J’ai le cœur sentimental
Je suis né
en silence du monde,
Loin des
bruits du cosmos,
Souvent, j’ai
fermé l’oreille,
Ma souffrance
devenue une poésie,
Une muse
sachant dire mes maux à la plume.
Le cœur pour
une muse,
Ma muse, ma
vie entière en elle,
J’ai le cœur
sentimental,
Personne ne peut
remplacer ma muse,
Une femme à ma
nuit, mon encre.
Aujourd’hui,
j’écris le temps, les mots,
Mon corps à
des notes vagabondes en proses,
Une féerie dansante
dans ma tête à des lignes,
Je ne suis pas
toujours en accord avec elle,
Des disputes
incohérentes, que je ne comprends plus ses mots.
Le cœur pour
une muse,
Ma muse, ma
vie entière en elle,
J’ai le cœur
sentimental,
Personne ne peut
remplacer ma muse,
Une femme à ma
nuit, mon encre.
J’aime ma
liberté, ma solitude,
Au coin d’une
falaise où ailleurs,
Je fais le
vide, sans plume sans crayon,
Le ciel m’offre
son langage à des rêves,
L’amour qui
n’est pas pour moi, le sentimental.
Le cœur pour
une muse,
Ma muse, ma
vie entière en elle,
J’ai le cœur
sentimental,
Personne ne peut
remplacer ma muse,
Une femme à ma
nuit mon encre.
Les gens ne comprennent
pas mon langage,
Parfois, moi
aussi, je ne sais pas qui je suis en fait,
Qu’un
baladin d’une histoire poétique,
Ça fait rire
certain, je suis le clown de mon histoire,
Mon cœur qui
chancelle en notes, une partition de poésie.
Le cœur pour
une muse,
Ma muse, ma
vie entière en elle,
J’ai le cœur
sentimental,
Personne ne peut
remplacer ma muse,
Une femme à ma
nuit, mon encre.
Je chante
seul, certains sont déjà partis à un ailleurs,
Trouvé, le
chant qui leurs vont mieux pour des mots, à des sourires,
Une solitude
que chacun a dans le cœur, un message qu’ils leur vont mieux,
Le poète étant
le bouc émissaire des relations en lettres pour des cœurs,
Le poète
chantant en silence des mots qui disparaîtront entre des mains inconnues.
Le cœur pour
une muse,
Ma muse, ma
vie entière en elle,
J’ai le cœur
sentimental,
Personne ne peut
remplacer ma muse,
Une femme à ma
nuit, mon encre.
Edmond
NICOLLE
Le 10.06.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2223
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire