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mardi 31 janvier 2017

Je t'ai quitté,tu me reviens encore à des lignes


Je t’ai déjà quitté, tu me reviens encore à des lignes

Solitude à des cœurs,
Je ne t’aime plus,
Le temps a effacé les mots,
Jamais nous n’avons pu nous retrouver,
Que des mots sur des lignes,
Je t’ai déjà quitté, tu me reviens encore à des lignes.

Je ne veux plus souffrir pour rien,
Mon amour a tant souffert pour des espoirs,
Je refuse maintenant ta main,
Mon cœur est ailleurs,
Une jouissance de paix retrouvée à mon cœur,
Je t’ai déjà quitté, tu me reviens encore à des lignes

Nous étions en désaccords, une guerre constante[en1] ,
Tu voulais m’aimer comme tu le voulais sur des mots,
Mais moi je n’étais pas d’accord avec tes sens,
Un jeu devenu obsessionnelle d’un combat, d’un amour,
L’amour en déraison d’âme d’un condamné,
Je t’ai déjà quitté, tu me reviens encore à des lignes.

Mon cœur n’est plus pour toi, l’amour s’en est allé sans retour,
Comme un vent qui passe, mon souffle a disparu aux vents des épreuves,
Ne reviens pas me quérir sur une déclaration, je suis loin à votre amour,
Mon silence vaut tout sans vous penser à vous, de vos mots mal placés,
Si le temps nous croire à notre chemin, je vous dirais le temps que j’ai perdu en vous,
Je t’ai déjà quitté, tu me reviens encore à des lignes.

Edmond NICOLLE
Le 31.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2385

lundi 30 janvier 2017

Fais-moi dansé des mots avec toi


Fais-moi dansé des mots avec toi

Je veux partir avec toi,
Loin sur des nuages,
Des danses qui durent,
Mon corps détaché,
Comme un oiseau, je vole,
Fais-moi dansé des mots avec toi.

J’ai envies de belles lettres,
Un cœur qui parle de tendresses,
Emporte-moi vers toi, mon inconnue,
Je veux changer les mots, des lignes,
Demain, je veux naitre de nouveau,
Fais-moi dansé des mots avec toi.

Je veux t’aimer sans un regard,
Entendre un son venu d’ailleurs,
Un cœur qui parle, vient vers moi,
Écrire ensemble des lignes, l’amour,
Des notes qui se plaisent en silence,
Fais-moi dansé des mots avec toi.

Je te cherche mon inconnue,
Loin dans un ciel, tes doigts aux miens,
Une plume remplie d’encre et de rêveries,
Dans le silence du ciel, un couple poète en ligne,
Naître de nouveau, nos cœurs en émotions,
Fais-moi dansé des mots avec toi.

Où es-tu mon inconnue à ce jour ?
Je t’attends avec de nouveaux mots,
Des poèmes remplient mon cœur pour toi,
Ensemble, nous partirons sur des lignes,
Des poèmes pour parler du temps et de l’amour,
Fais-moi dansé des mots avec toi.

Edmond NICOLLE
Le 30.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2384

samedi 28 janvier 2017

Rêver, c'est ce qu'il me reste de mieux à vivre


Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre

Rêver avec ma solitude,
Marcher sur des chemins de silence,
Doucement enlacer le temps,
Embrasser une brise au passage,
Faire l’amour quand nos désirs font face,
Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre.

Courir dans les chants de fleurs,
Nos corps humectés de désirs toujours plus intenses,
Un rêve voulant se faire plus vrai à des amours,
Brisé nos retenus qui font maux à nos corps,
Courir plus fort que le temps nous brisants de nos muscles,
Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre.

Une muse, notre chemin pour vivre libre de nos désirs,
Ensemble sur des folies déraisonnables comme des enfants,
Briser le temps de nos histoires à nous morfonde,
Effacé, nos souvenirs qui nous empoisonnant la vie,
Vivre l’amour ainsi sur des lignes de poésie, notre vie,
Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre.

Dépassé, l’entêtement que l’on se fabrique de la vie,
Les poètes se recherchant encore sur des lignes,
Le temps a tant passé à nos devenus d’un horizon plus clair,
Des milliards de poètes se croisent un jour sur des pages,
Tournant chaque nuit une plume pour écrire un appel pressant,
Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre.

Vient danser avec moi les mots,
Une farandole de mots aux poètes,
Des rêves sortant de nos pages blanches,
Partir, fuir le temps d’hier qui nous retient,
Une muse nous invitant à partir loin de nos relieurs poussiéreux,
Rêver, c’est ce qu’il me reste de mieux à vivre.

Edmond NICOLLE
Le 29.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2383

Ma maison n'est pas ici


Ma maison n’est pas ici

Des pierres blanches à mon arrivée,
Loin dans ce ciel, mon lien,
Je retrouverai mes racines que j’ai tant cherchées,
Un corps libéré de cette vie.

Ma maison n’est pas ici,
Me libérer de cette âme en peine,
Le poids de tant d’années sous d’autres cieux,
Arrivé en paix, mon âme au repos d’un ciel de silence.

Ils me retiendront encore avec leurs mots,
Ils ne savent pas comment je souffre de rester,
Le temps qui n’est pas le mien depuis mon premier jour,
Mon corps et mon âme sur des roulis de la vie du monde.

Ma maison n’est pas ici,
Me libérer de cette âme en peine,
Le poids de tant d’années sous d’autres cieux,
Arrivé en paix, mon âme au repos d’un ciel de silence.

J’ai un autre amour depuis mon premier jour,
Un amour personnel à ma vie,
Celui qui c’est déjà faire mes lendemains,
Un amour inconditionnel à ma vie de voyageur.

Ma maison n’est pas ici,
Me libérer de cette âme en peine,
Le poids de tant d’années sous d’autres cieux,
Arrivé en paix, mon âme au repos d’un ciel de silence.

Je me coucherais doucement sans y voir mes blessures,
Partir pour l’infini repos de mon âme et mon corps,
De pierres blanches, la propreté à mon âme tant salie,
Ne plus regretter cette solitude que je suis devenu à cette vie.

Ma maison n’est pas ici,
Me libérer de cette âme en peine,
Le poids de tant d’années sous d’autres cieux,
Arrivé en paix, mon âme au repos parfait d’un ciel de silence.

Je suis se poète déjà inscrit sur des pages, ma prévenance,
Mon essentiel réside dans mes mots, mon clergé a un Dieu,
Mes mots vers l’infini silence, ma demeure,
Une onde d’une muse reflétant se désir d’écrire à cette page, mon vœu.

Ma maison n’est pas ici,
Me libérer de cette âme en peine,
Le poids de tant d’années sous d’autres cieux,
Arrivé en paix, mon âme au repos parfait d’un ciel de silence

Edmond NICOLLE
Le 28.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2382

vendredi 27 janvier 2017

Particules à mon corps


Particules à mon corps

J’étouffe lentement,
Mon corps sur ce Labyrinthe du temps,
Je cherche un abri.

Brouillard dansent à mon souffle,
Un soleil caché dans un ciel gris,
humectent à mon visage, des particules.

Ma peau constante de douleurs,
J'ai froid à mon corps,
Saison pas ordinaire d'un hiver.

Une muse que je ne distingue plus,
Des lignes difficiles à écrire,
Ma douleur fessant obstacle en mes mots.

J’étouffe,
Besoin d'air,
Le temps me brisant mon souffle.

Edmond NICOLLE
Le 27.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2381

dimanche 22 janvier 2017

Les poètes sur des voyages de lignes


Les poètes sur des voyages de lignes

Une écriture pour la vie,
Un segment dans le sang,
Je passe le temps sur des feuilles,
Ma vie sur des poésies.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

 Je voyage au travers du temps,
Mon regard loin du monde,
Tout près de moi, des paysages,
Les couleurs de la vie à mon corps.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

Ma vie est devenue ma solitude,
Je ne me plains pas pour autant,
Je suis heureux comme cela,
La poésie est devenue ma vie.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

Je regarde le monde,
Il y a tant de silence,
Je voyage au travers du temps,
Infinie raison d’une fuite constante.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

Je suis sur des roulis de mots,
Un chant qui m’éveille à chaque fois,
Litanie diabolique dans mon corps,
Une muse, maîtresse à ma vie

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

J’ai cherché ma raison pour un amour,
Je vous aime, mais le temps m’a dépassé,
Je suis sur un voyage loin de vous chérir,
Une muse en moi sur le temps des lendemains.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

Ma vie est sur des lignes,
Je ne peux me plaindre à ce voyage,
Une vie en frein de proses litanies,
Mes doigts entrelacés de lettres.

Les poètes sur des voyages de lignes,
Ne s’arrête plus pour une pause du temps,
Écrire encore, sa vie sur une plume,
Une victoire sur le temps qui passe.

Edmond NICOLLE
Le 22.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973

Texte n° 2379

samedi 21 janvier 2017

Amour fatal


Amour fatal

Frisson des corps,
Il vient sans crier garde,
Je t’aime et tu t’en vas,
Un rendez-vous plus loin,
Amour suprême,
Amour fatal.

Un regard,
Des lèvres,
Un corps changé,
Un verre,
Amour suprême,
Amour fatal.

Amour que je ne connais pas,
Je fuis et tu me suis encore,
Derrière des mots, une femme,
Mes mains derrières cette vitre,
Amour suprême,
Amour fatal.

Non, je ne veux pas de cet amour,
Une fleur tellement belle,
Une rose qui défie les âges,
Se presse de son corps pour supplier,
Amour suprême,
Amour fatal.

 Amour quelque part,
Une femme cachée en son corps,
Un rendez-vous, un jour,
Victime de l’amour,
Amour suprême,
Amour fatal.

 Je te cherche encore,
Peu importe l’image,  
Peu importe le film,
L’amour ravi mon cœur,
Amour suprême,
Amour fatal.

Je sens mon corps me parler,
Faille de désirs en moi,
Désirs invisibles de l’amour,
Une ode de parfum à mon corps,
Amour suprême,
Amour fatal.

Edmond NICOLLE
Le 21.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2378

mercredi 18 janvier 2017

Une histoire comme tant d'autres à l'amour


Une histoire comme tant d’autres à l’amour

J’ai dans la tête des souvenirs,
L’amour glissé un jour sans affinité,
Prostituions de désirs à mon corps,
Mon corps en alluvions d’images.

Je suis devenu réfraction de sens,
Un corps charnel à son temps,
Illusion éphémère d’un amour passager,
Jouissance indéfinissable à mon âme.

Mon âme ne se régénère plus en essence,
Mon corps n’est plus assouvi en désirs,
L’âge me porte à ses désirs au repos,
Une essence de paix à mon âme.

J’ai dans l’âme des désirs de libertés,
Un voyage plus serein à mes pas,
Loin des amours funestes du passé,
Une tache ineffaçable marquant encore.

Je n’ai plus à donner de mon temps à mon corps,
Seul survivant à ma chair, un enfant,
Mon temps étant celui d’un père,
Celui de lui prêter mon attention.

Edmond NICOLLE
Le 18.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2377

vendredi 13 janvier 2017

C'était hier


C’était hier

Le temps a passé,
Mes jeunes années aussi,
Les rayons de soleil se faisant mélancoliques,
Je pense à mon histoire passée,
Il me reste encore quelques cicatrices marquées sur une encre.

C’était hier, le temps à bien changer sur ce que je suis devenu,
Mon corps devenu une muse en mélomane écrite entre mes doigts,
C’était hier, j’ai tourné des pages, mon histoire sur du papier,
Une histoire entre une muse et moi à une vie ésotérique,
Je tourne doucement mon regard avec elle pour des jours meilleurs.

Ma vie est passée sur des rythmes plus inébranlables,
Mon regard loin des troubles passionnés des vies,
Mon corps appartenant à une infidélité, ma liberté,
De déplacement vers une égérie en litanies écrites,
Un rythme, toujours différant des hommes inébranlables.

Je suis sur une oraison en litanie de lettres poétiques,
Je ne changerais plus maintenant les sens de ma vie,
Mon corps et mon âme vers une dépendance écrite,
Ma muse, mon égérie, ajointée en lettres à mon corps,
Son souffle en moi jusqu’à la fin de cette aventure.

Edmond NICOLLE
Le 14.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2375

lundi 9 janvier 2017

Poésie, ma vie


Poésie, ma vie

Muse à ma vie,
Ses mots pour un cœur,
Elle chante des mots pour moi,
Je donne ma vie pour elle,
Poésie, ma vie.

Mes mains sont couvertes de ses lettres,
Une vie qui dure depuis longtemps sur du papier,
Son visage au mien sur une plume de mots tendres,
Loin d’elle, je suis perdu à mes nuits,
Poésie, ma vie.

Elle m’ouvre sa philosophie à mes jours,
Une histoire née depuis ma naissance,
Mieux qu’un soleil, elle est ma lumière,
Ma vie entre ses lettres, l’amour entre nous,
Poésie, ma vie.

Je marche sur des cailloux, elle me porte à ses mots,
Je marche sur ses accords, nous sommes en détente,
Ma vie sur des marées, elle est mon ancre à ma vie,
Quoi qu’il m’arrive, nos sentiments sont liés à toujours,
Poésie, ma vie.

Je forme une vie en elle,
Maîtresse de ma vie,
Ses mots en mon corps,
Signé, sa littérature dans les veines,
Poésie, ma vie.

Edmond NICOLLE
Le 09.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2374

samedi 7 janvier 2017

Survie du temps qui passe


Survie du temps qui passe

Marche nonchalante,
Le temps qui passe à ses pas,
Doucement vers un horizon plus clair,
Le regard dans un lointain souvenir,
Survie du temps qui passe.

Dernier voyage au temps,
Sur le trottoir, une indifférence,
Douleurs en silence avant le dernier souffle,
Regard hagard aux passants sans souffle,
Croisement du temps qui passe avant la mort.

La nuit devenue un long sommeil,
Entre des murs, le bruit d’un autre monde,
Le cœur donnant l’air encore d’une vie,
Calfeutrement de souvenirs décoloré au temps,
Un journal entre les mains, une vie entre des lignes.

Le temps qui passe en silence,
Quelque marchant à la croisée du temps,
Souvenirs habitants encore en mémoires,
Un mot avant de repartir dans les silences du temps,
Doucement, faisant escorte, une vie sur un trottoir sans mot.

Mon regard est en songe à travers une vitre,
Regard lointain vers un trajet semblable,
Ou le temps s’arrêtera de vivre à mon destin,
Des murs remplis de souvenirs après moi,
Le silence remplira mes absences de ponctuations.

Ma vie est une croisée de chemins,
Entre mes doigts, une fragilité d’une encre,
Une plume imbibée de souvenirs sur des pages,
Le temps passant à écrire ce qu’il me reste en mots,
Mon regard à une vie sans définir le temps des lettres.

Souvenirs sur une vitre du temps,
Mon corps suivant les pas d’une histoire,
Nonchalant d’une vieillesse cherchant une fin,
 Loin d’un monde, le décor endormi sur des murs.

  Edmond NICOLLE
Le 07.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2372

jeudi 5 janvier 2017

Oublier hier, oublier le temps




Oublier hier, oublier le temps

Nouveau jour pour demain,
Mon cœur, chaque jour à des espoirs,
Une fleur pour demain à mon cœur,
Mes lettres m’accompagnant à ma vie,
Une cour avec une muse à mon âme,
Oublier hier, oublier le temps,
Demain, l’amour avec une muse sur des lignes.

Sur des chemins, ma liberté,
Les mots me suivent à des détours,
Une aventure avec une muse demain,
Je cours contre le temps,
Des fleurs de paix à mon organisme,
Oublier hier, oublier le temps,
Demain, l’amour avec une muse sur des lignes.

Aimer sur mes lettres,
Mon corps vers une paix,
Hier est déjà passé à l’amour du corps,
J’écris des lignes poétiques pour une muse,
Une femme qui me connaît bien mieux que moi,
Oublier hier, oublier le temps,
Demain, l’amour avec une muse sur des lignes.

Une muse capricieuse chaque nuit, chaque jour,
Une encre qui fuit la nuit sur du papier à écrire,
Je veux parfois faire ma malle pour l’oublier,
Je ne peux partir sans elle, elle me suit,
Chaque minute est pour elle, une plume,
Oublier hier, oublier le temps,
Demain, l’amour avec une muse sur des lignes.

Mon corps et mon âme sur des lignes,
Une muse qui me suit à mes pensées,
Des lettres, chaque jour pour m’escorter,
Une vie ensemble bras dessus, bras dessous,
Une vie à deux sur des chemins philanthropiques,
Oublier hier, oublier le temps,
Demain, l’amour avec une muse sur des lignes.

Edmond NICOLLE
Le 06.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2371

mardi 3 janvier 2017

Année 2017 de tous les espoirs et dévouements


Année 2017 de tous les espoirs et dévouements

Mon cœur bat pour des espoirs,
Je rêve comme l’année passée,
Des musiques pour m’encourager demain,
Mon cœur chante en diapason à de la poésie,
J’écris pour m’encourager au pire où mieux à venir.

Je ne sais pas demain mon avenir,
Mais le temps m’a fait comprendre que rien n’est jamais acquis,
Les saisons, les âges, je pleurerais et je sourirais encore à la vie,
M’a pensé serais encore d’écrire pour espérer tenir un sens à ma vie,
J’écris pour me porter à jour loin des bruits faussés des railleries du monde.

Mon cœur à l’amour d’un sentiment en lignes,
Des sentiments à craquer avec vous sur des lignes,
Partager vos silences et douleurs entre mots avec vous,
Mes lignes loin des frontières de religions et cultures,
Le poète vous donnant de ses lignes pour être avec vous un instant.

Cette année, je ne voudrais pas celle du passé écoulé,
Faire chanter mes mots avec vous,
Des mots qui chantent l’amour,
Mes pensées avec vous,
Habiller cette solitude de la vie avec des mots.

Que cette année nous donnent les mots qu’il faut,
Dans notre cœur, la paix loin des colères du monde,
Le temps grandissant nos espoirs comme la fleur à la terre,
Le poète, toujours présent autant qu’il peut pour partager ses lignes,
Le poète toujours attentif comme les années passées et plus encore avec vous.

Cordialement votre

Edmond NICOLLE
Le 03.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2370

lundi 2 janvier 2017

Sentiment du coeur


Sentiment du cœur

Je ne sais pas comment l’expliquer,
Sentiment ne parlant pas,
J’ai tant aimé par des formules,
Souvent trompé par mes naïvetés,
L’amour aujourd’hui arrivé plus serein.

L’amour aujourd’hui,
Sur des chemins d’un destin,
On m’a laissé comme un vieux ressassé,
Quille aux vents, droits au large,
Mon cœur tant transporté par tant de marées.

Sentiments d’amour au fond de moi,
Le temps a bien changé le monde,
Un monde qui n’est plus le mien aujourd’hui,
Il me reste des sentiments à vous dire les mots encore,
Loin dans un monde furtif d’un amour d’une nuit.

Je ne peux plus me permette à des rêves, une vie autrement,
Même un instant à y croire, seuls les mots sont devenus Litanies,
L’amour est ma demeure, une femme auprès de moi,
Silencieuse, aimant le temps ensemble passé,
Seul compte, le temps qui reste pour des sentiments d’un amour.

Edmond NICOLLE
Le 02.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2369

dimanche 1 janvier 2017

Terre superficielle


Terre superficielle

Agronomie planétaire,
Source morte,
Le monde vers une mort certaine,
Terre épuisée des sources humaines,
Le cœur va exploser en combustion avec le temps.

Bouillon terrestre,
Volcan de feu sous terre,
Mes pas sur une soufrière à demain,
Mon souffle s’épuisant à l’âge d’une vie,
Des mortels condamnant l’univers des philosophes.

Je combats cet univers de l’or en diable,
Un combat des faibles et des forts en ethnique,
Soumissions d’une sauvegarde intellectuelle humaine,
L’argent meneur d’une guerre sans distinction de droits,
La mort demain pour les inassouvies politiquement.

Il ne me reste pas grand vie entre leurs mains,
Leurs sentiments sentent la poudre d’un balayage didactique,
Une guerre entre une vie et une croûte épuisée d’une terre,
Croire où ne pas croire à un Dieu, est un identique tracé contre la mort,
Mes pas sur une poussière d’une terre, asséchée en longueur d’une vie de condamnée.

Edmond NICOLLE
Le 02.01.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2368