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jeudi 28 juin 2012

Corps philarmonique intérieur



Corps philarmonique intérieur

Je fuis vers le soleil mon échappatoire,
Assujetti à la divergence de mon corps,
Ma sortie délibérer de mes sens,
Corps philarmonique intérieur.

Poète du passé,
Une muse avec ces stridents,
Tranchant à double lignes,
Corps philarmonique intérieur.

Je m’éloigne du concept original,
Créations didactique de sens,
Mon corps asséché d’abstraits sexuels,
Corps philarmonique intérieur.

Je prépare mon départ,
Le banquet de mon histoire philanthropique,
Aux cieux mon laisser d’écritoire,
Corps philarmonique intérieur.

Je vous ai aimés entre les lignes,
Comme un poète à l’aventure de vous,
Notre péripétie des lendemains périlleux,
Corps philarmonique intérieur.

Je dance avec mes lettres intérieurement,
Une façon rythmique du lexique mental,
Une création de désinvolture à une musarde,
Corps philarmonique intérieur.

NICOLLE Edmond le 28.06.2012 Fleur lutin


dimanche 24 juin 2012

Regard intangible

Regard intangible

Atténuations des couleurs,
Brutalité d’ensemble,
Je peins la femme,
Sécrète une conviction,
Regard intangible.

Le peintre colle,
Exaltation des couleurs,
Couleur de sang dans le sable,
Un éclat de ciel m’éblouissant,
Regard intangible.

Une femme des femmes,
Un trône d’homme résolu,
Entre leurs mains, la résignation,
Il m’est interdit l’arrière plan de copie,
Regard intangible.

Je lie la femme sans ligne,
Le regard effroi  sur mon crayon,
J’accentue le vif du trait comme une marque,
Ma culpabilité des sens violentés de couleurs,
Regard intangible.

Peinture séchée avec le temps,
Elle me sera un jour avant ma mort,
Le sujet exalté de mon endoctrinement,
Ma peinture ma foi,
Regard intangible.

NICOLLE Edmond le 24.06.2012


vendredi 15 juin 2012

Le volcanisme de mes mots exécutoires

Le volcanisme  de mes mots exécutoires

Une éruption cutanée de mots,
Une sortie éphémère de sens,
Perdue dans la ligner des textes,
Je ne sans point venir cette fin,
Le volcanisme de mes mots exécutoires de part le temps, mon suivi.

Le gout de suif désagrément les parties,
Mon espace fataliste de mes sens,
Je condamne déjà le temps qui me reste,
Ecrire sans fin le prologue de mon histoire,
Le volcanisme de mes mots exécutoires de part le temps, mon suivi.

Je ne sommerais pas avant d’avoir fermé les parenthèses,
Le poète sur les griffes d’une muse,
Harcèlement conjuré de mes sorts sans fin de mots,
Une histoire d’exode entre moi et une musarde,
Le volcanisme de mes mots exécutoires de part le temps, mon suivi.

Ma gentille femme dans les bras de son amant écritoire,
Passe un moment à mes lignes, adoucir par des mots en elle,
Entre nous un temps calme de sérénité momentanée,
Je l’aime autant que la poésie m’en prend place aussi,
Le volcanisme de mes mots exécutoires de part le temps, mon suivi.

Je passe qu’un moment, car mon histoire n’est que le suspend,
Sur mes murs invisibles, des tâches de couleurs prédissent,
Mille et une poésies dans l’air volcanique, mes sentiments,
Je ne vie que sur un tas de feuilles illustré d’une muse, ma survie,
Le volcanisme de mes mots exécutoires de part de temps, mon suivi.

NICOLLE Edmond le 15.06.2012


jeudi 14 juin 2012

Je n'ai toujours pas été et ne sera pas de votre convenance

Je n’ai toujours pas été et ne sera pas de votre convenance

Je ne veux pas l’être non plus à votre ressemblance,
J’écris la leçon de mon historique sur des tablés,
Je ne suis pas de correspondance,
Mes mots ressembles à bien à des divergences écrire,
Je n’ai toujours pas été et ne sera pas de votre convenance,
Je suis ce poète dévergondé de mots italiques.

Je méprise la fleur indolore sur l’oreiller,
De parfums négatifs me montant à défaut,
Le soupir alitant  mes efforts du condamné,
Un brin de soupir sur des amours outrepassés,
Je n’ai toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce poète dévergondé de mots italiques.

Je ne suis pas réaliste sur cette terre immonde,
Me laissent choir d’impunités d’hommes,
Ma condamnation d’épreuves à celui qui me truste, un Dieu,
Une liberté écrite de mouvements contemporains,
Je n’ai toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce poète dévergondé de mots italiques.

J’écris et toujours plus loin ma liberté,
Le chemin s’y ardu du poète dans le sens des mots,
Je ne peux retourner à mes fins, car mes mots sont la suite d’indéfinie,
De mots construits entre mes mains d’un éventail insoupçonné de textes,
Je n’ai toujours pas été et ne sera pas à votre convenance,
Je suis ce poète dévergondé de mots italiques.

NICOLLE Edmond le 14.06.2012














mardi 12 juin 2012

Il pleut sur les feuilles vertes. (A ma fille)

Il pleut sur les feuilles vertes (A ma fille)

Le soleil de mon cœur entre tes mains,
Lui des espoirs rêvant à demain,
Ensemble à une marche certaine,
J’entends ton cœur battre dans le silence,
Il pleut sur les feuilles vertes.

Les chemins éclairants de reflets,
Tes yeux semblables à Dieu,
Il pleut dehors, ta peine compatissante,
Nous sortirons sous la pluie, nous nous évaderons,
Il pleut sur les feuilles vertes.

Seuls sans bruit au dehors,
 Vacante à la solitude à deux,
Le silence au gai du temps,
Seuls sans réfléchir du passé,
Il pleut la semence d’un ciel sur nos joues,
Il pleut sur les feuilles vertes.

De la montagne ruissèle à la mer,
Les couleurs d’une source inachevée,
Au flanc bruni de craie, une cascade blanche,
Notre marche incessante de vie sur un flanc d’aile,
Il pleut sur les feuilles vertes.

Notre histoire sera celle de demain écrite,
Sur des feuilles jaunies, nos lignes d’un passé,
Chacun ce souviendra du temps passé,
Ensemble sur les chemins dévalent de vie,
Il pleut sur les feuilles vertes.

NICOLLE Edmond le 12.06.2012

dimanche 10 juin 2012

Voyage au bout du monde

(photo prise par moi)
Voyage au bout du monde (a ma fille)

Une enfant sur des rives lointaines,
Le regard profilé d’un destin,
Sur des notes de couleurs une chanson,
Elle chante à celui qu’elle aime,
Le voyage au bout du monde.

Une enfant sur des rives lointaines,
Elle ne veut pas se perdre à de déraisonnables,
Une illusion éphémère du temps,
Déjà son destin sur le regard d’un ciel aménagé,
Le voyage au bout du monde.

Une enfant sur des rives lointaines,
Elle me parle d’un moment au lointain,
Nous nous aimerons ensemble demain,
Le regard sur un voyage éternel,
Le voyage au bout du monde.

Une enfant sur des rives lointaines,
Nous avons ensemble, unies nos espoirs,
Elle chante à la mer son voyage,
Un navire sur les flots de l’âme,
Le voyage au bout du monde.

Une enfant sur des rives lointaines,
Une corne résonne un départ formulé,
L’espace d’une enfant déjà sur des vagues,
Les ailes d’une fée pour le voyage,
Le voyage au bout du monde.

Une enfant sur des rives lointaines,
Ensemble nous marcherons sur des étoiles magiques,
Chacune exposera nos liens en dehors du temps,
Les chemins en silences à nos prières,
Le voyage au bout du monde.

NICOLLE Edmond le 10.06.2012













  



samedi 2 juin 2012

intersection du coeur

Intersection du cœur

Bifurcation d’épreuves,
Les sens giratoires du cœur,
Une priorité de vie sur les lignes,
Vitesse modérer d’un pouls,
Intersection du cœur.

Une lumière du jour,
Mon cœur à celle conducteur,
Une énergie à l’épreuve,
Le temps épineux d’une vie,
Intersection du cœur.

Je cours contre le temps,
Celle qui m’attend un jour,
Aux carrefours des intersections,
Une lune orientera son astre,
Intersection du cœur.

Ici ou ailleurs,
Je ne suis pas libre de choisir,
Mon destin dans un ciel de tournure,
Ma liberté c’est d’aimer mon choix,
Intersection du cœur.

J’écris que le temps me fasse passage,
Sur des lignes de poésies, ma liberté,
Une muse toujours à contre-sens d’une fin de ligne,
Ma plume jamais infatigable sur ma route,
Intersection du cœur.

NICOLLE Edmond le 2.06.2012