Messages les plus consultés

mardi 30 août 2016

L'amour est comme un vent chassant


L’amour est comme vent chassant

Une brise au lointain rugissant,
Des mots se noyant sur des houles,
Étreint de l’amour dans les corps,
Au matin, restant à se revoir un jour,
L’amour est comme un vent chassant.

Solitude d’aimer,
L’amour suivant des lignes,
Abondons des corps aux nuits,
Une marche indéfinissable du temps,
L’amour est comme un vent chassant.

Liturgie du silence aux verres cathédraux,
Instant de poses, instant de refaire le temps,
Remise à jour des amours abandonnés,
Le corps sur un crucifix d’un nom oublié,
L’amour est comme un vent chassant.

Mon regard sur un ciel indéfini de silence,
Une encre remplissant le ciel de mes mots,
L’amour devenant qu’une muse en page,
Une histoire temporaire d’un amour,
L’amour est comme un vent chassant.

Dilemme de l’amour,
Le fruit de l’arbre perché,
Goût acidulé d’une Eve,
Corps assoiffé à toujours,
L’amour est comme un vent chassant.

Sentiments dans mes entrailles,
Une plume écrivant ma requête,
Le son des mots sur des lignes,
L’amour inachevé de sens,
L’amour est comme un vent chassant.


Edmond NICOLLE
Le 31.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2268

lundi 29 août 2016

Fuite d'une vie, d'un amour désabusé


Fuite d’une vie d’un amour désabusé

L’âme repart sans toi,
L’amour nous a trompés,
Mille fois retournés aux questions,
Finir chacun sur une autre route,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

Je ne suis pas né pour jouer aux sentiments,
Choisir l’amour comme sur des photos,
Mon album est bien plus chargé en histoire,
Tu as joué les espoirs, les sentiments à des prisons,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

Je n’ai pas su t’entendre, parlé d’amour,
Aujourd’hui, l’amour nous abandonne,
Comment aimer quand le temps nous fuit,
Je n’ai plus d’attrait à des désirs,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

Je ne suis plus fidèle à cet amour,
Mourir pour mourir à la vie !
Aujourd’hui, mon amour est en survie,
Mon regard sur des sentiments perdus,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

Fuir l’amour, oui, c’est cela,
Chercher encore un ailleurs plus beau,
Est ça casse encore  en illusion d’aimer,
Je ne veux pas mourir dans la solitude,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

Ne m’exprimez pas de revenir,
L’amour nous a trompés sans nous connaitre,
Les années sont passées en illusion d’un amour,
Je veux connaître l’amour nouveau,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.

L’amour n’est plus aux rendez-vous,
Nos regards devenus lointains,
Une route parsemée de solitudes et de semblant de vie,
J’irais chercher l’amour comme les amants qui se cherchent,
Fuite d’une vie, d’un amour désabusé.


Edmond NICOLLE
Le 30.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2267

samedi 27 août 2016

Mon amie, mon amante, ma confidente


Mon amie, mon amante, ma confidente

Je t’aimerais dans mon éternité,
Voile caché de mon amour,
Mon amour au tien sur tes mains,
À des jours en dérobé d’un amour naissant,
Liberté d’un amour à toi.

Je t’aimerais dans le silence,
Le regard remplaçant les mots,
Liberté d’un instant en fuite du temps,
Compromission d’un amour déjà présent,
Près de toi, un amour nouveau.

Longtemps, j’ai attendu ce moment,
Dans l’ombre, les jours passent sans un amour,
Sentiments pour un amour abandonné,
Mon amour se plongeant dans un naufrage sans issue,
Mes nuits à des pensées nocturnes.

Je n’ose te dire mon amour que j’ai vers toi,
Nos chemins ont été tant bousculés à de faux espoirs,
Simplement te dire, je t’aime sans contrefaçon autre,
Mon cœur avec le tien, sur un chemin d’une amitié,
Une amitié devenant un amour profond.

Sur un bout de ligne, des amants devenus,
Dans les silences du temps,
Aux profondeurs d’un amour inapaisé,
Unissant mon cœur à des espoirs d’un amour,
Un amour devenant à toi, une réalité.

Mon amie, mon amante,
Mes lignes sont pour toi,
Une envolé de mots sur ton cœur,
Un confident, un ami, un amant,
Une prière élevée vers toi.

Edmond NICOLLE
Le 28.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2266

vendredi 26 août 2016

Dilemme de l'amour


Dilemme de l'amour

Je m'ennuie sans toi,
Mon cœur te cherche,
Peut-être, tu es là à m'attendre,
Je t'aime tant à mon cœur.

Je voudrais fuir ce moment,
Cette solitude qui me colle,
Ne pensez qu'à nous deux,
Nous aimer comme si rien n'était comme avant.

Mon amante,
Je n'ai que d’yeux à donner à l'instant,
Un bonheur que je voudrais voir ensemble,
Juste un instant. Une éternité.

Il me presse de te dire les mots,
Celui que mes lèvres oseront t’exprimer,
L'amour que j'ai à te donner de moi,
Simplement te dire, je t'aime.

Ne fuis pas cet amour que j'ai,
Un jour, nous ne serons plus là à pouvoir se dire les mots,
Le temps passera sur des larmes d’une histoire,
Juste un instant le temps de te dire, je t'aime.

Dilemme de l’amour,
Je t’aime tant dans mon silence,
Que mon cœur en souffre davantage,
J’aimerais te dire les mots qu’il convient de dire.


Edmond NICOLLE
Le 26.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2265

Je reviendrai bientôt te revoir


Je reviendrai bientôt te revoir

Mon cœur est mon âme vers toi,
Celle que j’ai découverte à ma vie,
Refaire le temps des amours déjà loin,
Entre tes bras, la douceur de mes mots.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.

Sans cris n’y révolte,
J’ai besoin de toi,
Mon amour t’appelle,
Une nuit, un jour pour nous.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.

Mes mains ont besoin de toi,
Nous ferons l’amour sans penser à autres choses,
Nous sentir libres de nous aimer,
Ensemble renaitre un amour nouveau.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.

Je sais que tu penses à nous,
Ton regard me suit chaque jour,
Nos cœurs restant seuls à nos nuits,
Je saurais me faire taire de nos récits.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.

Je ne suis pas celui venu des rêves,
Non, je suis seulement celui qui te cherche,
Un amour indéfinissable entre nous,
Un amour déjà marqué de souvenirs.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.

Rien est personne ne me fera changer,
J’ai une vie déjà bien longue à des marées troublantes,
Ma vie sur une quille d’une coque instable aux amours,
Des mots-dits en pansent, ne peuvent plus rien.

Je reviendrai bientôt te revoir,
Rien n’est fini pour nous, si tu désires de moi encore,
Ensemble, nous irons contre des vents contraires,
Nous irons vaguer sur des rivages secrets.


Edmond NICOLLE
Le 26.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2264

mercredi 24 août 2016

Aimer encore


Aimer encore

Aimer à contrefaçon,
Désir inavoué, caché,
Sentiments devenus pressants,
Que me reste-t-il ?
Silence à ma vie.

Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Voyage au-delà des principes,
Pénétration intérieure,
Union des corps en sursaut,
Désirs intenses dans mes veines,
Accouplement d’amants.

Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Apaiser l’instant,
Apaiser les silences,
Lèvres joignantes,
Désirs fruités,
Enivrement au corps.

Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Amour caché,
Amour volage,
Amour désir,
Les amants en fuite,
Attrait silencieux.


Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Corps caché,
Voile religieux,
Âme altruiste,
Amour d’une fois,
Les amants d’une histoire.

Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Raison où déraison,
Amour qui se recherche,
Amies sans être,
Amants peut-être,
Une histoire d’un instant.


Aimer encore une fois,
Oui, mon cœur à tant de désirs,
 Amour pour un cœur en silence,
Désirs sans règle,
Aimer encore.

Edmond NICOLLE
Le 25.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2263

mardi 23 août 2016

Juste un jour, une nuit, une éternité


Juste un jour, une nuit, une éternité

Je chercherai tes bras à la nuit,
Un souffle à ma vie,
Mon cœur au tien,
Je te parlerais de mes sentiments.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Nous irons au voyage d’un amour,
Toi et moi, une fois à nos destins,
Oublier tout de la vie,
Oublier nos histoires.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Je t’aimerais avec mon cœur,
Doucement, je viendrais vers toi,
Le silence de tes lèvres, ma direction,
Seuls, nous irons découvrir nos secrets.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Je veux découvrir ton amour,
Unir à la nuit nos corps,
Comme un cri qui vient d’un silence,
Une fois, découvrir ce qui nous fait absence.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Liaison d’un amour,
Liaison des amants d’une fois,
J’ai envie d’une nuit, être avec toi,
Oublier les mots et les cris des ailleurs.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Unir nos amours s’y différant,
Nous irons lutter contre ce souffle,
Unir cet amour dans une nuit aux amants,
Je t’apporterais mon cœur entre tes mains.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Il me reste du temps pour un amour,
Entre tes bras, découvrir ce désir,
Ma liberté de t’aimer une fois,
Sur tes lèvres, fermer nos absences.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Désir un jour, une éternité,
Mon amour à toi seule,
Doucement, mon cœur au tien,
Sentiment d’aimer cet amour tant vigoureux.

Juste un jour, une nuit, une éternité,
Je t’aimerais comme un premier jour,
Encore plus beau dans tes bras,
Un été, un automne, une vie.

Les amants d’une fois

Edmond NICOLLE
Le 24.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2262

lundi 22 août 2016

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête


Les mots dans mon silence cognent dans ma tête

Je n’ai pas su entendre ce souffle,
Qu’un vent me dire, je t’aime,
Instant si fragile, instant insaisissable,
 Un bâton qui me cogne la tête encore,
Tu ne fais pas bien d’écrire des notes.

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant à chercher mon identité dans la foule.

Je voudrais me déshabiller de mon histoire,
Mon corps de tant de fantasmes imprégnés,
Tant d’amours passés derrière des jouissances,
Des amours de tant de citations amoureuses,
Des pensées sur des papiers couleurs, je t’aime.

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent à me regarder sur un miroir invisible,
Le silence sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant à chercher mon identité dans la foule.

Je ne sais pas encore à me découvrir à une femme,
Mes mains sont si fragiles à une rencontre inattendue,
Peut-être m’aidera-t-elle encore à mes silences !
Mes lignes sont trop difficiles à interpeller à ma raison,
 Fuir loin du monde, rire de tout, rire de moi ce que je suis.

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent à me regarder sur un miroir invisible,
Le silence sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant à chercher mon identité dans la foule.

Je voudrais aimer comme l’amour qui espiègle ma pensée,
Un amour qui fuit quand j’ai tout partagé de mon corps,
Une raison d’un amour fuyant toujours à cette vie,
Que le temps fuyant les couples pour des amants d’une nuit,
Le temps n’est pas adapté pour les amours rêveurs.

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant à chercher mon identité dans la foule.

Amour ambigu, amour qui fuit le temps,
Une raison qui me fuit en absence continue,
Une route indéterminable, seul sans personne,
Des mots devenant des silences sur des lignes,
Surdité de la vie, un vent passant pour chasser les mots.

Les mots dans mon silence cognent dans ma tête,
Partir encore sur le chemin de la vie à mes nuits solitaires,
Mes jours passent à me regarder sur un miroir invisible,
Sur ce chemin de tant d’idées à l’amour imparfait,
L’amour passant à chercher mon identité dans la foule.


Edmond NICOLLE
Le 23.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2261

dimanche 21 août 2016

Ma liberté, ma solitude

Ma liberté, ma solitude

Je te regarde avec mes yeux,
J’imagine l’amour, le bonheur,
Les amours qui n’en finissant jamais,
Et moi, je ne sais où, est cet amour.

Ma liberté, ma solitude,
Je suis là à attendre ce départ,
Ma vie pour un destin,
Une étoile à ma vie.

J’ai dans la peau des racines à des voyages,
Je cherche encore cette étoile sur ma route,
Chercher cet éclat pour calmer mes douleurs,
Mon corps est mon âme qui reste à captivé ce rayon.

Ma liberté, ma solitude,
Je suis là à attendre mon départ,
Ma vie pour un destin,
Une étoile à ma vie.

Je suis resté ainsi à attendre,
De racines de mon enfance brisée,
Je me souviens plus très bien aimer,
Le temps qui m’a peut-être fait juge à cet amour.

Ma liberté, ma solitude,
Je suis là à attendre mon départ,
Ma vie pour un destin,
Une étoile à ma vie.

Le temps pour une liberté,
Je veux fuir mes habitudes, cette nostalgie,
Une étoile me dire, oublie tout,
Vers cette fleur, mon destin.

Ma liberté, ma solitude,
Je suis là à attendre mon départ,
Ma vie pour un destin,
Une étoile à ma vie.


Edmond NICOLLE
Le 22.08.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2260