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mercredi 30 mai 2018

Le regard loin




(poésie du jour

Le regard loin


Tant d’amour déjà disparu,
Je ne sais plus me souvenir.
Les années, les jours ainsi avec toi,
Je reviendrais un jour sans mots.

Tu m’as remplacé un jour.
Tu n’as pas eu assez de temps pour réfléchir.
Moi aussi, de mon côté, je suis partie.
Sans plus de mots, nous nous sommes quittés.

Je t’ai écrit mainte fois pour te dire.
Nous étions jeunes et vulnérables.
Une histoire comme tant d’autres à notre vie,
L’amour d’un jour n’a pas suffi pour dire.

Doucement le temps a effacé ces images,
Dans ma tête, une fille que j’ai aimée,
Tu t’es arrêté un jour pour me faire l’amour.
Je n’étais pas celui que tu attendais le mieux.

Aujourd’hui, le temps a passé,
Il me reste une encre sur nos pages.
Des souvenirs dans un livre de ma mémoire,
Le temps d’une passade.

Edmond NICOLLE
Le 30.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2685




https://youtu.be/KrR5RLHwAVQ

(poetry of the day

The look already far


So much love already gone,
I can not remember.
Years, days so with you,
I will come back one day without words.

You replaced me one day.
You did not have enough time to think.
Me too, on my side, I left.
Without more words, we parted.

I have written to you many times to tell you.
We were young and vulnerable.
A story like so many others in our life,
The love of a day was not enough to say.

Gently the time has erased these images,
In my head, a girl I loved,
You stopped one day to make love to me.
I was not the one you expected the best.

Today, time has passed
I still have an ink on our pages.
Memories in a book of my memory,
The time of a passing.

Edmond NICOLLE
On 30.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2685

Amour, qui es-tu à ce jour




(poésie du jour)


Amour, qui es-tu encore à ce jour

De reflets d’âme,
De reflets d’un corps,
Qui es-tu encore pour moi?
Amour qui se cache à mes nuits.

Je ne peux te toucher.
Tu es mon existence.
Ma condamnation,
Ma mort.

Il n’y a pas de parfum.
Le vide absolu à mon corps.
Tu joues un échiquier à mon corps,
Un passage qui n’est pas réel.

Abolition du temps,
Mon corps n’est plus.
Croisement du temps à mes yeux,
Mon regard distançant l’amour.

Je me repose sur ma plume.
Douceur d’une rêverie à mes lettres,
Des mots devenus des parfums de fleurs,
Parfums d’un ailleurs à mes inspirations.

Sur mon corps un répit,
Une douceur pour une âme,
L’amour distançant le corps.
Amour, qui es-tu encore à ce jour ?

Edmond NICOLLE
Le 30.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2684





https://youtu.be/gH77lBPsaNk

(poetry of the day)


Love, who are you still to this day

Reflections of soul,
Reflections of a body,
Who are you still for me?
Love that hides in my nights.

I can not touch you.
You are my existence.
My sentence,
My death.

There is no perfume.
Absolute emptiness to my body.
You play a chessboard to my body,
A passage that is not real.

Abolition of time,
My body is gone.
Time crossing in my eyes,
My gaze distancing love.

I rest on my pen.
Sweetness of a reverie to my letters,
Words become perfumes of flowers,
Perfumes from elsewhere to my inspirations.

On my body a respite,
A sweetness for a soul,
Love distancing the body.
Love, who are you still today?

Edmond NICOLLE
On 30.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text No. 2684


jeudi 24 mai 2018

Douceur du temps, d'une vie




(poésie d’un jour)

Douceur du temps, d’une vie


Clisse doucement mes âges.
Une vie naissante chaque jour,
Arriver sans arriver à des limites,
Chaque jour une lisière à ma vie.

Regarder le ciel bleu ou gris,
Je n’ai pas le chagrin de me plaindre.
La vie passe ainsi sans un doute.
Je fais vivre ma vie ainsi à me porter.

Entre mes lignes une étoile qui me parle,
Une lumière qui brille à mon cœur,
Un nouveau départ chaque jour,
J’ai déjà tout oublier du passé.

Ma raison est là.
Heureux d’appartenir au ciel,
Doucement le temps se faisant cette douceur,
Comme une brise dans un large horizon de vie.

Mon âme et mon corps dans une voile,
Je me laisse porté par un vent d’ailleurs.
Mes lettres chantant à m’en réjouir à des lignes,
J’ose vous dire mes inspirations du moment lyrique.

Je passe et ne reviens plus au temps.
Le temps m’emportant vers un ciel plus clair,
Amoureux des lendemains plus audacieux,
Une vie, doucement m’emportant à mon destin.

Edmond NICOLLE
Le 24.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2683




https://youtu.be/ufySzCCBoaA

(poetry of a day)

Sweetness of time, a life


Slowly close my ages.
A fledgling life every day,
To arrive without reaching limits,
Every day a border to my life.

Look at the blue or gray sky,
I do not feel sorry for complaining.
Life passes without a doubt.
I make my life live thus to carry me.

Between my lines a star that speaks to me,
A light that shines in my heart,
A new start every day,
I already forget everything about the past.

My reason is there.
Happy to belong to heaven,
Gently the time doing this sweetness,
Like a breeze in a wide horizon of life.

My soul and my body in a sail,
I let myself be carried by a wind elsewhere.
My letters singing to rejoice in lines,
I dare to tell you my inspirations of the lyric moment.

I pass and do not return to time.
Time taking me to a clearer sky,
Lovers of the most daring tomorrows,
A life, gently taking me to my fate.

Edmond NICOLLE
On 24.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2683

mercredi 23 mai 2018

Nombre de visite du mois de mai

Pages vues par pays


nombre de visite du mois de mai
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Entrée
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États-Unis
111

France
72

Belgique
43

Pologne
36

Espagne
26

Pérou
10

Algérie
8

Russie
7

Allemagne
6

Liban
4


Retrouvé cette histoire




(poésie du jour)

Retrouvé cette histoire


Une histoire, ma vie,
Tant de lignes oubliés,
J’ai fait ce qu’il ne faut pas faire.
Une histoire, une fuite.

Ma vie tant décousue,
Je chante mes désobéissances.
Je n’ai pas su comprendre, savoir.
Le temps est déjà passé pour comprendre.

Je suis ce poète vagabond à des lignes.
Je ne cesse de fuir le doute à mes questions.
Je chante les mots pour une muse qui me reste.
Je m’appuie dans une pauvreté, le regard incertain.

Je voyage au travers du temps.
Parcourant l’impossible destin,
Sur des lignes, une vie de vagabond,
Je chante toujours l’impossible consonance.

Une musique dans ma tête,
Impossible déchiffrage de note,
Je ne peux rester stable à l’écoute.
Je continue à écrire mon histoire.

Monotonie d’une vie de poète,
Je n’ai que ça pour vivre,
Des lignes, mon souffle,
Je suis que ce vagabond du temps.

Une vie à une muse

Edmond NICOLLE
Le 23.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2682



https://youtu.be/tvvrWQvZ6ig

(poetry of the day)

Found this story


A story, my life,
So many forgotten lines,
I did what not to do.
A story, a flight.

My life so rambling,
I sing my disobedience.
I did not understand, know.
The time has already passed to understand.

I am this wandering poet with lines.
I keep running away from doubt to my questions.
I sing the words for a muse that I have left.
I lean in poverty, uncertain eyes.

I travel through time.
Going through the impossible destiny,
On lines, a life of vagabond,
I always sing the impossible consonance.

A music in my head,
Impossible deciphering of note,
I can not stay steady listening.
I continue to write my story.

Monotony of a poet's life,
I only have that to live,
Lines, my breath,
I am that time wanderer.

A life at a muse

Edmond NICOLLE
The 23.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2682




























mardi 22 mai 2018

Sentiment d'une fin en soi





(poésie du jour)


Sentiment d’une fin en soi

éternels recommencements,
Mon âme au travers d’un reflet,
J’ai froid dans ce miroir sans couleur.

Je cherche une lumière.
Scintillement d’un astre,
J’ai froid dans ce tunnel de la nuit.

Mes pas trébuchent aux années passées.
Je cherche une issue de secours, une porte.
Je tourne dans un dédale sans fin.

Ma fuite est dans les proses.
Un silence agaçant en mots lourds,
Dépression silencieuse à mon esprit.

Je vous cherche à mes pages.
Vous êtes déjà reparties,
Trop loin pour vous dire…

Ma vie est une provocation.
 Je me fais la rivalité.
Une guerre déjà perdue.

Mon corps ressemble à la nuit.
Ne sors que sur une plume stries.
Je suis déjà mort dans la vie.

Sentiment d’une fin en soi,
Une vie trébuchante de poésie sent cesse.
Mes nuits sous le défi d’une égérie sans voix.

Edmond NICOLLE
Le 22.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2681




https://youtu.be/ekkPDzacUl4


(poetry of the day)


Feeling of an end in itself

eternal beginnings,
My soul through a reflection,
I'm cold in this mirror without color.

I am looking for a light.
Flickering of a star,
I'm cold in this tunnel of the night.

My steps stumble in the past years.
I am looking for an emergency exit, a door.
I turn in an endless maze.

My flight is in prose.
An annoying silence in heavy words,
Silent depression to my mind.

I am looking for you on my pages.
You have already left,
Too far to tell you ...

My life is a provocation.
 I'm competing.
A war already lost.

My body looks like the night.
Only go out on a feather streaks.
I am already dead in life.

Feeling of an end in itself,
A stumbling life of poetry stops.
My nights under the challenge of a muse without a voice.

Edmond NICOLLE
The 22.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2681


Tourbillon à ma vie



(Poésie du jour)


Tourbillon à ma vie


Dans ma tête, tourne des bulles.
Un tourbillon de mots à une vie,
Hier, c’était déjà loin de moi, d’une histoire,
Une vie remplie de rêves en feuillée.

Rien, je ne peux changer les mots,
Je chasse hier pour un futur sur une encre.
Je n’ai plus le temps de réfléchir à des raisons.
Les mots passent sur les accords d’une plume.

Il me reste mon corps déjà trépassé.
Un corps que j’ai aimé un jour,
Aimer sans l’aimer davantage,
Une main pour me guider à ma vie.

J’ai un ami à ma vie, un Dieu.
Que j’ai peur de me perdre encore,
Si près de moi, une raison qui m’effraie,
J’ai peur, oublié ce qui reste à écrire.

J’ai envie de tout, de rien.
Vivre d’aventures, respirer le ciel,
Tant de bulles dans ma tête,
 Je n’ai plus de place.

Il me reste les mots.
Des mots qui sortent sans bout,
Une égérie qui ne me ressemble pas,
Une liaison intime dans une littérature.

Je ne suis pas encore moi.
Mon corps se dissipant aux temps,
Mon âme qui folâtre en mots,
De poésies à ma vie.

Edmond NICOLLE
Le 22.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2680






https://youtu.be/tpgMXKwOA1c

(Poetry of the day)


Whirlwind to my life


In my head, spin bubbles.
A whirlwind of words to a life,
Yesterday it was already far from me, a story,
A life filled with dreams in foliage.

Nothing, I can not change the words,
I am hunting yesterday for a future on an ink.
I do not have time to think about reasons.
The words pass on the chords of a feather.

I still have my body already dead.
A body that I loved one day,
To love without loving it more,
A hand to guide me to my life.

I have a friend in my life, a God.
That I'm afraid of losing myself again,
So close to me, a reason that frightens me,
I am afraid, forgotten what is left to write.

I want everything, nothing.
Live adventures, breathe the sky,
So many bubbles in my head,
 I have no place.

I still have the words.
Words that come out without end,
A muse who does not look like me,
An intimate connection in a literature.

I am not me yet.
My body dissipating at times,
My soul who sports in words,
Poems to my life.

Edmond NICOLLE
The 22.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2680









 





















vendredi 18 mai 2018

Petite fleur des champs






 (Poésie du jour)


Petite fleur des champs


Je t’envoie mon cœur,
Rien que pour toi,
Un jour, tu as tant aimé,
Une fleurette à tant d’amour.

Dans mon âme, je te sens si près,
La solitude n’était pas encore là,
Tu criais la vie, l’amour, le désir,
Tu as tant joui au soleil des amours.

Aujourd’hui le silence d’une brise,
Le chant d’un amour dispersé à des amants,
Des nébuleuses étoiles dans des soupirs,
En silence, l’âme vagabondant à des voyages.

Le temps chantant les saisons de la fleur,
Une brise caressant une joue du pistil,
Une douceur imaginée d’un vent renaissant,
Mon cœur écoutant le chant d’une voix.

Il y a tant de fleurs, je n’en vois que des milliers,
Des fleurs dans les champs oublier de la vie,
Des fleurs qui brillent sous l’éclat des vents passants,
Dansent doucement pour un jour s’envolent pour un ciel.

Oh fleurs de l’amour, je vous aime tant,
Déjà, le temps nous passant à tant de saisons !
Un semblant de parfum dans un coin d’une pièce,
Éclosion d’une fleur enfermée sur une toile d’un peintre.

Mon regard se fixant à cette plume d’encre,
Un papier pour réciter cette histoire,
Un champ de fleurs pour égayer le temps,
Je dessine la fleur, le souffle d’un instant à mon cœur.
 Edmond NICOLLE
Le 19.05.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2679

 (Poetry of the day)


Little flower of the fields


I send you my heart,
Just for you,
One day, you loved so much,
A flower with so much love.

In my soul, I feel you so close,
Loneliness was not there yet,
You shouted life, love, desire,
You have enjoyed so much in the sun of love.

Today the silence of a breeze,
The song of a love dispersed to lovers,
Star nebulae in sighs,
In silence, the soul wandering on journeys.

Time singing the seasons of the flower,
A breeze caressing a pistil cheek,
An imagined sweetness of a rising wind,
My heart listening to the singing of a voice.

There are so many flowers, I only see thousands,
Flowers in the fields forget about life,
Flowers that shine under the glare of passing winds,
Dancing gently for a day, fly to a sky.

Oh flowers of love, I love you so much,
Already, time passing us so many seasons!
A semblance of perfume in a corner of a room,
Outbreak of a flower enclosed on a painter's canvas.

My eyes fixed on this pen of ink,
A paper to recite this story,
A field of flowers to brighten up time,
I draw the flower, the breath of a moment to my heart.
 Edmond NICOLLE
On 19.05.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2679