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dimanche 30 septembre 2012

Mon enfant mon amour

 
Mon enfant mon amour
 
Je te laisse une place à ta vie,
Une énorme tâche va t’attendre,
Mes pensées seront ton parcours,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
Un jour sera comme un automne,
Tu sauras me lire sur des feuilles du passé,
Je sais que tu sauras prendre soin de mes lignes,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
J’ai préparé déjà le chemin pour toi,
Mon histoire mes dessins,
Les couleurs de mon temps sur les lignes,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
Je serai là à tes rendez-vous en silence,
Mon amour surpassera le ciel,
Mon regard vers toi, les yeux de ton père,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
Je te donne mon âme,
Mon histoire entre tes mains,
L’amour que je t’ai partagé,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
Ma place et aussi à notre histoire,
Notre histoire préparée ensemble,
Sur les chemins futurs, la main unie à notre Dieu,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
Nous chanterons ensemble la liberté,
Notre foi, notre religion d’un père au ciel,
Ensemble, nous regarderons le temps passé,
Mon enfant mon amour,
Je t’aimerais toujours au-delà du temps.
 
NICOLLE Edmond le 1.10.2012
Google+ (Edmond NICOLLE)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


samedi 29 septembre 2012

Je rêve d'un voyage

 
Je rêve d’un voyage
 
Un voyage éternel,
Levant mes yeux au ciel,
Passe toujours ce voyage sans moi,
Je rêve d’un voyage.
 
Voir celui qu’on parle tant,
Habiller de blanc,
Avec une barbe blanche,
Je rêve d’un voyage.
 
Sur un fond de mer,
Se glisse des flots blanchâtres,
Des nuages qui me narguent dans la nuit,
Je rêve d’un voyage.
 
J’ai voulu les suivre de mes pas,
Trop rapide à la force des vents,
J’ai rêvé d’avoir des ailes comme une oie,
Je rêve d’un voyage.
 
Je voudrais une maison sur les nuages,
Vous narguez du haut de mes pensées,
Soufflet sur vous ma tendresse,
Je rêve d’un voyage.
 
Rendre une flèche aux meurtriers assassins,
Sur mon nuage je serais l’ami de l’orage,
Je voudrais geler la terre des infâmes langues,
Je rêve d’un voyage.
 
Amené mon âme tant abimé,
Sur des nuages légers de douceurs,
Ne plus revenir sur cette terre de suffocation,
Je rêve d’un voyage.
 
Je voudrais partir en silence sans vous,
Voyager sur des nuages de silence,
L’horizon serait m’a victoire,
Je rêve d’un voyage.
 
NICOLLE Edmond le 29.09.2012
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 


vendredi 28 septembre 2012

Je ne saurais jamais son histoire

 
Je ne saurais jamais son histoire
 
Son regard est comme l’oiseau,
Je n’ai peint qu’une enfant,
Loin son regard à mon pinceau,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Je n’ai pas fini ces couleurs,
Elle me trouble,
Mes couleurs sont devenues glacés,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Je peins une autre société,
Un monde de demain,
Une libération de consortiums,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Une bleutée d’impuissance à mon pinceau,
Les couleurs secrètes au regard,
Un modèle indéfinissable non terminé,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Juste un passage sur les lignes,
Une déco une ligne sur un papier,
Un visage indescriptible,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Je la doserais un jour peut-être,
D’une autre couleur créative,
D’une correction plus sensible,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
Mes lignes deviennent nulles,
J’écris pour ne rien voir de plus,
Que des couleurs altèrent d’un papier,
Je ne saurais jamais son histoire,
Un pinceau aux altérables du motif.
 
NICOLLE Edmond le 29.09.2012
 
 
 
 
 
 


aquarelle le 28.09.2012



jeudi 27 septembre 2012

Une gouache à la nuit des écrivains-peintres

 
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres
 
De lignes s’envolent au ciel,
Qu’une gouache s’appliquant à dire,
Les sens des étoiles sur le cœur des amants volages,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Je peindrais le symbole de l’amour,
Les feuillages pour couvrir nos écritures,
Le soleil de la nuit pour réchauffer les couleurs,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Je peindrais le corps usé par le temps des souvenirs,
Les couleurs redonnent vie sur la toile du peintre,
Cacher les douleurs par un pinceau maladroit,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Je rêve chaque nuit d’une image nouvelle,
Le décor des amoureux sur le chevalet,
Le vol de l’amour passé sur une gouache,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Mes murs sont habillés pour me tenir chaud,
Chaque nuit moins seule avec ma solitude,
J’écris le temps déjà passé à la montre du temps,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Chacun attend l’autre pour s’exprimer,
Le temps d’un voyage aux souvenirs,
Le peintre sur son pinceau créatif,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Moi l’écrivain de la nuit,
Je rêve encore de l’amour sur mon papier,
Jamais assouvie d’écrire et créateur de couleurs,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
Deux symboles ne pourront être ensemble,
L’écrivain à la nuit des lumières étoilées,
Le peintre sur son pinceau créant les lignes de vie,
Une gouache à la nuit des écrivains-peintres.
 
NICOLLE Edmond le 28.09.2012
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


Combien de prières se sont levées au ciel

  1.  
  2. Combien de prières se sont levées au ciel
     
    Sur des falaises,
    Dans la nuit obscure,
    Violence des corps,
    Le ciel tombé sur un corps,
    Une lune qui rigole,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    Combien de prière pour un enfant,
    Le regard sur la foule des innocents,
    Commandé pour un principe,
    La mort au bout du chemin,
    Une croix de plus sur le cimetière,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    Combien de prière pour des amants,
    Celui qui rêve de fantasmes allégoriques,
    D’homme marié insatisfait religieusement,
    Un manque de foi, certains dirons,
    Une prière au ciel jamais finie,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    Mon enfance déjà passé sans pouvoir oublier,
    Le reste du temps à prier pour une mère,
    A marché en silence vers un ciel plus clair,
    Une haine enfouie par des blessures,
    Une prière pour couvrir les offenses reçues,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    Un poète qui prie la façon à lui,
    Oublient qu’il est poète,
    Des lignes pour celui qui meurt,
    Pour celui qui jouit un instant,
    Impuissant d’être reconnu comment tel,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    Une métaphore de prières,
    Jamais ne couvrira les peines,
    Les blessures du temps passé à prier,
    D’une allégorie futuriste d’un dieu,
    Le poète couvrira en silence ces mots,
    Combien de prières se sont levées au ciel.
     
    NICOLLE Edmond le 27.09.2012
    Barre de recherche GOOGLE ou bing (Edmond Nicolle)
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

mardi 25 septembre 2012

Il revient brasser la lame du port

 
Il revient brasser la lame du port
 
Cet ouragan revient briser le temps de ma marche,
Derrière les carreaux du port, les arrêtes éclaboussés,
Les yeux rivés sur la promenade bordent la côte,
Il revient brasser les souvenirs en moi.
 
 Un rugissement incessant fait rage,
Mécontent du temps paisible,
Un vent chassent m’a fiction d’un automne,
Il revient brasser les souvenirs en moi.
 
Un coupe-tempête sur le dos,
Je m’en vais combattre l’ignominie du vent,
Ricanant à mes oreilles le sifflement d’un air,
Il revient brasser les souvenirs en moi.
 
Se glisse à mes pieds les galets usés par le temps,
Sur une jetée, les voltiges de lames ardentes d’une saison arrêtée,
Ma marche abimée de douleurs, mal habillé sous un poids d’eaux,
Il revient brasser les souvenirs en moi.
 
Je n’ai pas de fleur à lui offrir, il a déjà arraché le cœur,
Je m’en vais seul au combat perdu d’avance,
Une ligné de lames me couvrant le passage,
Il revient brasser les souvenirs en moi.
 
NICOLLE Edmond le 26.09.2012
Web Google= Edmond Nicolle


lundi 24 septembre 2012

Constellation des amants

 
Constellation des amants
 
Jamais sur les lèvres aux étoiles,
Cristalline l’amour d’une nuit,
Le cœur des amants poétiques,
Constellation des amants.
 
La douceur de lignes sur le papier,
Jamais nous ne pourrons-nous affecter,
Au risque d’effacer le rêve,
Constellation des amants.
 
Une fleur sur ton corps,
Les pigments à l’encre rouge,
Une lettre pour son amante,
Constellation des amants.
 
Ils s’aiment aux étoiles,
Dans l’infinie des profondeurs,
Les amants de la nuit,
Constellation des amants.
 
Elle aime faire l’amour,
Le jour en sacrifice de la nuit,
Enthousiasmer  son partenaire,
Constellation des amants.
 
Le cœur à son amant,
Intouchable sur un lit,
Elle pleure sa douleur,
Constellation des amants.
 
Le soir ce réveille aux poètes,
De millier d’écritures imaginaires,
Sur une feuille invisible des amants,
Constellation des amants.
 
Dans un fond des abîmes,
Les couples s’assemblent,
Le cri des amants invisibles à la nuit,
Constellation des amants.
 
NICOLLE Edmond 25.09.2012
Web Google =  Edmond Nicolle


dimanche 23 septembre 2012

Il pleut sur ton visage

 
Il pleut sur ton regard
 
Le regard évasif dans les plaines,
Au travers tes yeux, les souvenirs,
Perles des gouttes sur ton visage abandonné,
Il pleut sur ton regard,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
Le cœur solitaire,
Nostalgie d’un Dieu,
Le doute prenant place,
Il pleut sur ton regard,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
Je t’envoie ce message,
Une prière de réconfort,
Mes mains au ciel,
Il pleut sur ton regard,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
Mes mots sont celles d’un poète,
Aujourd’hui demain,  je serais avec lui et avec toi,
Ma prière pour te soulager de tes larmes,
Il pleut sur ton regard,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
Une foi dans le secret du dieu éternel,
Je t’aimerais en une foi perpétuelle,
Mon amour à celui qui m’a donné une consœur,
Il pleut sur ton regard,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
Je t’aimerais comme jamais je t’ai quitté en lui,
Une foi fervente confessionnal d’une vie à Dieu,
Je t’aimerais toujours au travers du temps et des aires,
Il pleut sur ton visage,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
J’écris pour lui pour toi à ma prière,
Un père disponible pour toi, pour moi,
Ensemble sur les chemins d’une foi,
Il pleut sur ton visage,
Demain sera mieux à ton cœur.
 
NICOLLE Edmond le 23.09.2012
 
 
 
 
 
 


samedi 22 septembre 2012

Le mal d'aimer

 
Le mal d’aimer
 
Le mal d’amour,
Parlez-moi d’amour,
L’amour trop clair,
Le rêve dissipé,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
Elle recherche le temps,
Le souvenir d’avoir aimé,
Un jour de trop à son cœur,
Elle a donné son cœur à son Dieu,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
Sur les chemins de l’inconnu,
Elle marche seule,
Retrouvé celui qui lui fait tant mal,
Son amour de toujours,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
Inscris sur les pages d’un livre,
Chaque nuit pleure son étoile,
Un amour disparu,
Il est passé un jour de trop,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
Elle écrit toujours à la nuit,
Les yeux lui fond mal le jour,
Sur un lit elle attend toujours,
Le cœur tremblant de douleurs,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
Aimer encore,
Faut-il toujours dire,
Au ciel sa douleur,
Un amour disparu,
C’est une prière,
Le mal d’aimer.
 
NICOLLE Edmond le 23.09.2012

Ton corps nu dans un ciel de velours

 
Ton corps nu dans un ciel de velours
 
Déshabillé pour toi sur des feuilles de velours,
Je t’aimerais toujours sur des ligues,
Le cœur à aimer de sens nouveaux,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
Je suis l’amant, la sépia de ton corps,
Mon corps au tient sur les ligues des amants,
Dans la nuit aux musiques célestes,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
Je veux t’aimer loin des vents fâcheux,
Accolé notre amour conjointement au ciel,
Toi et moi seul à l’univers dorsal d’un Dieu,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
Mon amour, amante de mes nuits,
Le corps à l’envoler des arpèges,
N’y ciel  n’y lune sur nos pas,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
Vient je t’aimerais sur mes ligues,
Comme le vent qui chasse l’ombre,
Nos corps nu sous les velours de l’amour,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
Aimer nos corps à la nuit,
Je glisserais sur tes chapitres mes mots,
Les mots pour apprendre à l’amour,
Le sang de l’amour sur nos mains,
Ton corps nu dans un ciel de velours.
 
NICOLLE Edmond le 22.09.2012
 
 


vendredi 21 septembre 2012

Effigie de mon histoire ...

 
Effigie de mon histoire …
 
Je marche sur les chemins du passé,
Déjà mes jours à demain,
Circule mon histoire,
Sur mes doigts, un écrin de poésies,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
Entre mes veines l’amour,
Celle qui passe de commentaire fougasse,
Combien s’y sont attrapés sur mes lignes,
Sur mes doigts, un écrin de poésies,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
Mes sentiers dans vos cœurs,
Celui d’un poète qui aime vous écrire,
De longues histoires pour vos époux,
Sur mes doigts, un écrin de poésies,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
Un enfant cherchant la brise du temps,
L’amour pour son dernier voyage,
Une valise jamais remplie de mots,
Sur mes doigts, un écrin de poésies,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
La nuit est mon histoire,
Je ne suis pas de corps rêvant de vous,
Qu’une âme perdue dans le ciel de la nuit,
Sur mes doigts, un écrin de poésie,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
Je ne suis qu’un poète de passage,
Demain mes lignes s’envoleront,
Sur les mains d’une enfant prête,
Sur mes doigts, un écrin de poésie,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
 
Un écrin, mon histoire,
Je marche dans l’ombre de vous,
Sans voir le jour à vos lignes,
Sur mes doigts, un écrin de poésie,
Effigie de mon histoire à vos nuits.
NICOLLE Edmond le 22.09.2012