chassant d’automne.

Je voudrais ouïr mon souffle a ces ramures,
Enregistré, un dernier souffle d’une saison,
 Criant à demain, saison future, un nouveau départ,
Le chant au travers d’une danse indéfinie des feuilles,
Vent chassant d’automne.

Edmond NICOLLE
Le 14.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2337

samedi 12 novembre 2016

Nous ne dormirons point à cette nuit


Nous ne dormirons point à cette nuit

Loin des bruits, mon amour,
Je viendrai cette nuit avec toi,
Lueur de désirs à mon cœur,
Nous irons boire des mots,
Nous ne dormirons point à cette nuit.

Je viendrai goûter tes lèvres,
Nos corps enlacés un instant,
Nous réapprendrons des désirs,
Furtifs, nous nous dénuderons,
Nous ne dormirons point à cette nuit.

Mon corps, déjà, en éveille,
Je te retrouverais dans tes parfums,
Ton sourire m’ouvrant les sens d’un appel,
Deux corps isolés à des nuits tant distancées,
Nous ne dormirons point à cette nuit.

Nous partagerons nos corps délibérés de l’amour,
Un amour fougasse aux vibrations  de nos corps,
Libérer nos émois prisonniers de tant d’exils,
Nos corps enlacés fuyant ce passé rebelle de nos pensées,
Nous ne dormirons point à cette nuit.

Je joindrai mes pas aux tiens,
Chercherons ensemble des désirs inachevés,
Nos corps s’unissent d’une ivresse suave,
Humectant nos lèvres en souffle inassouvi de l’amour,
Nous ne dormirons point à cette nuit.

Edmond NICOLLE
Le 13.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2336

Aimer encore et encore une fois

Aimer encore et encore une fois

Mon amour a tant de choses à te dire,
Mon amie, je passerais te voir,
Un jour pas comme les autres,
Enlacé, l’amour d’un jour.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour aux temps.

L’amour m’a tant laissé à la vie,
L’amour aliénable tant de fois,
Le jeu de révélations mystérieuses,
Laissant mes années sans plus.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour au temps.

L’amour s’est  foutu le camp,
Comme des feuilles tombées au sol,
L’amour comme des saisons,
J’en oublie le temps des promesses.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour aux temps.

Je ne suis pas un ange non plus,
Ma vie, je l’ai cherché tant de fois,
Chercher le but sans l’apercevoir,
Ce véritable amour à des rêves.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour aux temps.

J’ai froid à mes nuits et mes jours,
Le silence me suivant à mes pas,
J’écris des mots sans me reconnaître,
Des mots qui vous sèment dans le corps.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour aux temps.

Aimer à une folie,
Des mots qui ne vous ressemblent plus,
Des poésies qui n’en finissent plus,
L’affection qui n’est à ces jours à mon temps.

Aimer encore et encore une fois,
Chercher l’amour à tant de raisons,
Mon cœur n’étant pas ajointé à cet amour,
Les saisons s’en vont comme l’amour aux temps.

Edmond NICOLLE
Le 12.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2335

jeudi 10 novembre 2016

Ecouter l'amour avec toi à la nuit


Écouter l’amour avec toi à la nuit

Loin de nous la peur,
Je t’aimerais à toujours,
Personne ne nous entendra,
Libre de tout, à nous aimer ainsi.

Écouter l’amour avec toi à la nuit,
Des cœurs dans les silences de l’amour,
S’aimer comme jamais nous avons su aimer,
 L’amour en appétit.

Doucement nous emporter,
Aux sons des mots, je t’aimerais,
Vient, le temps se presse à l’amour,
J’inscrirais tes mots sur du papier couleurs.

Écouter l’amour avec toi à la nuit,
Des cœurs dans les silences de l’amour,
S’aimer comme jamais nous avons su aimer,
L’amour en appétit.

Je t’apporterais mon cœur,
Ensemble unissent nos destins,
Entre nos mains, une destinée,
Priant un Dieu de nous pardonnez.

Écouter l’amour avec toi à la nuit,
Des cœurs dans les silences de l’amour,
S’aimer comme jamais nous avons su aimer,
L’amour en appétit.

Je t’aimerais avec des mots qui sont miens,
Tu entendras mon cœur te dire, je t’aime,
Ensemble, nous irons au voyage de l’amour,
Doucement, je te prendrais la main à la mienne.

Écouter l’amour avec toi à la nuit,
Des cœurs dans les silences de l’amour,
S’aimer comme jamais nous avons su aimer,
L’amour en appétit.

Un amour qui n’a pas d’âge,
Une soif d’un amour singulier,
L’amour pour des cœurs seuls,
Un amour appelant à venir un jour plus réel.

Écouter l’amour avec toi à la nuit,
Des cœurs dans les silences de l’amour,
S’aimer comme jamais nous avons su aimer,
L’amour en appétit.

Edmond NICOLLE
Le 11.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2334