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vendredi 31 décembre 2010

Je voudrais arrêter le temps. (Mes voeux les plus sinceres à tous)


Aquarelle réalisé le 31.12.10 N.E.

Je voudrais arrêter le temps



Je voudrais arrêter le temps,

Le temps de revivre,

Le temps de l’adolescence,

Mon cœur bat trop fort, trop vite,

Le temps cours sans s’arrêter à moi,

Je voudrais que les minutes soi éternel,

Celui d’arrêter le temps.



Je voudrais arrêter le temps,

Je chante cette chanson,

Une chanson pour l’éternité,

Chante-chante toujours à moi les espoirs,

Peut-être me donneras-tu un ultimatum,

Toi aux sommets des montagnes,

Celui d’arrêter le temps.



Je voudrais arrêter le temps,

Je voudrais crier au monde,

Ma liberté d’aimer

Celui d’un enfant oublié par le temps,

Chante pour moi, toi qui me dévore à la minute,

Là-haut dans les d’étoiles,

Celui d’arrêter le temps.



Je voudrais arrêter le temps,

Tourne dans ma tête mes dessins de vie,

Je voudrais retourner en arrière,

Mes mots sont une chanson pour toi,

Je compose ma prière pour demain,

Un enfant qui voudrait bien te voir discute,

Celui d’arrêter le temps.



NICOLLE Edmond le 1.01.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/


























lundi 27 décembre 2010

SUR TON VISAGE, UNE LARME - Lucky Blondo (cover)

Mes souvenirs s'effacent

Mes souvenirs s’effacent



Mes souvenirs s’effacent,

Sur des lignes du passé,

Une mer houleuse sur mes doigts,

J’écris toujours ce qui me semble rester,

Je t’aime sur le sable chaud du midi,

Un souvenir suspendu à ma mémoire.



Mes souvenirs s’effacent,

Je me souviens plus très bien,

J’ai fait l’amour avec vous,

Quelque part en France,

Je t’aime sur le sable chaud du midi,

Un souvenir suspendu à ma mémoire.



Mes souvenirs s’effacent,

Je passe à cet endroit qui n’est plus que sable,

Le décor a disparu en ma mémoire,

Fini les dessins gravé sur le sable,

Je t’aime sur le sable chaud du midi,

Un souvenir suspendu à ma mémoire.



Mes souvenirs s’effacent,

Le temps ne suffira pas pour réparer le motif,

J’ai déjà oublié mes traits de lignes sur le sable,

Mes doigts d’enfant,

Je t’aime sur le sable chaud du midi,

Un souvenir suspendu à ma mémoire.



Mes souvenirs s’effacent,

J’écris pour me rappeler aux temps,

Le temps qui vient oublier mes souvenirs,

J’écris sur le sable du midi,

Je t’aime sur le sable chaud du midi,

Un souvenir suspendu à ma mémoire.



NICOLLE Edmond le 27.12.10

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mardi 21 décembre 2010

Marie Laforêt - Cadeau

amour déraisonnable



Amour déraisonnable



Amour déraisonnable,

Je te cherche encore,

Je t’aime quelque part ici,

Sur mes doigts des mots,

Le secret d’aimer.



Amour déraisonnable,

Je me couche avec mes pensées,

Mon corps sur ses draps chiffonnés,

Mes veines en articulations de t’aimer,

Je te cherche encore à mes jours.



Amour déraisonnable,

Je fuis la saga du temps,

Mon âme à la recherche de l’amour,

Voler le temps perdu entres tes bras,

A l’amour déraisonnable.



Amour déraisonnable,

Je fais l’amour avec le temps,

D’idées entre tes bras,

Je me sers de tes mots,

Je voudrais fuir avec toi ses instants.



Amour déraisonnable,

Je te cherche encore,

Dans mon cœur une fuite,

De voler l’amour dans tes bras,

Celui de l’amour déraisonnable.



NICOLLE Edmond le 22.12.10

http://edmondnicolle.wordpress.com/

















dimanche 19 décembre 2010

Je ne peux te quitter toi à l’amour







Je ne peux te quitter toi à l’amour,


Il me prend dans les entrailles,


Toujours plus fort,


Toujours nouveau,


J’aime à l’amour.






Je ne peux te quitter à l’amour,


Toujours à sa recherche,


Une fuite dans le regard,


Une fuite de rêves,


Des câlins toujours.






Je ne peux te quitter à l’amour,


Je t’aime en abondance,


Dans mon corps ce fluide,


Transpercent mon âme à toi,


Sur mes lignes je te donne mon émoi.






Je ne peux te quitter à l’amour,


Celui d’aimer toujours,


Un nouveau regard,


Une nouvelle pulsion,


Je t’aime.






Je ne peux te quitter à l’amour,


Mes pages se tournent à l’unisson,


L’amour toujours à une fin,


Je te cherche encore à mon corps,


L’amour qui me prend dans les entrailles.






Je ne peux te quitter à l’amour,


T’aimer toujours,


Je n’ai pas d’autre solution,


De rester dans mon rêve,


Celui de te caresser toujours.






NICOLLE Edmond le 20.12.10


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Je ne peux te quitter toi à l'amour

Je ne peux te quitter toi à l'amour

Melody Gardot : Baby I'm A Fool ( Live Later) HD

vendredi 17 décembre 2010

Amour éphémère

Amour éphémère

Amour éphémère,

Amour passent,

Fluide d’un instant,

Amour sauvage,

Amour nouveau.



Amour douceur,

Je te caresse,

Sur tes épaules,

Je me profile,

Un instant à toi.



Amour d’un jour,

Coïncidence du temps,

Le corps à l’unisson,

Un éclair d’un instant,

Je suis amoureux.



Amour original,

Demain autre,

Le corps en opportunisme,

Cloîtrer intérieurement,

Corps en foisonnement.



Amour tu passes,

Un instant une minute,

Loin du regard le ton,

Agression de substance,

Tu attends la fin.



Amour passe,

Sur mon corps le tien,

Amour de deux substances,

Un éclair dans l’âme,

Le regard perdu dans infini du temps.



NICOLLE Edmond le 18.12.10

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la mer

jeudi 16 décembre 2010

Le Fit'Club fan2sport - On se Met au Sport avec bernard Laporte - fan2sp...

Charles Trenet - Verlaine

Profitons de la vie à demain



Profitons de la vie à demain

Profitons de la vie à demain,

Nous n’avons peu de temps,

S’amuser sur les saisons du temps,

Ce moqué de l’hiver qui passe,

Danser avec les nuages du ciel,

Que la lune nous regarde d’un air complice.



Je veux jouir du temps entre nos mains,

Mon cœur au tiens sur les escapades du temps,

Peu importe les regards sur nous,

J’ai besoin de toi de nous,

Tu es mon amie la complice du temps,

Demain nous appartiens déjà.



Vient comme les oiseaux du ciel,

Voler avec des ailes sur notre dos,

Entre les mains d’un ciel de compassions,

Vivre respirer sur nos pas aventureux,

L’amour l’amitié de deux cœurs déraisonnables,

L’amour d’une amitié concrète à notre cœur.



Je viendrai te chercher avant la fin de nos jours,

Ici nous établirons nos projets attendus,

Sur les chemins de la vie restante,

Le sourire à ironiser le temps,

Valser sur les ouragans de rêves,

Emporter nos corps dans cette valse.



Le temps nous appartient,

Faisons ce rêve démoniaque du temps,

Vivre le temps des débonnaires,

Valsé entre nos mains les saisons,

Une plénitude de vie ensemble,

Le cœur se presser aux temps.



NICOLLE Edmond le 16.12.10

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mardi 14 décembre 2010

âme en peine



Âme en peine


Sur les souvenirs de ce papier,

J’étais cet homme,

Bien d’autre ont passés depuis ce jour,

Errant sur les caniveaux,

Je me souviens de ce temps-là,

Ma solitude dans une ville,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Non je n’ai jamais oublié,

Ma vie dans le caniveau,

Mon âme sous la pluie,

Le soleil me réchauffer de mes nuits,

Dans cette ville clandestine,

Chercher famine à mon corps,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Errant sur les marches du passé,

Prient un ciel plus clément à mon passage,

Mes yeux sécher avec le temps de pleurer,

Je dessine mes souvenirs,

Seul dans ma solitude du passé,

J’étais celui-là sur ce crayon,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Les cloches sonnent encore à mon âme,

Les souvenirs à mes tripes,

Je dessine celui-ci que le temps n’a jamais oublié,

Mon âme sur les caniveaux du temps,

Les yeux séchés de pleurer,

Ma nuit étant le jour,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



NICOLLE Edmond le 14.12.10




























Âme en peine


Sur les souvenirs de ce papier,

J’étais cet homme,

Bien d’autre ont passés depuis ce jour,

Errant sur les caniveaux,

Je me souviens de ce temps-là,

Ma solitude dans une ville,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Non je n’ai jamais oublié,

Ma vie dans le caniveau,

Mon âme sous la pluie,

Le soleil me réchauffer de mes nuits,

Dans cette ville clandestine,

Chercher famine à mon corps,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Errant sur les marches du passé,

Prient un ciel plus clément à mon passage,

Mes yeux sécher avec le temps de pleurer,

Je dessine mes souvenirs,

Seul dans ma solitude du passé,

J’étais celui-là sur ce crayon,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



Les cloches sonnent encore à mon âme,

Les souvenirs à mes tripes,

Je dessine celui-ci que le temps n’a jamais oublié,

Mon âme sur les caniveaux du temps,

Les yeux séchés de pleurer,

Ma nuit étant le jour,

Je me souviens,

Les cloches sonnées à toutes volées,

Leurs âmes sur les trottoirs de souvenirs.



NICOLLE Edmond le 14.12.10

mercredi 27 octobre 2010

Charles Trenet - L'âme des poètes (Longtemps, ...)

J'entends ce silence





J’entends ce silence

(Un témoignage vécu avec elle par hasard d’une route)



Les Chalands reposent,

La mémoire inscrite sur la barre,

Usé par des mains aventurières,

Les soutes noyées par le temps,

Les caboteurs laissent leurs traînes,

Sur le sable clair d’une marée sableuse.



J’entends ce silence,

Dans un coin d’une pièce,

Une femme habillée de noir,

Aux dentelles dépassées,

Seul un tic tac égueule le silence,

J’affronte mes pensées entre elle et moi,

Il est parti un jour d’une marée ténébreuse.



J’entends ce silence,

Non pas comme je l’espérais

Paix en son âme,

Non un silence éternel,

Celui qui ne revient jamais,

Habité de voix sur ces chalands,

Non il n’y a plus rien.



J’entends ce silence,

Seule une mer rugissante,

N’ose plus noyer ce qu’il reste,

Sur le sable blanc des chalands,

Je reste immobile retenant mon souffle,

Derrière cette pièce sombre,

Une femme en noir reste figée devant moi.



Tic tac tic tac



NICOLLE Edmond le 26.10.10





mardi 2 février 2010

Ma vie mon destin

Ma vie mon destin







Ma vie mon destin,



Je cours Chaque jour,



Sur des chemins inconnus,



Aimer Les Sens conjugués,



Ma pensé à l'horizon de demain.







Ma vie mon destin,



Je ne me pose plus de questions,



Ma vie et un rouage de poésies,



Je suis seul à Comprendre les Sens,



Ma vie à l'horizon de demain.







Ma vie mon destin,



Un regard sur mon plan de vie,



Je ne peux pas me distinguer d'un autre,



J'imagine mes sens seulement pour mieux m'aimer,



Ma vie à l'horizon de demain.







Ma vie mon destin,



Personne m'aimer Peut nec plus que moi,



J'ai Dans Le Sang Le Goût de mes racines,



Une naissance de pas pensé Égal au votre,



Ma vie à l'horizon de demain.







Ma vie mon destin,



Personne Ne Peut Voir mon habitude de demain,



Car moi-même je ne sais pas encore,



Ou il me Menera,



Ma vie à l'horizon de demain.







NICOLLE Edmond



3.02.2010














































dimanche 24 janvier 2010

Récital de l'amour

Récital de l’amour







Récital de l’amour,


Mon corps indigène,


Ce faufile l’amour,


Entres mes bras l’amour,


Sur un passage d’écriture.






Récital de l’amour,


Une bise caresse ma plume,


Un souffle rafraichi mon âme,


Suscite de nouvelles ardeurs,


Sur un passage d’écriture.






Récital de l’amour,


L’amour danse dans l’invisible,


Mes pas sur son destin,


Clandestinement vôtre,


Sur un passage d’écriture.






Récital de l’amour,


Mon livre de demain,


S’ouvre des passions secrètes,


Seul avec vous dans mon livre,


Sur un passage d’écriture.






Récital de l’amour,


Danse des lettres pour vous,


Un poète devenu fou,


De vous aimer à la prose,


Sur un passage d’écriture.






NICOLLE Edmond


2010

















































dimanche 17 janvier 2010

Mon amie

Mon amie






Mon amie,


Tes mots sont les miens,


Riche envies d’assembler,


Nos âmes à dire,


Sur des voix en silences.






Aimer les couleurs abstraites,


Elever dans les rangs respectueux,


Notre passion immortelle,


Ecrire notre dépendance,


Les mots sur les mains d’acteurs.






On ne peut pas nous démêlés,


Enchevêtré dans nos mémoires,


Disfonctionnement de nos sens,


La plume entre les doigts,


Expressions de secours entre les lignes.






Mon amie,


Je n’ai rien à te caché,


Tout et écrit,


Mon âme t’est donnée par délivrance,


Ma liberté en échange de toi.






NICOLLE Ed.


18.01.2010

















jeudi 14 janvier 2010

S'envole une poésie

S’envole une poésie







S’envole une poésie,


Empli le ciel de lettres,


D’hommes et de femmes,


La poésie des amours,


Je t’aime je t’aime plus.






S’en vont allés à la plume,


Les poètes rêveurs,


Coucher sur l’encre,


La frénésie d’écrire,


Les amants d’un jour.






Je cherche ma plume,


Mon destin sur une feuille,


Non pas celle d’aimé a vous,


Seulement posé mon cœur ici,


A mon chemin de lyrismes.






J’ai écrit mille fois,


Mon âme à tout genre,


Sur des lignes aventureuses,


Mes pas sur un ciel de vertige,


Je n’ai pas trouvé de nom propre à moi.






Je suis qu’un poète comme vous,


Ma vie à double sens,


Mon regard loin aux étoiles,


Sur des chemins de poésies,


Un jour bientôt je serai seulement moi.






NICOLLE Edmond


14.01.2010





































samedi 2 janvier 2010

Les bareaux de la liberté

Les barreaux de la liberté







Les barreaux de la liberté,


Une politique de quatre sous,


Enfermé dans une prison d’âme,


Le sexe une sortie délibéré,


Le regard adultère d’un homme,


Une enfant-femme soumise.










Etat d’âme,


Infiltration d’un corps,


Violations intimes,


Femme de désirs,


Alcoolisée dans un lit,


Le corps soumis aux désespoirs.






Femme-enfant,


Son homme et parti,


Une part d’elle c’est envolée,


Le voleur d’âme sans scrupule,


Parti voir une autre femme,


Vidé sa bourse pour une autre.






Ne voit plus le jour,


Son cœur n’a plus de droit,


Femme soumises,


Loin de son enfant,


Se donne sans espoir,


Une croix invisible sur son cœur.






Vie brisé au temps,


Fuite à demain,


Son corps fatigué,


Le cœur aux désespoirs,


Paye la douleur d’un homme,


Enfante la douleur des hommes.






NICOLLE Edmond


LE 2010