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samedi 31 décembre 2016

Poète troubadour de lignes


Poète troubadour de lignes

Hérésie de mots,
Chaque jour, une page,
Une vie se remplissant en mots,
Source indéfinissable en proses,
La vie trépassant en souvenirs.

Le poète voguant sans ses amarres,
Laissant chaque nuit, une ligne de plus à sa muse,
Désir insoupçonné entre son égérie et son âme,
Le poète cherchant sa doublure en des mots,
L’amour étant une passion effrénée à sa muse.

Souvent sur des routes déjà connues de lui,
Personne encore n’ayant trouvé ses sens,
Un attachement de lignes sentimentales,
Une raison en sacrifice à une muse à sa vie,
Personne ne peut suivre sa longévité en proses.

Il met difficile de m’identifier à vous,
Mon parcours n’étant pas au vôtre à des rencontres,
Le poète n’étant pas fixé à un harpon défini d’une vie,
Ayant encore et toujours des amarres levées à ses doigts,
Filant chaque moment sur des voiles poétiques.

Je ne sais pas me définir au temps,
Une muse étant ma compagne de vie,
Me transportant indéfiniment dans ses lignes,
Ne laissant trace qu’un corps inerte à la vie,
Sentiment dépassent le réalisme d’un amour sûr.

Je vague en sentiments de mots,
Des mots pour une muse,
Une prédestinée poétique à long terme,
Une vie incessante, dépareillée de corps et d’âme,
Des lignes n’en finissant plus d’écrire des lettres poétiques.

Edmond NICOLLE
Le 31.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2367

jeudi 29 décembre 2016

Une chanson pour mon enfant


Une chanson pour mon enfant

Tu es mon amour, mon bonheur,
Le temps avec toi, mon extase,
 Un chemin tracé ensemble.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Je t’aime mon enfant,
Nos mains ensemble,
Nos regards soudés.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Ceci n’est qu’un début d’une histoire,
Ensemble sur des lignes à demain,
Une route pour découvrir ce qui n’est pas encore.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Nous partirons découvrir le temps et les beautés,
Un soleil pour nous réchauffer, tu me diras tes mots,
Je te dirais que je t’aime cent fois.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Mon enfant, ma vie,
J’ai tant à te dire pour demain,
Une histoire entre toi et moi.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Je suis ce poète,
Quelque mot dans cet instant,
Poésie pour toi mon enfant.

Ensemble sur des rives de la vie,
Des rives d’amour et de paix,
Ma vie avec toi.

Edmond NICOLLE
Le 29.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2366

mercredi 28 décembre 2016

Je flotte sur des oraisons de poésies


Je flotte sur des oraisons de poésies

Une encre scellée sur mes doigts,
Partout, une muse, ma guise sur ses voies,
Loin de vous, je fuis encore en lettres,
Je n’entends déjà plus les sons de l’amour,
Je flotte sur des oraisons de poésies.

Je suis vieux maintenant,
Loin, mes mots m’enlèvent dans cet azur de stries,
Des lignes où un Dieu m’écoutant à distance,
Des mots m’accrochant sur une cordelette d’une vie,
Je flotte sur des oraisons de poésies.

Je prends le temps maintenant d’écrire,
Une page, chaque jour, un jour de plus après la vie,
De mots inépuisables venant d’une muse secrète à mes doigts,
Je continue à écrire sans connaître les motifs de mon égérie,
Je flotte sur des oraisons de poésies.

Ma vie se tournant en lettres,
Mon épouse me suivant à distance et respect,
Entre moi et elle, des proses en oraisons d’une muse,
Difficile de faire plus clair à ma vie, prise en mots d’une muse,
Je flotte sur des oraisons de poésies.

Mon chemin et indéfinie demain,
Je ne pense pas à une suite, je laisse ma muse la gestion,
Ma vie entre ses lettres, un combat perdu d’avance,
Je suis déjà loin à ses mots, des lignes me transportant à demain,
Je flotte sur des oraisons de poésies.

Edmond NICOLLE
Le 29.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2365

Lettre en poésie

Lettre en poésie

Mon corps se lève sur des lignes,
Une muse en jonction de lettres,
Je ne sais pas les essences à poser,
Je suis qu’un organe d’elle.

Des lettres qui sortent sans faire de doute,
Je n’ai plus de papier depuis longtemps,
J’écris dans une envolée  de paragraphe,
M’emportant un court instant en lettre.

Ma vie n’est pas semblable à-vous,
Depuis longtemps, j’ai espacé les liens,
Trop de bruit pour des mots d’une muse,
Une muse n’étant pas faite pour étayer vos sons.

Je passe sans croire un instant à autre chose,
Qu’une litanie faisant route avec moi,
En silence sur une destinée sans fin,
Ensemble maintenant cet équilibre en proses.

Mon corps et mon esprit voué en totalité à ses lettres,
Je ne peux freiner cet enthousiasme en elle,
 Je suis dans une dogmatique effréné de ses mots,
Ma liberté ne faisant qu’entre mots à ses lignes.

Je me plais de jouer à ses mots dans la pensée,
Une dictature déjà depuis longtemps abaissée,
Mes mots non plus de valeur qu’à ses lignes,
Le poète se laissant emporter à son égérie.

Je ne suis pas moi-même en réalité,
Que des pas me transportant sur une voie lactée,
Le silence m’étant acquis d’une muse, une intimité,
Le mariage d’une muse en lignes philanthropiques.

Edmond NICOLLE
Le 28.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2364

mardi 27 décembre 2016

Je t'ai z'aimée et tu m'as trompé


Je t’ai z'aimée et tu m’as trompé

Des lignes pour un amour en poésie,
Fracassante litanie d’un amour,
Désillusion cosmétique de phrases.

Le poète rêvant en proses chimériques,
Une encre coulant l’amour en vaisseaux,
Fantasme allégorique de proses.

J’ai pensé t’aimer,
Un songe depuis mon enfance,
L’amour saisissable à mes mains.

Non, j’écris invariablement le temps,
L’amour fixant la durée,
Sentiments incompris.

Le poète se feutrant en lignes,
L’amour ne répondant pas à sa suite,
Effet controversé de poésies différentes.

Amour brisant, amour surpassé,
Des lignes se construisent en songes,
Amour d’un jour, amour en suspend au temps.

Amour solitaire,
La nuit devenant cauchemar,
Amour sans bruit, le poète désuni de sens.

Une plume devenue ses harmonies,
Allégorie d’une muse, ses excursions,
Mon âme et mon corps a sa cour.

Je t’aime et je ne t’aime pas ainsi,
Je t’ai z'aimée et tu m’as trompé,
Labyrinthe de mots devenu une histoire.

Poésie du temps,
Poésie en mots,
Poète sur des lignes.

L’amour


Edmond NICOLLE
Le 27.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2363

C'était le temps des poètes et des chansons



C’était le temps des poètes et des chansons

Le temps des poètes et de l’amour,
Des lignes qui chantaient le temps,
Un microsillon emporté pour mille voix,
Nous revenions sur un disco d’une nuit.

L’amour qui chantait sur les cœurs,
Salut les copains dans les radios,
Un disco sur des cœurs d’une nuit,
L’amour était sur des mots sans mesures.

Nous savions dire les lettres, l’amour,
Sentiments d’amour et de promesses,
Des regards vers des lendemains,
Le temps n’étant pas la cause.

Nous nous sommes aimées,
Le temps passé devant un refrain cher,
Les poètes du temps, les poètes à notre cœur,
 Un disco passé pour continuer.

Une chanson, une mélodie,
Des mots pour nous remplir le temps,
On entendait dans l’air, le bruit du silence,
Le poète résonnait sur des ondes cosmiques.

La nuit était notre jeunesse,
Il ne fallait pas grand-chose pour nous entraîner,
Une nouvelle vague et tout repartait de plus belle,
Nous partions un disco sous les bras.

C’était le temps des poètes, le temps de l’amour,
Le temps où tout semblait vivre sur un disco,
L’amour était à nos cœurs, une chanson,
J’entends encore des rythmes battants dans l’air.

Poète d’une chanson,
Un disco au coin d’une rue,
Sentiments d’amours, une chanson,
Le temps de l’amour, le temps d’un instant.

Edmond NICOLLE
Le 27.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2362

dimanche 25 décembre 2016

Les souvenirs s'en vont au passé de ma vie


Les souvenirs s’en vont au passé de ma vie

Une musique me couvrant le temps d’hier,
De notes plus différentes à chacune d’elles,
Je m’emporte sur d’autre horizon lointain,
Un rêve dans mes nuits noctambules.

Je ne touche pas le fond de mes lettres,
De lettres qui ne sonnent qu’en éphémère,
Petite parodie d’une muse en musique,
Une liturgie comme des verres cristaux.

Ma nuit est un jour nouveau pour des lettres,
Je me relève détendu chaque fois finie mon texte,
Ma vie est ainsi en proses, une histoire chaque jour,
Si différente qui soit, j’écris une vie, une histoire.

Mes lettres s’en vont au bout du monde,
Comme un oiseau qui vient et repart à son destin,
Des lettres qui volent au lointain, me laissent ici,
Dans un monde qui n’est plus le mien de référence.

Ne me demandez pas pourquoi ainsi ma vie,
Ma route est de partir un jour dans cet océan de lettres,
J’attends ainsi en silence, mon aventure dans un ciel hiératique,
Un océan bleuté de lettres poétiques à ma vie en oraison.

Une musique m’accompagnant toujours sur mes lettres,
Entre mes mains, une traîne et un air, couple d’un instant à mes doigts,
Un duo en forme héréditaire sur du papier mouillé d’une encre éternelle,
Parodie du poète loin dans ses lignes philanthropiques, une plume son écrit.

Les souvenirs s’en vont au passé de ma vie,
Instant entre lettres et une vie versatile,
J’écris une envolée d’encycliques à mes nuits,
Des lettres qui me lâcheront un jour pour un ciel empli de proses.

Edmond NICOLLE
Le 26.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2361

samedi 24 décembre 2016

Monde fantasmatique d'un ailleurs, s vie, sa destinée




Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée

À ma fille M-H.

Irréelle vie et si proche de même,
Peuple d’un autre monde,
Monde d’un silence cédé aux pas,
Une enfant déjà sur d’étranges visions d’un monde,
Elle me dirige vers un monde, cosmos féerique,
Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée.

Loin des mots et des tapages,
Recherche des sens spirituels d’un Dieu,
Une guerre vers des silences des rois,
Je me transporte dans la sonorité de ses sons,
Il me reste que cette agora visionnaire de son cosmos,
Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée.

Ma main dans la sienne, vers un futur déjà,
Son regard en silence, un destin prédestiné,
Écoutant les sons des silences fantasmagories,
Je reste assis auprès d’elle, en accord et respect,
Un voyage au destin silencieux, une enfant, sa vie,
Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée.

Elle m’amène en silence dans ses accords,
Réunis de sentiments, un autre monde,
Sa vie déjà loin des soubresauts du temps et des guerres,
Seul maître à sa vie, un seigneur, une foi, un destin,
Recherche un sentiment inégal, une vie, une direction,
Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée.

Monde des silences,
Je me couvre de cet orchestre silencieux et fantasmatique,
Une vie naissante dans les bruits d’un cosmos de demain,
Une enfant m’amenant dans ses silences de ses mots,
Couvrant nos pas vers un destin silencieux d’un monde passé,
Monde fantasmatique d’un ailleurs, sa vie, sa destinée.


Edmond NICOLLE
Le 25.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973

Texte n° 2360

vendredi 23 décembre 2016

voeux 2017




Chers (e) amis (e) de loin ou de proche, personne que je ne connais pas
Mes mots pour l’année à venir
Mes mots n’ont pas la puissance des valeurs d’une guerre pour vous souhaiter un meilleur monde de demain, seule ma pensée, je vous la partage avec mes émotions et ardeurs pour vous, hommes dans les silences des guerres  et des personnes venant par hasard voir ce qui se passe en dehors des frontières du langage et visuel, vous qui me lisez mes textes via le web, je vous souhaite encore de préserver cette paix en votre âme et conscience, à tous ceux que la vie à changer en cette année 2016 passées au travers des douleurs morales et corporels, mes mots aussi petits qui soient de vous partager les sens de mes pensées, sont partagés humainement avec vous au travers de tous mes sentiments à vous. Gens que je ne connais pas ou que je connais par correspondance à mes litaniques, je vous souhaite à chacun, que l’année qui va faire naissance 2017, vous apportent paix, amour et sérénité à votre vie.
Mes amitiés humbles à-vous tous
Bonne et heureuse année 2017 à tous
Edmond NICOLLE

Dear friends from afar or close, someone I do not know
My words for the coming year
My words have not the power of the values ​​of a war to wish you a better world tomorrow, only my thought, I share it with my emotions and ardor for you, men in the silences of wars and people coming by Chance to see what happens outside the boundaries of language and visual, you who read me my texts via the web, I wish you still to preserve this peace in your soul and conscience, to all those that life to change in this year 2016 passed through the moral and bodily pains, my words as small as you share the senses of my thoughts, are humanly shared with you through all my feelings to you. People I do not know or know by correspondence with my litany, I wish you all, that the year that will give birth to 2017, bring you peace, love and serenity to your life.
My humble friendships to you all
Happy New Year 2017 to all
Edmond NICOLLE

Уважаемый (е) друг (е) из ближних и дальних, кого я не знаю,
Мои слова на предстоящий год
Мои слова не имеют силу значения от войны, чтобы пожелать вам лучший мир завтра, только мои мысли, я буду делиться со своими эмоциями и энтузиазмом для вас, мужчин в молчании войн и людей, приезжающих по шанс увидеть, что происходит за пределами языка и видео, вы, кто читает мои тексты через Интернет, я желаю вам, чтобы сохранить этот мир в своей душе и совести, к жизни каждого человека, чтобы изменить в этом году 2016 прошел через моральную и физическую боль, мои слова слишком малы, чтобы поделиться с вами направление моих мыслей, которые по-человечески поделились с вами через все мои чувства к вам. Люди, которых я не знал, что я знаю, или по почте на мой ектении, я желаю всем вам, год, что сделает рождение 2017 принесет вам мир, любовь и спокойствие в вашей жизни.
Мои скромные поздравления всем вам
С Новым годом 2017 для всех
Эдмон Nicolle

(Traduction Google anglais/ russe)

Mon refuge, mes mots, ma solitude

Mon refuge, mes mots, ma solitude

Chaque nuit, une muse à mes côtés,
S’éveillant en moi ses arpèges,
Des mots despotiques de sens,
Je ne suis jamais en repos.

Une phase, un temps,
Une pause, un langage,
Invisible poète sur des lignes,
La nuit est le destin au poète.

Je ne sais pas dire les mots,
Une muse remplissant cette tâche,
Une œuvre parfois lugubre de sens,
Je n’ai pas le droit à son agrément.

Soumission, montage de lignes,
Mes doigts toujours occupés à ses virgules,
Jamais de point final à l’écrit,
Une cadence rythmée de notes manuscrites.

Je suis ailleurs, mon âme en perdition,
Une muse remplissant mes artères d’annotations,
Mes doigts involontaires suivant le pas écrit,
Une muse faisant maitresse de mes mots.

Mon refuge, mes mots, ma solitude,
Je pars loin de vous, loin de moi,
Une muse me retirant ma nature,
 Le jour, je me cache en d’autres images.

Je suis son âme,
Impossible fuite d’un temps,
Le temps se précipitant à elle,
Songeant déjà pour ses lendemains.

Edmond NICOLLE
Le 23.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2359

jeudi 22 décembre 2016

La nuit aux poètes solitaires



La nuit aux amoureux lyriques
La nuit aux poètes solitaires

Des mots qui coulent dans les veines,
Une plume se remplissant le jour,
Évacuant la nuit aux poètes sans nom,
Liturgie de proses incessantes à la nuit,
Les poètes se berçant pour la nuit en proses,
Les poètes écrivant leur histoire à l’encre ébène.

Poètes particuliers de la nuit,
Résonne de multitudes proses,
Amoureux éternel d’une muse,
Couples unis où désunis une fois,
Les poètes sont en arrière-garde de mots,
Les mains jointes à l’écriture de la nuit.

Âme vagabonde dans les lisières de strophes,
Méandres de mots sans voix,
Le poète au regard rêveur du temps et des mots,
Les saisons construisent la pyramide de sens cadencé,
Un tracé incessant de lignes sans fin aux poètes,
Un couplet sortant de l’abîme entre des doigts, une poésie.

Les poètes, les amants de la nuit,
Ainsi, leurs lignes se joignent en mots majestueux,
Oubliant la nuit à leurs lits silencieux de sens,
Le regard constamment vers des étoiles de rêves,
L’amour prévenant en avant-garde d’une lune à-eux,
La nuit aux poètes amoureux lyrique est sentimentale.

Les poètes devenus éternels pour un ciel à Dieu où autre,
Liturgie de mots pour un amour gardé secret à la nuit suivante,
Le jour étant le cheminement de lettres pour une nuit poétique,
Les amants de mots à la nuit des lettres,
L’âme battante,
 Poètes de la nuit.

La nuit aux amoureux lyriques,
La nuit aux poètes solitaires,
Unis ensemble en silence de mots,
Leurs écrits entonnent une chanson,
Une orée de son leur appartenant seul,
Les poètes amoureux de lignes.


Edmond NICOLLE
Le 23.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2358

Une nuit, une éternité




Une nuit, une éternité

Un enfant caché vers un horizon,
Le sable à ses pieds ce glissant à l’infini,
Un enfant marchant sur des bris de verres ensablés,
Un automne déjà passé hors saisons,
 Aux jetées endormies d’une nuit éteinte d’étoiles.

Brille un cœur d’enfant sur une barque imaginaire,
Flotté au loin vers un ciel d’un destin,
Rattraper sa main pour une fuite à des étoiles,
Mes lettres l’accompagnent vers son ciel imaginaire,
Un enfant qui n’a plus de sommeil pour dormir.

Un petit coin de ciel pour sa vie itinérante,
Loin des bruits assourdissent d’une guerre,
Rester le temps pour survivre à un autre siècle,
Rêve d’un enfant imaginé à la terre de ses ancêtres,
Un rêve imaginé sur une barge de voyage sous des alleux.

Un enfant en voyage,
Poussé par une guerre,
La mort aux aiguës de ses pas,
Un sourire trahissant sa peine,
Voyage indéfini de ses pas sur une terre brûlé.

Un enfant rêvant d’une terre libre,
Une terre fustigeant de rires et de jeux,
Les jeux oubliant les cris étouffés,
La mort au bout d’un chemin d’artifices,
Le cri d’un enfant à sa terre, sa liberté.

Edmond NICOLLE
Le 21.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2357

mercredi 21 décembre 2016

Sentiments s'égarent en poésie à ma vie


Sentiments s’égarent en poésie à ma vie

Je ne peux reculer les jours,
Revenir sur des lettres remplis de doutes,
Je n’ai pas su regarder le bon côté,
Je t’aime et déjà, le temps passe sur des lignes.

J’entends une musique au loin,
Juste le son de mon clavier à ma nuit,
Je frappe des lignes sur mon ordi.
Une foi qui me reste dans l’âme.

Le temps me glisse un éveil,
Une sortie probable loin de chez-moi,
Une aventure, entre moi et la vie,
Respirer un souffle de vie.

Le temps est devenu mon espace,
 Loin de vous, l’amour déjà dissipé d’un Dieu,
Je me coucherais un jour sans mots plus,
Étendu dans la paix des poètes.

Je n’entends plus déjà les appels,
 Me retrouver à chercher une voix,
Rester un instant avec des mots,
Ma vie étant déjà à l’autre bout du monde.

Confusions du temps et des substances,
Mon organisme s’éloignant davantage,
Devenu responsable de mon corps pour une fin,
Une vie particulière d’un poète dans ses lignes.

Sentiments s’égarent en poésie à ma vie,
J’écris ma vie, mon histoire, ma littérature,
Une histoire l’éloignant déjà de mon être,
De lettres pour un ciel de poésie, ma fin.

Edmond NICOLLE
Le 21.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2356

Méandre de mes nuits en souffle saccadé


Méandre de mes nuits en souffle saccadé

Mon âme devenue obscure à mes nuits,
De larmes émerger mon visage,
Loin dans le silence, des mots répercutent.

Méandre de mes nuits en souffle saccadé,
Ma douleur espacée à des solitudes du temps,
De larmes bloquées en fureur incontrôlées.

Mon corps devenu suspendu au temps,
Mon esprit étant la cause de tout cela,
Tambourinant une liberté sans mots.

Je voudrais m’arracher à cet enfer,
Possessions de mon corps et de mon âme,
Ma mort serait le joyau de mon être.

Je ne suis point troublé de mon mental,
Une vie depuis longtemps accordée,
 Caractère conjointement uni à la simplicité.

Je ferme les yeux, trop de choses,
D’obstacle qui me prenant mon temps,
Une liberté que j’attends toujours en libération.

Je chante mes mots sur des proses imperceptibles,
Le temps me convenant mieux dans mon exil,
Le temps fera de moi, des lignes en poésies.

Mon corps et mon âme à attente une fin,
Désillusion d’un espoir créatif, crée en moi,
La nuit étant gardée pour le jour à mes lignes.

J’écris sans relâche,
 Une ombre, la mienne,
Ombre en silence m’obscurcissent mes idées.

J’ai perdu le parfum de mon être,
Coexistence entre l’air et mon souffle,
Je visionne le temps demain, ce qui me reste à vivre en mots.

Edmond NICOLLE
Le 21.12.2016
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2365