Je suis si petit à toi

Je suis si petit à toi !

 Cet amour qui me prend,

Me prend tellement à mes organes,

Amour, je t’en supplie,

Prend-moi maintenant,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

Je crie à Dieu,

Je veux saisir ton amour,

Cet amour tant pesant,

Unir des âmes en silence,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

J’aimerais découvrir tes mots,

Toi l’amour,

Sur des lèvres entendre, je t’aime,

Oh amour, tu me prends, j’ai mal,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

Aide-moi,

Cet amour qui m’attend depuis toujours,

Elle m’aime tant !

Dans ses bras, l’oraison de nos amours,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

J’aime tant,

J’ai besoin d’elle,

De son amour,

Besoin de toi,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

Nous irons bras dessus avec toi,

Vers l’amour si grand,

Remplir notre cœur par des mots si doux,

Des mots sortis de nos lèvres, je t’aime,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

Je t’aime,

L’amour en nous,

L’amour avec toi,

L’amour ensemble,

Je suis si petit à toi !

Nous nous emporterons vers toi,

Vers l’amour unique aux amants.

Je t’aime

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1988
Le 31.08.2015

Le temps s'en va et revient à l'amour

Le temps s’en va et revient à l’amour

Je veux mourir en silence,

Changé, mon corps, mon âme pour un amour,

Être celui pour celle qui m’attend

Doucement l’emmener sans mots à des rivages,

Nos regards sourient au vent trahissant.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Je veux aimer un autre amour,

Celui qui est dans mon cœur,

Une porte ouverte pour un cœur,

Celle qui force les barricades de mon corps,

Pour venir me dire,  je t’aime.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Je voudrais tout refaire,

Effacer le temps des souffrances,

Où personne n’a su entendre mes cris,

De l’abondons de mon corps et âme,

Mon cœur qui a tant besoin de soins.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Je voudrais m’abandonner entre des bras,

Ses bras qui sont celle de l’amour,

Celle d’une femme forte pour deux cœurs,

Recevoir ce que j’ai perdu,

Où tout recommence  à naitre à l’amour.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Une femme qui m’attend,

Une femme qui sait de moi, mes faiblesses,

L’amour qui fait mal et qui dure sur un cœur,

L’amour qui est ancré à toujours à une femme,

Une femme qui m’aime depuis longtemps.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Dans les silences, se brûle un amour,

Deux amours qui s’aiment maladroitement,

L’amour sur des cœurs blessés au temps,

Se cherchent encore, le cœur serré de s’aimer,

L’amour qui résonne, je t’aime encore.

Tout recommande,

Comme si le temps n’était assez de souffrir,

Le temps toujours le temps,

Cette chanson qui n’en finissant jamais,

Mourir pour des amours qui s’aiment encore.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1987
Le 30.08.2015

Les dés sont jetés

Les dés sont jetés

Une muse, mon corps,

Doucement modèrent mes tempêtes,

Le temps n’est plus à ma réplique,

Mon corps, doucement, sens va,

Dans un ciel clair de la nuit,

Poème sans mots plus au temps.

Vie aléatoire,

La nuit s’écoule doucement,

Quelques-uns partent là-bas,

D’autres arrivent remplir le monde,

Les nuages passent toujours à ma vie,

Poème sans mots plus au temps.

Les dés sont jetés,

On ne peut plus rien faire,

Quelque part, l’amour attend,

Accord, désaccord,

Une crise du temps,

Poème sans mots au temps.

Mes mots sont insoumis au temps,

Fragilité d’un corps, d’une âme,

Je trempe m’a plume dans une encre,

Désaccord de mon hôte,

Elle m’aime toujours,

Poème sans mots au temps.

Je remplis une feuille,

Bientôt une page s’envolera,

Un ciel remplis de prières écrites,

Le temps s’écoule ainsi,

Je fermerais ma nuit pour un jour,

Poème sans mots au temps.

J’attends venir le temps à mes nuits,

Mes jours pour repos,

Demain sera peut-être une rencontre entre ciel et cœur,

Le mariage du temps, d’une âme solitaire en poésie,

Doucement, le temps ralentira mes songes de mes nuits,

Poème sans mots au temps.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1986
Le 28.08.2015

Des mots que des mots pour un enfer

Des mots que des mots pour un enfer

Déshabillage d’âme,

Voile de la nuit,

Mots arrachés,

Damnation thérapeutique,

Langue du diable,

Culte d’esprits sataniques,

Des mots que des mots pour un enfer.

Culte du diable,

Voie sans issue que la mort,

Prière pour un enfer,

Un plongeoir dans le sacrifice,

Le corps nu pour des mots,

Culte d’esprits sataniques,

Des mots que des mots pour un enfer.

Amour du diable,

Le corps brisé,

Mille morceaux décomposés,

 Fanatisme d’un éloge,

L’âme en déchéance d’un pouvoir,

Culte d’esprits sataniques,

Des mots que des mots pour un enfer.

Purgatoire,

Condamnation,

Corps sans vie,

Âme brûlée dans l’enfer,

Cris du silence étouffé,

Culte d’esprits sataniques,

Des mots que des mots pour un enfer.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1985
Le 27.08.2015

Je t'aimerais là-bas

Je t’aimerais là-bas

Loin de chez nous,

Loin du monde,

Mon cœur avec toi,

Je placerais un soleil sur ton cœur,

Les bras ensemble pour s’aimer,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Que nous pour nous aimer,

Un temps libre à nos cœurs,

Réapprendre l’amour,

Depuis longtemps en attente,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Je t’aimerais avec douceurs,

Non, rien de blessant,

Seulement nos cœurs à aimer,

Je t’aimerais sans fin,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Doucement déshabiller nos corps,

Comme une fleur fragile entre des mains,

Nos regards, doucement, ce marient à l’amour,

Doucement, je t’emmènerais vers moi,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Nous enlèverons nos carences de l’amour,

Nous partirons ensemble unis pour des étoiles,

Doucement lier nos cœurs pour une éternité,

Tu es déjà la femme ici sur des promesses,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Le temps nous est arrivé pour une rencontre,

Le silence des cris en ritournelles de l’amour,

Je t’aimerais comme jamais nous avons aimé,

Le temps de nous aimer, le temps de l’amour,

Je t’aimerais là-bas,

Loin du monde, loin des regards.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1984
Le 25.08.2015

J'ai tant d'amour à vous donner

J’ai tant d’amour à vous donner

Mon cœur est ainsi,

J’aime et ça me fait mal,

Une douleur intérieure,

Je n’aurais pas assez le temps,

Le temps de vous dire,

Je vous aime,

J’ai tant d’amour à vous donner

L’amour sur un cœur.

Je voudrais retarder le temps,

Des minutes qui passent,

Des minutes à songer à vous,

Mon cœur en appel au temps,

Le temps de vous dire,

Je vous aime,

J’ai tant d’amour à vous donner,

L’amour sur un cœur.

J’avais oublié que j’avais vingt ans hier,

Trois fois plus pour vous aimer encore,

J’ai dans le cœur l’amour,

Un amour plus fort pour demain,

Le temps de vous dire,

Je vous aime,

J’ai tant d’amour à vous donner,

L’amour sur un cœur.

J’ai dans le cœur l’amour qui chante,

Une chanson qui vient comme cela,

Je vous aime ainsi sur mon cœur,

Vous que je ne connais pas,

Le temps de vous dire,

Je vous aime,

J’ai tant d’amour à vous donner,

L’amour sur un cœur.

J’ai dans le cœur une personne,

Quelque part sur un autre horizon,

L’amour qui m’appelle toujours,

Sur les lignes, une femme,

Le temps de vous dire,

Je vous aime,

J’ai tant d’amour à vous donner,

L’amour sur un cœur.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1983
Le 24.08.2015

Transcendance silencieuse

Transcendance silencieuse

Souplesse du corps,

Je me repose dans le silence,

Seul mon corps sur des ondes,

Main détendues,

Corps étiré,

Transcendance silencieuse.

Corps de lune s’étirent,

Flot de silence au lointain,

Elle m’est devenue une étrangère,

Dans la nuit suspendue par un fil,

Elle est devenue mon immortalité,

Transcendance silencieuse.

Doucement, des vagues m’accompagnant,

Scintillement d’étoiles qui dansent silencieuses,

Mon regard voyage sur des brises salines,

Le sel pénétrant le port de ma peau,

Caresse invisible à mon corps le silence,

Transcendance silencieuse.

Mon corps dans une retraite,

Regard qui danse sur mes émois silencieux,

Les vagues couvrent  mes derniers sursauts,

Doucement imprégnant ma quiétude,

Mon souffle devenu secondaire,

Transcendance silencieuse.

Un balancier accroché sur des nuages,

En silence, seul dans la nuit,

Promenant, cherchant une danse encore,

Passager en mouvement silencieux,

Invisible corps sans vu,

Transcendance silencieuse.

Émergent de sérénité,

Mon corps muet,

Accroché par des vagues,

Pénétration de paix,

Une luxuriante onde sur mon corps,

Transcendance silencieuse.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1982
Le 23.08.2015

On ne choisit pas l'amour

On ne choisit pas l’amour

Une fois encore nous referons cet amour,

Une rencontre au hasard du temps,

Nos regards se croiseront,

Pour une éternité, pour une vie,

On ne choisit pas l’amour.

Nous brûlerons à l’amour,

Je t’aimerais sans âge,

Referons l’amour,

Ce qu’il nous a tellement manqué,

On ne choisit pas l’amour.

Je te prendrais dans mes bras,

Nous danserons un air inconnu,

Doucement nous retrouver quelque part,

Refaire le temps de temps de silence,

On ne choisit pas l’amour.

Nous nous chercherons dans la nuit,

Doucement chercher nos lèvres,

Chercher nos corps pour y habiter un instant,

Retrouver des vibrations déjà loin,

On ne choisit pas l’amour.

Un instant, une nuit,

Celui de nous aimer,

En silence dans nos bras,

Nous danserons une valse du silence,

On ne choisit pas l’amour.

Je t’aimerais doucement,

Ensemble unir nos corps,

Les secrets d’un amour parti un jour,

Ensemble les mains jointes pour un ciel,

On ne choisit pas l’amour.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1981
Le 22.08.2015

Laisse-moi le temps de t'aimer

Laisse-moi le temps de t’aimer

Laisse-moi te parler,

Je t’aimerais bien plus fort,

Sur mon cœur, il y a tant de choses,

Laisse-moi te découvrir,

Laisse-moi le temps de t’aimer.

Nous irons au voyage,

Nos cœurs sur les parois de l’amour,

Vient doucement à moi,

Je n‘aime pas bousculer le temps,

Laisse-moi le temps de t’aimer.

Je ne veux pas nous aimer ainsi,

Sur le quai d’une gare,

Mon amour a besoin de s’y préparer,

Je ne veux pas briser nos destins ainsi,

Laisse-moi le temps de t’aimer.

Laisse-moi  le temps de m’approcher,

Je saurais comprendre tes mots,

Ton amour pour moi,

Laisse-moi doucement te connaître,

Laisse-moi le temps de t’aimer.

Tu as déjà dessiné en moi, ton amour,

Des mots qui sont devenus des appels à l’amour,

Tu m’as dit que je te conviens ainsi,

Des mots tant criés à  notre amour,

Laisse-moi le temps  de t’aimer.

Laisse-moi te dire que je t’aime,

Laisse-moi le temps de changer,

Laisse-moi aussi le temps de grandir avec toi,

Doucement par des mots qui viennent de ton amour,

Laisse-moi le temps de t’aimer.

Laisse-moi le temps de nous aimer.

Nicolle Edmond
Créateur de poésies depuis 1973

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Texte N°1980
Le 21.08.2015