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jeudi 30 juin 2016

Je voudrais te serrer dans mes bras


Je voudrais te serrer dans mes bras

Amour impossible,
Fuyant comme un vent,
J’ai appris à t’aimer comme cela,
Je t’aime et je ne te dis pas.

Je voudrais te serrer dans mes bras,
Un instant, un seul instant à nous,
Mais l’amour nous glissant entre nos mains,
Nos regards fuyant l’impossible amour.

Je t’aime, je ne peux pas te le dire,
Mon cœur s’échappant avec le temps,
Une minute dans ton regard et l’amour s’enfuit,
Le silence me fait blessent encore sans toi à mes jours.

Je voudrais te serrer dans mes bras,
Un instant, un seul instant à nous,
Mais l’amour nous glissant entre nos mains,
Nos regards fuyant l’impossible amour.

Entre mes mains que des lettres,
Une muse qui jouant des mots en farandole,
Amour blessé, me noient dans la limite du dramaturge,
Un livre qui ne pourra jamais ce fermé à cette histoire.

Je voudrais te serrer dans mes bras,
Un instant, un seul instant à nous,
Mais l’amour nous glissant entre nos mains,
Nos regards fuyant l’impossible amour.

L’amour me fuit, le cœur en déraison,
Je crie en silence, mon amour pour un autre cœur,
Me battant chaque fois dans un silence des interdits,
Le cœur ce mourant chaque jour de ne pouvoir aimer plus.

Je voudrais te serrer dans mes bras,
Un instant, un seul instant à nous,
Mais l’amour nous glissant entre nos mains,
Nos regards fuyant l’impossible amour.


Edmond NICOLLE
Le 30.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2231

lundi 27 juin 2016

Le temps passe est mon cœur brûle avec le temps

Le temps passe est mon cœur brûle avec le temps

Les années passent sans une pause,
J’ai beau prier à un Dieu,
Je n’ai pas le choix,
Le temps et un chrono,
Derrière moi les souvenirs s’effacent.

Le temps passe est mon cœur brûle avec le temps,
J’écoute cette musique qui me berce,
Le temps et en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes yeux pour mieux danser à mon corps.

Dans un coin du monde, une femme,
Elle a joué les mots extravagants,
J’ai levé les barrières, je veux oublier sa trace,
Une femme, un jour sur mes lignes,
Une femme en diable de désirs.

Le temps passe est mon cœur brûle avec le  temps,
J’écoute cette musique qui me berce,
Le temps et en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes yeux pour mieux danser à mon corps.

Je suis devenu une ombre de lignes,
Une poésie pour des cœurs amoureux,
Une histoire comme tant d’autres on écrits
Sentiments sur une plume amoureuse de l’amour,
L’amour en perchoir d’un instant, d’une vie.


Le temps passe est mon cœur brûle avec le  temps,
J’écoute cette musique qui me berce,

Le temps et en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes yeux pour mieux danser à mon corps.

Mes mots n’ont plus de sens,
J’écris pour passer le temps,
Mes souvenirs s’envolent comme des poésies,
Une vie déjà écrite dans les lignes d’un ciel,
Mourir un jour en laissant mes mots sur une tombe.



Le temps passe est mon cœur brûle avec le  temps,
J’écoute cette musique qui me berce,
Le temps et en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes yeux pour mieux danser à mon corps.

Aller, je me berce dans cette musique,
Un rythme musical dans mon corps,
Étouffant le temps qui m’engrène chaque jour,
Aller musique emporte-moi vers toi,
Mon corps au rythme de ta musique.


Le temps passe est mon cœur brûle avec le  temps,
J’écoute cette musique qui me berce,
Le temps et en arrêt à ma vie à cet instant,
L’amour est déjà loin comme un vent qui a passé un jour,
Je clos mes yeux pour mieux danser à mon corps.



Edmond NICOLLE
Le 27.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2230

mercredi 22 juin 2016

Amour, je vous fuis à cet instant

Amour, je vous fuis à  cet instant

Je n’ai plus la même image,
L’amour qui passe sans dire mot,
Dans un coin du monde, s’aime des amants,
Je passe sans te voir, l’amour,
J’ai tant divorcé à amour trompé,
Mon âme a du mal à vous reconnaître,
Fuyant de vous aimer encore,
Amour, je vous fuis à cet instant.

L’amour qui a joué bien des fois à mon cœur,
Je m’accroche à des mots futurs,
Ce glisse sur mon corps, un vent,
Silencieux dans ces mots,
Comme une poésie qui part à son souffle,
J’entends un son qui vient au lointain,
Entrainé par le timbre d’un diable en mauvais esprit,
Comme je suis tombé tant de fois à des amours inconstants.

Attendrais-je encore longtemps un amour,
Mon âme devenant instable d’aimer,
Une course effrénée contre un mur de ciel avertit,
Épuisé de languir un amour en attente d’un réel,
Seul mon destin trop sensible finira sur des pages poétiques,
Un amour abstrait sur de l’encre indéterminable en noir écrit,
Je regarde ce ciel de tant de mots déjà envolé en prières,
Mon corps devenant avertit de lignes en point de suspension.


Edmond NICOLLE
Le 22.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2229

lundi 20 juin 2016

Toi et moi simplement

Toi et moi simplement

Loin de nous, les tourments,
L’amour étant ainsi,
Donne-moi la note,
Lentement dansons,
Une musique pour nos cœurs,
Toi et moi simplement.

J’ai mal de ton absence,
Tu me dis que nous nous verrons !
Le temps est devenu bien long,
Je t’aime tellement,
T’attendre et mourir chaque jour sans toi,
Toi et moi simplement.

J’ai appris à t’aimer envers et contre tous,
Nos colères en larmes silencieuses,
L’amour est resté ainsi,
Je suis seul avec toi,
Le vent des paix nous retrouvant encore,
Toi et moi simplement.

Je veux t’aimer simplement,
Effacé, les doutes et les craintes,
Nos petits doigts accrochés à la vie,
Nous aimer d’âme et de corps,
Ensemble balayer nos distances,
Toi et moi simplement.

Viens mon amour nous guérir,
J’ai besoin de te dire mes secrets,
Besoin de te donner mon amour,
Nous regagnent à des jours prochains,
Seulement toi et moi,
Toi et moi simplement.

Mon amour,
J’ai tant besoin de toi,
Vient guérir avec moi, nos douleurs,
Je suis seul à t’aimer à ce jour,
Seul à t’aimer sur le chemin de mes nuits et de mes jours,
Toi et moi simplement.

Edmond NICOLLE
Le 20.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2228

samedi 18 juin 2016

T'aimer à l'amour mon amie, mon amante

T’aimer à l’amour mon amie, mon amante

Partir dans les profondeurs de ton cœur,
Cet amour qui me fait tourment,
Je prie le ciel dans mes prières,
Celle qui m’attend.

L’amour déjà ultimement passé,
Celui de t’aimer mon amie mon amante,
Doucement te chercher sans plus de mots,
Qu’un ciel à l’amour à nos cœurs en prières.

Je t’aimerais en authentiquer d’un ciel,
Comme celui d’aimer à un Dieu éternel,
Mon cœur dans tes yeux, ma prière,
Doucement, mes mains vers toi.

Mon amour, mon amante, je te prie,
Incessante prière de te revoir un jour,
Vivre le plus bel amour d’un instant,
Ressentir les émois de t’aimer.

Je ne suis pas celui des rêves,
La beauté du corps rejetant mon esprit,
Non, je t’aime dans les profondeurs de l’amour,
Ouvrir les yeux et venir à ton regard en prière.

Ensemble à une vie, à l’amour,
 Réchauffé nos cœurs,
Nos nuits à se poser à l’amour,
Vient réchauffer mon amour avec toi.

Je t’aimerais à l’amour digne de foi,
Tant d’histoire que je veux oublier,
Mon cœur dans cet amour appuyé,
T’aimer simplement à l’amour.

Mon amie, mon amante, je te prie.

Edmond NICOLLE
Le 19.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2227

vendredi 17 juin 2016

Je ne sais plus très bien à l'amour

Je ne sais plus très bien à l’amour

Je ne sais plus très bien à l’amour,
Il m’a tant cherché, tant de fois, tant quittées,
Froissé par des mots endiablés à mon corps,
Je me suis troublé bien des fois à sa rencontre,
Une attirance comme un jardin fleuri de Dames,
Mon cœur en unique en question aujourd’hui,
J’ai dans le cœur, un amour tellement en retard !

Je ne sais plus très bien à l’amour,
L’amour s’en va comme un vent ce chassant,
Et moi, je reste encore là à attendre un appel,
Des mains qui ont disparu dans cette brume des matins,
Partie chercher l’amour à des lointains rivages,
Mon cœur en unique en question aujourd’hui,
J’ai dans le cœur, un amour tellement en retard !

Je ne sais plus très bien à l’amour,
Un amour qui m’attend quelque part encore,
Guérir les cœurs aux souvenirs croisés d’une histoire,
Je t’ai laissé par d’autres appellent, venant d’un vent contraire,
Serons-nous guérir de cet amour encore?
Mon cœur en unique en question aujourd’hui,
J’ai dans le cœur, un amour tellement en retard !

Je ne sais plus très bien à l’amour,
Je voudrais revenir à toi et refaire le temps,
Pourrais-tu me pardonner un jour à mes fautes ?
Tant de douleurs, que j’ai blessé ton cœur,
Un amour qui a fui avec le temps et des mots,
Mon cœur en unique question aujourd’hui,
J’ai dans le cœur, un amour tellement en retard !

Je ne sais plus très bien à l’amour,
On m’a fait croire que l’amour était si facile à prendre,
Une fleur que l’on cueille dans ses mains pour la vie,
J’ai connu l’amour qui m’a glissé lentement à sa suite,
Un instant dans un lit, pour me faire rêver à des lendemains,
Mon cœur en unique question aujourd’hui,
J’ai dans le cœur, un amour tellement en retard !


Edmond NICOLLE
Le 17.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2226

mercredi 15 juin 2016

Ce soir, j'ai besoin de nous aimer à l'amour

Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour

Sentir ton corps au mien,
Caresser nos mains à cette aventure,
Je t’aimerais encore plus fort,
Je perdrais mon cœur au tien,
Nous aiment dans cette folie à deux,
Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour.

Il fait froid ce soir,
Je t’appelle avec mes mots,
Un amour qui est bien seul chaque nuit,
Chaque jour, en désespoir de te voir,
Je mourais ainsi sans amour de toi,
Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour.

Les feuilles tombent à mes jours,
Les saisons passent sans me voir,
Chaque matin, un lit vide,
Mes nuits devenant ma solitude,
L’amour devenant des silences,
Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour.

Vient avec moi, nous fairons une saison,
Un jour, des mois dans tes bras,
Je passerais ma main doucement à ton cœur,
Tu viendras atténuer mes douleurs,
 En silence, nous caresserons la nuit à nos corps,
Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour.

Oublions nos histoires qui nous ont marqués,
Le temps passant bien vite pour y rester ainsi,
Ensemble pour un nouvel amour déjà passé,
Viens mon amour consolé nos années de silences
Mon cœur peut encore sauver ce qu’il nous reste à vivre,
Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour.

 Viens mon amour,
J’ai besoin de t’aimer,
Guérir nos plaies du passé,
Ensemble à un nouvel amour,
Je t’aimerais sans façon aucune,
Nous aiment comme les amants d’une histoire.

Ce soir, j’ai besoin de nous aimer à l’amour

Edmond NICOLLE
Le 15.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2225

samedi 11 juin 2016

Réapprends-moi l'amour avec des mots



Réapprends-moi l’amour avec des mots

J’ai trop longtemps désespéré à un amour,
Aujourd’hui, je veux t’aimer avec mon cœur,
Un cœur qui déjà longtemps sans amour,
Souvent, mon cœur pleurait sans aimer à l’amour,
Te sentir, te respirer, seul sur notre lit quelque part.

Réapprends-moi l’amour avec des mots,
Doucement dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au tien, peu importe notre âge,
Fermons le temps derrière nous,
Je veux t’aimer aussi simple que cela.

Je veux t’aimer à ma folie,
Partir avec toi dans les diapasons des corps,
T’aimer aussi fort que l’amour nous appelle,
Sur mon corps, le diaphragme de tes doigts agiles,
Caressant le pourtour de ma chair.

Réapprends-moi l’amour avec des mots,
Doucement dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au tien, peu importe notre âge,
Fermons notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer aussi simple que cela.

Vient vivre la saison des amours,
Cette fleur seule à notre cœur,
Notre amour qui a besoin de refleurir du passé,
Dans le sang, le fruit du suc arrosé pour grandir à la fleur,
Nous cachant un instant aux interdits de l’amour.

Réapprends-moi l’amour avec des mots,
Doucement dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au tien, peu importe notre âge,
Fermons notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer aussi simple que cela.

Nous apprendrons ensemble les mots,
T’aimer avec mes lèvres sur ton corps,
Chercher l’amour caché à foison à nos corps,
Ensemble, nos mains chercheront nos chemins,
De temps barricadé passé sans amour.

Réapprends-moi l’amour avec des mots,
Doucement, dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au tien, peu importe notre âge,
Fermons notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer aussi simple que cela.

Vient comme si c’était une première fois,
Doucement nous ferons l’amour sans bruit,
Juste un instant à des souffles haletants de l’amour,
De petits cris renforcés, nos corps en émulations,
L’amour en complaisance à nos corps en heurts.

Réapprends-moi l’amour avec des mots,
Doucement dans la tendresse de tes mains,
Mon corps au tien, peu importe notre âge,
Fermons notre porte derrière nous,
Je veux t’aimer aussi simple que cela.


Edmond NICOLLE
Le 11.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2224

vendredi 10 juin 2016

J'ai le cœur sentimental

J’ai le cœur sentimental

Je suis né en silence du monde,
Loin des bruits du cosmos,
Souvent, j’ai fermé l’oreille,
Ma souffrance devenue une poésie,
Une muse sachant dire mes maux à la plume.

Le cœur pour une muse,
Ma muse, ma vie entière en elle,
J’ai le cœur sentimental,
Personne ne peut remplacer ma muse,
Une femme à ma nuit, mon encre.

Aujourd’hui, j’écris le temps, les mots,
Mon corps à des notes vagabondes en proses,
Une féerie dansante dans ma tête à des lignes,
Je ne suis pas toujours en accord avec elle,
Des disputes incohérentes, que je ne comprends plus ses mots.


Le cœur pour une muse,
Ma muse, ma vie entière en elle,
J’ai le cœur sentimental,
Personne ne peut remplacer ma muse,
Une femme à ma nuit, mon encre.

J’aime ma liberté, ma solitude,
Au coin d’une falaise où ailleurs,
Je fais le vide, sans plume sans crayon,
Le ciel m’offre son langage à des rêves,
L’amour qui n’est pas pour moi, le sentimental.

Le cœur pour une muse,
Ma muse, ma vie entière en elle,
J’ai le cœur sentimental,
Personne ne peut remplacer ma muse,
Une femme à ma nuit mon encre.

Les gens ne comprennent pas mon langage,
Parfois, moi aussi, je ne sais pas qui je suis en fait,
Qu’un baladin d’une histoire poétique,
Ça fait rire certain, je suis le clown de mon histoire,
Mon cœur qui chancelle en notes, une partition de poésie.

Le cœur pour une muse,
Ma muse, ma vie entière en elle,
J’ai le cœur sentimental,
Personne ne peut remplacer ma muse,
Une femme à ma nuit, mon encre.

Je chante seul, certains sont déjà partis à un ailleurs,
Trouvé, le chant qui leurs vont mieux pour des mots, à des sourires,
Une solitude que chacun a dans le cœur, un message qu’ils leur vont mieux,
Le poète étant le bouc émissaire des relations en lettres pour des cœurs,
Le poète chantant en silence des mots qui disparaîtront entre des mains inconnues.

Le cœur pour une muse,
Ma muse, ma vie entière en elle,
J’ai le cœur sentimental,
Personne ne peut remplacer ma muse,
Une femme à ma nuit, mon encre.

Edmond NICOLLE
Le 10.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2223