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vendredi 30 novembre 2012

Lettre intime, le temps n'a pas d'importance dans tes bras


 
Le temps n’a pas d’importance dans tes bras

Lettre intime à ma femme

 

Nous sommes loin oublient nos âges,

L’amour n’a pas de limite  à nos cœurs,

Tu me regardes avec foi, je t’aime,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Que les montagnes s’écroulent devant nous,

Les rivières monter leurs eaux,

Je te donnerais la main pour l’éternité,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Oh mon amour je t’aime plus qu’un ciel aux étoiles,

Des étoiles notre chemin à vivre pour demain,

Oh mon Dieu, que tant espoirs à vivre en consonance,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Vient mon amour dansé avec moi les mots,

Tant d’espoirs et d’amours nous attendent encore,

Dans tes bras nous oublierons le passé,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Il n’y a qu’une seule prière à nous,

Nous aimer plus fort demain,

Notre amour sur des récifs, nous continuerons ensemble,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Je t’écris cette lettre mon amour,

Rien que toi avec moi ici sur les lignes,

Notre amour, je te l’écris avec mes mots, je t’aime,

Le temps n’a pas d’importance dans tes bras.

 

Je t’aime.

 

NICOLLE Edmond le 1.12.2012

Créateur de poésies depuis 1973



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi 28 novembre 2012

Je chante à l'amour


 
Je chante à l’amour

 

Un bouquet de fleur,

Dans un ciel lumineux,

Un rayon de lumière à tes yeux,

Des pétales chanteront pour toi.

 

Refrain : je chante à l’amour,

Que le ciel entende ma prière,

Je viens te chercher pour aimer,

Celle qui t’aime à l’amour.

 

Je chante pour toi à l’amour,

Un jour tu rencontreras sa tendresse,

Dans ses bras la chanson de moi,

Allez ne pleure pas chante avec moi.

 

Refrain : je chante à l’amour,

Que le ciel entende ma prière,

Je viens te chercher pour aimer,

Celle qui t’aime à l’amour.

 

Je t’écris ces petits mots,

Que tu ne sois pas seul,

Que ma chanson te porte bonheur,

Je construis pour toi ce refrain.

 

Refrain : je chante à l’amour,

Que le ciel entende ma prière,

Je viens te chercher pour aimer,

Celle qui t’aime à l’amour.

 

Ne viens pas chercher l’amour,

Celui là sera là pour toi,

Dans un coin du monde,

Un homme sera à ton cœur.

 

Refrain : je chante à l’amour,

Que le ciel entende ma prière,

Je viens te chercher pour aimer,

Celle qui t’aime à l’amour.

 

Je chante pour toi,

 Que je ne te connais que sur les lignes,

Un jour viendra ou plus tard, je te dis ces mots,

L’amour sera à ton cœur.

 

Refrain : je chante pour toi,

Que le ciel entende ma prière,

Je viens te chercher pour aimer,

Celle qui t’aime à l’amour.

 

NICOLLE Edmond le 28.11.2012

Créateur de poésie

Google+ Edmond Nicolle



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mardi 27 novembre 2012

Les larmes coulent sur ton visage


 
Les larmes coulent sur ton visage

 

Les pleurs tombent en pluie,

Sur ton visage en pleurs.

Tu aime toujours,

Celui de l’amour,

Volé un jour.

 

Refrain : Tu crie larsen,

Sentiment du cœur,

Brutalité d’aimer un jour,

Un ciel qui n’entend plus,

Les larmes coulent sur ton visage.

 

Une femme dans la nuit,

Etouffé dans le silence,

Sentiments toujours,

Elle aime encore,

Sentiments trahis.

 

Refrain : tu crie larsen,

Sentiments du cœur,

Brutalité d’aimer un jour,

Un ciel qui n’entend plus,

Les larmes coulent sur ton visage.

 

Tu cherche appuis,

Le sentiment pour lui,

Tu laisse des messages,

Il n’entend plus ta voix,

Affections brisés.

 

Refrain : tu crie larsen,

Sentiments du cœur,

Brutalité d’aimer un jour,

Un ciel qui n’entend plus,

Les larmes coulent sur ton visage.

 

 Je cri à lui,

Une vie perdue,

Tu as volé son cœur,

Elle n’a plus rien,

Que le passé pour pleurer.

 

Refrain : tu crie larsen,

Sentiments du cœur,

Brutalité d’aimer un jour,

Un ciel qui n’entend plus,

Les larmes coulent sur ton visage.

 

NICOLLE Edmond le 28.11.2012

Créateur de poésies



 

 

 

 

 

 

 

Solitude arrangeuse


Dessin Borne Sylvie
 
Solitude arrangeuse

(Poème dédié à S….e une de mes lectrices)

 

Sur les murs estompés,

Le souffle aux silences,

Les échos d’une marée à la nuit,

Les réverbérations d’une solitude,

Solitude arrangeuse.

 

Le maquillage abstrait d’une femme,

Un chat sur les genoux silencieux,

S’endort sur une histoire du passé,

Une femme caressant des images,

Solitude arrangeuse.

 

Le regard entre-ouvert de la nuit,

Persienne sur un fond de mer,

Danse les débris de lames sur une jetée,

Un dessin furibond de liberté sur les doigts,

Solitude arrangeuse.

 

Elle raconte son histoire,

Sur un fond théâtrale, son patronyme,

Evasion du temps aux nuits angéliques,

Une brise chassant le temps,

Solitude arrangeuse.

 

Assise sur une chaise,

Embrassent le temps,

Les yeux sur une fenêtre,

Altère le temps aux crayons,

Solitude arrangeuse.

 

NICOLLE Edmond le 27.11.2012

 

Créateur de poésie



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

dimanche 25 novembre 2012

Par la foi


 
Par la foi

 

Une foi déjà dépassé,

Que dira-t-on de mieux,

Sur les lignes c’est écrit un fils,

Fils de l’homme,

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

Me regardes-tu encore ?

Moi l’enfant impuissant,

Aux mille raisons incertaines,

 Fuir tes paroles ?

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

Par le sang,

Le chemin est bien long,

Un fils déjà condamné,

La raison aux pardons,

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

Je pleurs, je fuis,

Sans raison je regarde vers lui,

Ma souffrance n’est rien de semblable à lui,

Je regarde le ciel, il m’a donné m’a liberté,

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

Il reviendra,

Séparer les juste des impunis,

Elever au ciel les pécheurs convertis,

Laissé brûler au feu la damnation de faut témoins,

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

J’écris ce texte,

Ça ne veut rien dire pour vous,

Des lignes déjà tracées vers lui,

Peu de monde s’intéresse à une foi,

Par la foi,

De lignes déjà écrite dans le ciel.

 

NICOLLE Edmond le 25.11.2012



 

By faith

A faith already exceeded
What will there be better,
On the lines it says a son,
Son of man,
By faith
Lines already written in heaven.

You look at me again?
Me the helpless child
A thousand reasons uncertain,
Flee your words?
By faith
Lines already written in heaven.

By blood,
The road is long,
A son condemned already,
The reason for pardons,
By faith
Lines already written in heaven.

I cry, I flee,
I see no reason to him,
My suffering is nothing like him,
I look at the sky, he gave me freedom,
By faith
Lines already written in heaven.

It will,
Just separate unpunished
Raising the converted sinners in heaven,
Left burning fire of damnation be witnesses
By faith
Lines already written in heaven.

I write this,
It means nothing to you,
Lines already drawn to him,
Few people are interested in a faith
By faith
Lines already written in heaven.

NICOLLE Edmond 25/11/2012
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

samedi 24 novembre 2012

Dans un désert aride


 
Dans un désert aride

 

Une main tendue sur le sable,

Comme un enfant qui parle,

Les mots non aucuns sens,

Dans un désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

 

Le sable sera mes mots,

Sécher mes douleurs ici,

Mon corps à la poussière du désert,

Dans le désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

 

La nuit je me lève,

Avant que le soleil me brule les yeux,

Je laisse chaque nuit une trace,

Dans un désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

 

Loin de chez vous,

Je laisserais mon âme dans le désert,

Je suis déjà partie dans le silence des mots,

Dans un désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

 

Un enfant ce souviendra de mes lignes,

Avant que le désert efface mon histoire,

Une âme perdue définitivement aux pages,

Dans un désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

 

 J’écris,

Mon histoire sur le sable,

Une poésie dans le désert,

Dans un désert aride,

J’écris sur le sable, mes mots,

Mon histoire.

NICOLLE Edmond le 25.11.2012

In an arid desert

A helping hand on the sand,
As a child who speaks,
Words not no sense
In a barren desert,
I write on the sand, my words,
My story.

The sand will be my words,
Dry my pain here
My body to the dust of the desert,
In the arid desert,
I write on the sand, my words,
My story.

I wake up at night,
Before the sun burns my eyes
I leave every night a trace,
In a barren desert,
I write on the sand, my words,
My story.

Away from home,
I leave my soul in the desert
I am already in the silence of words,
In a barren desert,
I write on the sand, my words,
My story.

A child remember what my lines,
Before the desert delete my history
A soul lost forever pages,
In a barren desert,
I write on the sand, my words,
My story.

I write,
My story on the sand,
Poetry in the desert
In a barren desert,
I write on the sand, my words,
My story.


NICOLLE Edmond 25/11/2012

Poésie sans âge


 
Poésie sans âge

 

Crépuscule à l’aurore,

Les gens passent dans la rue,

Il n’y a pas d’âge pour penser,

Je dessine, tu écris ton histoire,

Poésie sans âge.

 

Tu écris tes pleurs,

Sur le papier tellement de mots,

Une journée ne suffira-pas à tes lettres,

Courir rattraper le temps,

Poésie sans âge.

 

J’écris,

Il me tombe des lettres,

Je voudrais dire, dire je vous aime,

Rien qu’une muse à plaire entre nous,

Poésie sans âge.

 

Un sourire, tout caché,

Un poème passé, oublier pour demain,

Mes lignes n’ont rien d’important,

Les passagers passeront sur d’autres liens,

Poésie sans âge.

 

Je suis le poète,

Des millions comme moi,

Juste un papier pour dire,

Après il sera mort,

Poésie sans âge.

 

Je vous aime,

Non une muse vous aime,

Entre vos mains leurs histoires,

Demain sera oublié un poète,

Poésie sans âge.

 

Poètes qui passent,

Des siècles à écrire,

Ils ont oublié leurs âges,

Ceux d’une l’histoire,

Poésie sans âge.

 

NICOLLE Edmond le 24.11.2012

jeudi 22 novembre 2012

Tu es venue à mon coeur


 
Tu es venue à mon cœur

 

Toi l’étrangère,

Femme d’ailleurs,

L’étrangère d’un pays,

Je n’étais rien,

Tu es venu vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mots,

Je t’aime.

 

Toi l’étrangère,

Tu es passé un jour,

Ton soleil dans mes bras,

Réchauffé cet enfant d’ailleurs,

Tu es venue vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mots,

Je t’aime.

 

Toi l’étrangère,

Tu m’as lancé un défi,

Celui de m’aimer,

Moi le garçon d’avoir aimé,

Tu es venue vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mots,

Je t’aime.

 

Toi l’étrangère,

Venue qu’un jour,

Arrivée dans un pays inconnu,

Tu es resté,

Tu es venue vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mots,

Je t’aime.

 

Toi l’étrangère,

Devenu ma femme,

Mon cœur vers toi,

T’aimer encore et toujours,

Tu es venue vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mots,

Je t’aime.

 

Toi l’étrangère,

Tu as su me dire les mots,

Entrée dans mon cœur ta foi,

D’un autre pays qui est le tiens,

Tu es venue vers moi,

Moi le belligérant,

Soufflet mot,

Je t’aime.

 

Je t’aime toi l’étrangère venue d’un autre pays.

 

NICOLLE Edmond le 23.11.2012

Créateur de poésies

Google+ NICOLLE Edmond


http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

 

You came to my heart

You are the foreign
Woman also
The foreign country,
I was nothing,
You came to me,
Me belligerent
Bellows words
I love you.

You are the foreign
You went one day
Your sun in my arms,
Warmed the child elsewhere,
You came to me,
Me belligerent
Bellows words
I love you.

You are the foreign
You gave me a challenge,
That love me,
I have loved the boy,
You came to me,
Me belligerent
Bellows words
I love you.

You are the foreign
Came one day
Arriving in a strange country,
You stayed,
You came to me,
Me belligerent
Bellows words
I love you.

You are the foreign
Become my wife,
My heart to you,
Love you again and again
You came to me,
Me belligerent
Bellows words
I love you.

You are the foreign
You could tell me the words,
Enter your faith in my heart,
Another country which is yours,
You came to me,
Me belligerent
Bellows word
I love you.

I love you the stranger you came from another country.

NICOLLE Edmond 11/23/2012
Creator of poetry
Edmond NICOLLE Google+
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mardi 20 novembre 2012

Poète amoureux de ses lignes


 
Poète amoureux de ses lignes

 

Entre vos mains un poète, une poésie,

Je passe avec vous ici, le temps d’une halte,

Le temps ne compte pas pour moi,

Poète amoureux,

 Une muse entre mes lignes,

Vous parlez…

 

Ne cherchez pas ma cause,

Elle est déjà partie loin dans mon histoire,

Je suis amoureux pour demain,

Poète amoureux,

Une muse entre mes lignes,

Vous parlez…

 

Je suis libre à briser le temps,

Mon espace, celui de vous écrire,

De vous donner une philanthropie de lettres,

Poète amoureux,

Une muse entre mes lignes,

 Vous parlez…

 

Je ne suis pas amoureux de vous,

Mon chemin et ailleurs, dans les lignes,

Ici je passe seulement pour vous dire,

Poète amoureux,

Une muse entre mes lignes,

Vous parlez…

 

Je pourrais ressembler à l’oiseau,

Un jour ici, un vol je ne sais où encore,

Volé sur un espace pour demain dans l’inconnu,

Poète amoureux,

Une muse entre mes lignes,

Vous parlez…

 

Vous parlez, le temps ne compte pas,

Trop jeune pour disparaitre à mes lignes,

Une muse me dire encore,

Poète amoureux,

Une muse entre mes lignes,

Vous parlez…

 

NICOLLE Edmond le 1.11.2012



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

samedi 17 novembre 2012

échouage d'une coque sur le sable



 
Échouage d’une  coque sur le sable

 

Sur les flots d’un vent,

Mon étrave et bien vieille,

Ils ont refait les peintures,

Je brille sur un terre-plein,

Une proue à l’exil des marées,

Échouage d’une coque sur le sable,

La fin du voyage.

 

Je fais rêver les passants,

Les yeux rivés sur mon âge,

Je ne suis pas tout jeune,

Je brille sur un terre-plein,

Une proue à l’exil des marées,

Échouage d’une coque sur le sable,

La fin du voyage.

 

Une ombre sailli sur le quai de l’oublie,

Les amarres usées par les forces d’un alizé,

Flottent au vent aux derniers assauts,

Je brille sur un terre-plein,

Une proue à l’exil des marées,

Échouage d’une coque sur le sable,

La fin du voyage.

 

Je suis passé en silence te voir,

Une caresse sur ta coque,

Je peins le temps de tes entrailles,

Je brille sur un terre-plein,

Une proue à l’exil des marées,

Échouage d’une coque sur le sable,

La fin du voyage.

 

Les marées ont disparus sous ta proue,

Ton maître a disparu depuis longtemps,

Dans le ciel, son immortalité,

Brille sur un terre-plein,

Une proue à l’exil des marées,

Échouage d’une coque sur le sable,

La fin du voyage.

 

NICOLLE Edmond le 18.11.2012



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(échouage) peinture réalisé par moi Ed. NICOLLE le 17.11.2012