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mardi 27 septembre 2011

coeur en pleure

Cœur en pleure




Désespoirs,

Cœur fatigué,

Tes larmes coulent,

Sur ton cœur la mort,

Le baillions de l’enfer.



Il ne t’écoute plus,

Loin sont ses souvenirs,

Perdu le sens d’aimer,

La voix en silence,

Tu pleures.



Le téléphone parle,

Le cœur tremblant,

Ton amour à l’écoute,

Celui qui devrait être là,

Dans ce téléphone des absents.



Tu pries Dieu,

Les anges sont absents,

Seul au téléphone,

De prières éternelles,

Le supplice à l’agonie.



Le téléphone sonne,

Il n’y a plus personne,

L’amour disparu,

Lever l’ancre ailleurs,

Le cœur à chercher l’illusion d’aimer.



NICOLLE Edmond le 27.09.11

































































jeudi 22 septembre 2011

Destin

Destin




Je suis cupidon,

Le cœur à aimer,

Au désordre animé,

S’enchaîne des mots,

J’écris pour toi mon aventure.



J’ai le vertige des mots,

Ecrire pour toi,

Mêlé d’un sang lyrique,

Un texte millénaire,

J’écris pour toi mon aventure.



Un amour de passade,

Je ne t’aime plus ici,

Que seul mon âme pourrait encore t’aimer,

Une aventure sur des lignes déjà mortes,

J’écris pour toi mon aventure.



Il n’y a rien de corporel,

Il n’y a pas d’image,

Pas de parfum,

Que celle que j’aime,

J’écris pour toi mon aventure.



Celle qui m’aime est ici,

Elle me lie chaque texte,

Je l’aime ainsi à la prose,

Elle aime ainsi au poète,

J’écris pour toi mon aventure.



Je t’aime tu m’aime ainsi,

Mon destin entre tes mains,

Mes lignes entre toi et moi,

Celle que j’ai marié mes mots ma femme,

J’écris pour toi mon aventure.



NICOLLE Edmond le 23.0911











lundi 19 septembre 2011

Fidélité

Fidélité




Je t’aime,

Je ne t’aime plus,

Fidélité,

Tu pénètres à mon âme,

Je voudrais sortir,

L’enfant que je suis.



Une femme fidèle,

Trahison de mon être,

De mon corps,

Une lecture à mes yeux,

Son regard me lit,

Une femme qui m’aime.



L’amour sent va,

L’amour sent vient,

La fidélité revient,

Mon cœur à elle,

Je t’aime,

Je t’aime plus.



Je ne me connais que peu,

Plus encore pour t’aimer,

D’avantage demain,

Explorer l’amour,

Explorer ton cœur,

La fidélité en élite.



Amant marié,

De toujours à demain,

Nos chemins ensembles,

Sur Les barricades d’obstacles,

Ensemble sur des batailles,

Mieux t’aimer à la fidélité.



Je t’aime,

Nos chemin ensemble,

Le chemin à la guérison,

La confiance donnée,

Partager la foi,

Celle de t’aimer en partage.

NICOLLE Edmond le 19.09.11



dimanche 18 septembre 2011

Ne te retourne pas (3) A mon amie

Ne te retourne pas (3) (A mon amie)


Les anges passeront,

Ton corps sur le pavé,

Mouiller de mésaventures,

L’amour brisera ta foi,

Ne te retourne pas.



N’écrit pas sur le pavé,

Une pluie effacera tes traces,

La couleur de la domination,

Le sang de la douleur,

Ne te retourne pas.



Brise le temps,

D’une enfant restés,

L’amour en rêve,

Ton corps en suspend,

Ne te retourne pas.



Brise la bulle,

La domination masculine,

Fait toi femme,

Arrogante à tes mots,

Ne te retourne pas.



Poète sur les lignes,

L’ami de passage,

Je t’écris ces mots,

Des mots qui voudraient te dire,

Ne te retourne pas.



NICOLLE Edmond le 18.09.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/













jeudi 15 septembre 2011

Ne te retourne pas (2)

Ne te retourne pas (2)




Ne cherche pas,

Il te donnera,

Celui qui t’aime,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



Un jour seras nouveau,

Dans la maladie l’amour,

Tu trébucheras de ta ferveur,

Il sera là pour te soigner,

Le temps fera les choses pour toi.



Ne va pas plus vite que le vent,

Ton habillage n’est pas celui d’un l’oiseau,

L’amour te donnera des forces en lui,

Celui qui t’attend toujours,

L’homme venu d’une foi.



Non pas d’une conviction désobligeante,

Celle qui te donne la piété,

L’amour d’un dieu pour un fils,

Peu importe les raisons du destin,

Le rachat est bien mieux que l’inconnu.



NICOLLE Edmond le 15.09.11





































mercredi 14 septembre 2011

Ne te retourne pas

Ne te retourne pas (A mon amie de voyage)


Continue le chemin,

Il sera dur pour toi,

Tu sembleras fatiguer,

Tes jambes lourdes,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



La vie tu trouveras,

Entre les pleurs la liberté,

Le chagrin dans la prière,

Il écoutera ta demande,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



L’amour te sera donné,

L’effort d’avoir œuvré,

Te rendra plus forte,

L’amour d’un cœur,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



Va à ce chemin,

Suivre ton instinct,

Donne-lui ce que tu vaux,

Une femme au cœur tendre,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



Je te regarde,

Continue, la route est longue,

Je suis là pour te soutenir,

Moi qui ai voyagé,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



Mon amie de voyage,

Va que le vent t’emporte,

Dans l’inconnue du temps,

D’un amour qui te conduira à lui,

Ne te retourne pas,

Le temps fera les choses pour toi.



NICOLLE Edmond le 14.09.11



dimanche 11 septembre 2011

Le temps des brumes

Le temps des brumes




Je cherche le temps,

Les visages figés de décors,

Les souvenirs ancrés,

Une brume sur des couleurs passées,

Une teinte délavée par le temps.



Je cherche le temps,

Je peins ici et là,

Les lignes surréalistes,

De lignes non accentuer,

De souvenirs m’échappent.



Je cherche le temps,

Les teintes d’une histoire,

Ceux qui sont sur ma toile,

Des voix toujours en absences,

Je peins l’expression sur ma toile.





Je cherche le temps,

Un vent chasse,

Mon dessin non terminé,

Je laisse le temps au silence,

Les couleurs sur un fond blanc.



Je cherche le temps,

Je dessine les traits de l’albâtre,

Aux expressions qui me pressent,

Sur une plage de souvenirs,

Le temps des brumes.



NICOLLE Edmond le 11.09.11

























samedi 10 septembre 2011

Il suffita de souffler le temps

Il suffira de souffler le temps






Tu me disais,

Continue demain,

Peu importe les douleurs,

Demain sera meilleur,

Il suffira de souffler le temps.





Les pleures ne servent à rien,

Ils ne te verront pas à ce jour,

Car la douleur les rend plus heureux,

Ils auront craché tous leur venin espiègle,

Il suffira de souffler le temps.





Tu me disais tellement de choses,

Que je ne me rappelle plus très bien,

Le sens du fil,

Peut-importe,

Il suffira de souffler le temps.





Je n’ai rien à gagner des pages tournées,

Une vie là mienne, la nôtre,

Un fils, une mère,

Une muse demain restante,

Il suffira de souffler le temps.





Restons sage,

Car une mute de chien sur nos chemins,

Pourrez nous écraser mieux,

Sur nos tombes à demain,

Il suffira de souffler le temps.





Voilà le mot,

Oublions,

Pas facile,

Mais tu m’as dit,

Il suffira de souffler le temps.





NICOLLE Edmond le 7.09.11