Ainsi va la chorégraphie des décadences
J’ai voté
pour une décadence,
Les hommes
sont passés par là,
Sur leurs
voies philanthropes,
J’ai rêvé
un jour pareil,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
Ils ont
faim de l’or,
Ces enfants
politiques,
Pourquoi nous,
Des années
de sueurs et les os brisés,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
Pourquoi faut-il
mettre la main à la poche ?
Ils se servent
déjà avant de leurs donné nos dues,
Ils nous
ont piégés depuis notre naissance,
Nous avons
travaillé pour notre repos de fin de carrière,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
J’ai eu
faim, personne ne m’a donné en conséquence,
J’ai serré
ma ceinture partant à mon devoir civique,
Aujourd’hui
le cauchemar revient au galop,
Moi qui ai
fini de me résoudre pour les autres, je continue,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
J’ai ce
besoin de liberté,
Courir encore
sur les vallons,
Naître ne
plus être dépendent d’un autre, d’une politique,
Un rêve qui
m’a tourné court dans le temps,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
J’écoute
une chanson, ma sortie libératoire,
Je n’ai qu’elle
pour croire, une poésie sur une chanson,
Une philosophie
dans mes reins déjà usé de croire encore,
Comme un
animal attaché sur une chaine des condamnés,
Ainsi va la
chorégraphie des décadences.
Je chante ma
liberté bafoué, un philosophe sur des lignes de poésies.
NICOLLE
Edmond le 9.10.2012
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