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mercredi 31 octobre 2012

Je ne voudrais jamais t'avoir connu femme


 
Je ne voudrais jamais t’avoir connu femme

Je voudrais vous prévenir chers lecteurs,

Ma vie n’est pas de tout repos,

Passé si vous trouvez mon texte brutal,

Mon histoire est celle là,

Je n’ai jamais oublié ma blessure.

 

Je passe le temps à oublier,

À regretter le temps perdu,

Mes pas à la solitude des chemins,

Non je ne reviendrai plus ici,

Tu m’as jeté dehors.

 

Je ne passerai pas te voir sur ta tombe,

Tu n’es jamais allé voir tes morts,

Celui que j’ai vu mourir, mon père,

Une croix en bois, disparue depuis,

Un enfant hors ta vie, chassé de répugnance.

 

Je n’ai pas à te soutenir quoi qu’il en soit,

Nous avons dépassé la logique des sens,

Une maturité absente de chacun,

Chassé d’être battu à la vie,

Je fuis involontairement cette femme.

 

Je ne veux pas continuer ces lignes,

Mon histoire est celle aussi d’autres,

Une solitude aggravée par le temps,

Le temps des poètes aux souvenirs,

Ecrire pour finir cette histoire dans un livre.

 

NICOLLE Edmond le 1.11.2012


mardi 30 octobre 2012

Vieillir ensemble

Vieillir ensemble

 

Sans craindre du demain,

Vivre l’amour,

Dans le cœur les passions,

Des chemins durs pour demain,

Vieillir ensemble.

 

Sur les épaules, une main,

Je caresse ton amour,

Je t’aime comme avant la brise,

Ma mémoire illustre ta présence,

Vieillir ensemble.

 

Je ne sais combien il me reste de temps,

Peut-importe la durée du souffle,

Notre amour et bien plus fort,

Le cœur outrepassant les afflictions,

Vieillir ensemble.

 

Nous étions jeunes,

Le monde nous était offert,

Souvent sur des querelles absurdes,

Nous avons grandi avec les années,

Vieillir ensemble.

 

Je t’aime toujours,

Ensemble nous vieillirons,

Combien de feuille tomberont aux saisons,

Unir nos forces au destin du temps,

Vieillir ensemble.

 

Je subsisterais  encore à mes forces,

L’appui de ta présence à mes côtés,

Ensemble nous partirons épaulés,

Notre amour surpassant les craintes,

Vieillir ensemble.

 

NICOLLE Edmond le 31.10.2012



 

 

 

 

lundi 29 octobre 2012

Ma force avec toi

Ma force avec toi

 

Mon regard sur ton pas,

Je t’aimerais encore,

Doucement à l’amour,

Tes mots sont les miens,

T’aimer sans ambigüité,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

Je ne fais pas d’éloge à l’amour,

Nos yeux suffisent à dire,

Je t’aime,

Je t’attends chaque jour,

L’amour est ici à unisson,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

Je t’aime dans le silence,

Une foi pour conseiller,

Les solitudes avec lui,

Sans craindre des lendemains,

Une femme dans mon cœur,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

J’ai tourné le dos à mon histoire,

Doucement, mes pas avec toi,

Nos forces sont plus belles encore,

Mon amour, ma vie,

Ensemble sur les chemins de vies,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

Dieu pardonne-moi mon infidélité parfois,

Les images du diable passent sur mes pas,

Je voudrais être aveugle de son histoire,

Ma force est avec toi pour elle,

Celle que j’aime tendrement,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

Je t’aimerais doucement,

Une foi, notre amour à  lui,

Certitude des lendemains avec lui,

Nos pas sur la liberté, notre chemin,

Un ciel pour unir nos forces ensemble,

Ma force en elle, ma force en lui.

 

NICOLLE Edmond le 30.10.2012



 

 

 

My strength with you

I look at your not
I still love you,
Gently with love,
Your words are mine,
Love you unambiguously
My strength into it, my strength in him.

I do not praise the love
Our eyes suffice to say,
I love you,
I'm waiting every day
Love is here to unison
My strength into it, my strength in him.

I love you in silence,
Faith to advise,
The wilderness with him,
Without fear of tomorrow,
A woman in my heart,
My strength into it, my strength in him.

I turned back to my story,
Slowly, my steps with you
Our forces are more beautiful,
My love, my life,
Together on the path of life,
My strength into it, my strength in him.

God forgive me my infidelity sometimes
The images of the devil spend on my feet
I would be blind in its history,
My strength is with you for it,
That I love dearly,
My strength into it, my strength in him.

I love you gently
Faith, our love for him,
Certainty of aftermath with him,
Not our freedom, our way,
Sky to join forces together
My strength into it, my strength in him.

NICOLLE Edmond 10/30/2012
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/
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dimanche 28 octobre 2012

Mes lignes sont poésies à ma vie


Mes lignes sont poésies à ma vie

 

Je n’ai rien à cacher,

Vous me connaissez déjà,

Vous faire plaisir,

Sans vous regarder un instant,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

Je ne vous aime pas comme vous le recherché,

Je vous aime seulement sur mes lignes,

Un croisement de texte entre vos mains,

Une jouissance d’un instant à votre lecture,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

Je n’ai pas fini de vous écrire,

Je ne sais quand  prendra cette fin,

Entre mes doigts une muse hardiesse,

De couleurs artifices sur ma plume,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

Je suis comme ce vent incessant d’une nuit,

Le souffle sur ma bouche de lettres,

Une poésie sans fin de lignes,

Circule en silence une main musarde,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

Ne me chercher pas,

Demain je serais sur une autre page,

Une muse me poussant sur un horizon de proses,

Sur un édifice de lettres soufflé par un vent d’ailleurs,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

Entre vos mains mes lignes,

Dépassent le temps d’une nuit avec vous,

S’envolent plus loin mon hardiesse de vous aimer,

L’amour écrit d’une muse à vous,

Mes lignes sont poésies à ma vie.

 

NICOLLE Edmond le 29.10.2012



 

 

 

My lines are poetry to my life

I have nothing to hide,
You already know me,
Make you happy,
Without looking at you for a moment,
My lines are poetry in my life.

I do not like you the way you want,
I love you my only lines
A cross word between your hands,
Enjoyment of your time reading,
My lines are poetry in my life.

I have not finished writing to you,
I do not know when this will end,
Between my fingers a muse boldness,
Colored fireworks on my pen,
My lines are poetry in my life.

I like this incessant wind one night,
Breath on my mouth letters
Poetry endless lines,
Runs silently hand moons,
My lines are poetry in my life.

Do not get me,
Tomorrow I'll be on another page,
A muse pushing me over a period of prose,
Letters on a building blown by wind also
My lines are poetry in my life.

Your hands my lines,
Exceed the time one night with you
Fly away my courage to love you,
Love wrote a muse to you
My lines are poetry in my life.

NICOLLE Edmond 29/10/2012
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/
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Je n'ai jamais oublié le temps de ma mère

Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère
 
D’images passantes,
Dans un champ des labeurs,
Une femme, une mère,
Le dos courbé,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
Le soir dans le silence,
Une camelle chaude,
Les pieds sous la table,
Nous servaient bouche close,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
La pauvreté sur les marques,
Il n’y avait pas d’électricité,
Une lanterne au milieu de la table,
Une flamme qui scintillait au souffle du vent,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
Je me couchais dans le silence de la nuit,
Au pied de ma mère,
Les briques chaudes enrobées de papier journal,
Un duvet de plume d’oie sur le lit,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
J’étais encore un enfant insouciant,
Une visite dans une chambre blanchie de salpêtre,
Un condamné derrière un rideau blanc,
Une salle froide d’indigents malades,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
Je regardais ce train passé chaque jour,
Cette liberté d’aventure,
Sur le chemin de l’école, une trahison,
Je n’avais pas compris grand-chose,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
Nous n’avions pas de jouer à chaque fois,
Mais de brodequin lourd pour les chemins,
Une gabardine  aux boutons d’os d’animaux
Un bonnet pour couvrir les intempéries,
Je n’ai jamais oublié le temps de ma mère.
 
NICOLLE Edmond le 28.10.2012
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
 
 
I have never forgotten my mother

In pictures bandwidths,
In a field of labors,
A woman, a mother,
Bent back,
I never forget the time my mother.

The night in silence,
Camelle a hot
Feet under the table,
We used a closed mouth,
I never forget the time my mother.

Poverty on brands
There was no electricity,
A lantern in the middle of the table,
A flame that glittered in the wind,
I never forget the time my mother.

I lay down in the silence of the night,
At the foot of my mother,
The hot bricks coated newsprint,
Down a goose on the bed
I never forget the time my mother.

I was still a child carefree,
A visit to a room bleached saltpeter,
A convict behind a white curtain
A cold room for indigent patients,
I never forget the time my mother.

I looked past the train every day
This freedom of adventure
On the way to school, a betrayal,
I did not understand much,
I never forget the time my mother.

We did not have to play each time
But heavy boot paths,
A raincoat with buttons of animal bones
A cap to cover the weather
I never forget the time my mother.

NICOLLE Edmond 10/28/2012
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samedi 27 octobre 2012

L'art de vivre l'histoire

chaumière Normande peinture réalisé le 27.10.2012 Ed. NICOLLE
L’art de vivre l’histoire
 
Je copie une histoire,
Entre mes mains un décor,
Désir avant la mort,
Je dessine l’histoire,
Un hypogée de récit,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
Mes yeux sur un papier,
Un statut historique,
Entre mes mains un souvenir,
Je dessine l’histoire,
 Un hypogée de récits,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
Je dessine une histoire,
Il ne reste que les murs,
Sur les murs une histoire,
Je dessine l’histoire,
 Un hypogée de récits,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
Endormie dans un vallon,
Caché des voyeurs de passages,
Ce meurs doucement une terre,
Je dessine l’histoire,
Un hypogée de récits,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
L’amour d’un pays,
Je suis impliqué à l’art créatif,
Doucement je caresse cette terre d’argile,
Je dessine l’histoire,
Un hypogée de récits,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
Je nuance le temps,
L’espace des couleurs,
Les mains entrefaites d’histoire,
Je dessine l’histoire,
Un hypogée de récits,
L’histoire sur un papier souvenir.
 
NICOLLE Edmond le 8.10.2012
 
The art of living history

I copy a story
My hands décor,
Desire before death
I draw history
A tomb narrative,
The history of paper souvenir.

My eyes on paper,
A historical status
My hands a souvenir,
I draw history
A tomb narratives,
The history of paper souvenir.

I draw a story
There are only walls,
On the walls a story
I draw history
A tomb narratives,
The history of paper souvenir.

Asleep in a valley,
Voyeur hidden passages,
It slowly dying land,
I draw history
A tomb narratives,
The history of paper souvenir.

The love of a country,
I'm involved in the creative art,
I gently caress the clay earth,
I draw history
A tomb narratives,
The history of paper souvenir.

I shade time
The color space,
Meanwhile the hands of history,
I draw history
A tomb narratives,
The history of paper souvenir.

NICOLLE Edmond 10/08/2012
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/
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Peinture Chaumière normande

Chaumière normande peinture NICOLLE Edmond le 27.10.2012

vendredi 26 octobre 2012

Côte d'albâtre

Côte d’albâtre
 
Je me repose sur ta terre,
Un parfum enivrant sur mon souffle,
Je me noie dans le large albâtre,
Mon pays qui n’est pas le mien,  
Côte d’albâtre, mon aventure,
L’amour que j’ai connu avec toi,
Le pays de mes souvenirs, la Normandie.
 
Oh mon pays que j’ai oublié,
Une naissance déjà effacé,
Mon chemin sur l’albâtre,
Mon pays qui n’est pas le mien,
Côte d’albâtre, mon aventure,
L’amour que j’ai connu avec toi,
Le pays de mes souvenirs, la Normandie.
 
Je t’aimerai à en mourir,
Sur les ostentations d’une corniche,
Les lièvres sur mes pas,
Mon pays qui n’est pas le mien,
Côte d’albâtre, mon aventure,
L’amour que j’ai connu avec toi,
Le pays de mes souvenirs, la Normandie.
 
D’un ciel toujours habillé de blanc,
Le cri des goélands sur les aiguilles fallacieuses,
Inaccessible aux verticales profondeurs,
Mon pays qui n’est pas le mien,
Côte d’albâtre, mon aventure,
L’amour que j’ai connu avec toi,
 Le pays de mes souvenirs, la Normandie.
 
 
Je me coucherai à tes pieds pour toujours,
Dans une terre saline des côtes,
Je laisserai mes souvenirs dans l’histoire,
Mon pays qui n’est pas le mien,
Côte d’albâtre, mon aventure,
L’amour que j’ai connu avec toi,
Le pays de mes souvenirs, la Normandie.
 
NICOLLE Edmond le 27.10.2012
 
 
Alabaster Coast

I rely on your land,
An intoxicating scent on my breath,
I'm drowning in the large alabaster
My country is not mine,
Alabaster coast, my adventure,
The love that I have known with you,
The country of my memories, Normandy.

Oh my country I have forgot,
Birth already erased
My way to the alabaster,
My country is not mine,
Alabaster coast, my adventure,
The love that I have known with you,
The country of my memories, Normandy.

I love you to death,
Ostentation on a cornice,
Hares on my feet
My country is not mine,
Alabaster coast, my adventure,
The love that I have known with you,
The country of my memories, Normandy.

From a sky always dressed in white,
The cry of gulls on the needles misleading,
Inaccessible to vertical depths
My country is not mine,
Alabaster coast, my adventure,
The love that I have known with you,
The country of my memories, Normandy.


I will lie at your feet forever
In saline coastal land,
I let my memories in history
My country is not mine,
Alabaster coast, my adventure,
The love that I have known with you,
The country of my memories, Normandy.

NICOLLE Edmond 27/10/2012
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jeudi 25 octobre 2012

Elle a fait toutes les guerres

Un de mes dessins en 2010
Elle a fait toutes les guerres
 
Une muse aux travers des temps,
Parfois déchiré par des pleures,
Le sacrifice d’une liberté,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
Dans un lit elle a reçu les coups,
Une enfant baptisés solitude,
Arracher de ces pensées poétiques,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres du monde,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
Je me lève la nuit pour elle,
Entre mes mains, ses lignes,
Seul à écrire sa douleur,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres du monde,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
Je suis le carrefour de notes incessantes,
Une muse sur mon texte pour des lamentations,
Le soupir sur une feuille prisonnière de la nuit,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres du monde,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
Le jour se lève, le livre fermé sur des larmes,
Les pages saignées  de sangs poétiques,
Une muse a brisé la nuit des solitudes sur le sol,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres du monde,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
Ils se sont aimés,
Abandonné le jour,
La nuit sur les lignes poétiques,
Elle à écrit pour l’amour,
Elle a fait toutes les guerres du monde,
Une muse sur les chemins prohibés d’un monde.
 
NICOLLE Edmond le 26.10.2012
 
 
She did all wars

A muse through time
Sometimes torn by crying,
The sacrifice of freedom,
She has written for love,
She did all wars,
A muse on the road a forbidden world.

In bed she received blows,
A child baptized loneliness
Tear of the poetic thoughts,
She has written for love,
She did all the world's wars,
A muse on the road a forbidden world.

I get up at night for her,
My hands, lines,
Only to write his pain,
She has written for love,
She did all the world's wars,
A muse on the road a forbidden world.

I am the crossroads of notes incessant
A muse on my text lamentation,
Sigh prisoner on a sheet of night
She has written for love,
She did all the world's wars,
A muse on the road a forbidden world.

The sun rises, the book closed tears,
Pages bled blood poetic
A muse broke the night of solitude on the ground,
She has written for love,
She did all the world's wars,
A muse on the road a forbidden world.

They are loved,
Abandoned the day
Night on the poetic lines,
She has written for love,
She did all the world's wars,
A muse on the road a forbidden world.

NICOLLE Edmond 10/26/2012