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samedi 30 avril 2016

Le temps s'en va comme un fou

Le temps s’en va comme un fou

L’amour s’effritant au temps,
Les corps s’asséchant,
 L’amour sur un fil du temps,
Les saisons sont partantes, aux lointains,
Le silence aux aguets des épreuves.

Le temps s’en va comme un fou,
Mon amour te ferait souffrir encore plus,
Un amour déjà abandonné, mille fois,
Un passé déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche sans toi encore à mes nuits de silences.


On ne peut plus rattraper le temps,
Mon regard ce tournant chaque jour vers un ciel,
Je ne veux plus refaire l’amour comment avant,
Mes carences te feraient peur dans cette absence,
Je ne joue plus à cet amour d’un jour furtif.


Le temps s’en va comme un fou,
Mon amour te ferait souffrir encore plus,
Un amour déjà abandonné, mille fois,
Un passé déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche sans toi encore à mes nuits de silences.


Tu n’entends plus mes appels,
Déjà loin dans la douleur des souvenirs,
Corps désunis de certains jours ensoleillé,
La nuit devenant sans mots à mes lèvres,
L’amour s’effritant chaque jour encore plus loin.

Le temps s’en va comme un fou,
Mon amour te ferait souffrir encore plus,
Un amour déjà abandonné, mille fois,
Un passé déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche sans toi encore à mes nuits de silences.

J’entends au loin comme un appel en retard,
Cabotent sur des rives incertaines d’un amour,
Un fluide incessant de mots devenant des marées sans rive,
De sentiments qui s’égarent au lointain à des rêves,
L’amour qui s’éloigne encore plus loin avec le temps.

Le temps s’en va comme un fou,
Mon amour te ferait souffrir encore plus,
Un amour déjà abandonné, mille fois,
Un passé déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche sans toi encore à mes nuits de silences.


Edmond NICOLLE
Le 01.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2195

vendredi 29 avril 2016

Arrêter la vie...


Arrêter la vie
Arrêter de souffrir


Le temps se presse,
L’amour, quelque part,
Dans tes bras, la paix,
Guérir ensemble,
Je n’ai que toi à cette vie.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Nous avons déjà fait une vie,
Mille fois sans réponse des amours,
Imagination plus loin dans nos détresses,
Nous avons survécus tant bien que mal,
Revenants toujours à cette question !

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

J’ai perdu bien des fois,
Le cœur en illusion,
Aujourd’hui que nous reste-t-il ?
Refaire le temps des saisons,
Des mots si fragiles avec le temps.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Comment nous aimer encore ?
Comment nous supporter encore ?
Des mots qui sont devenus des silences,
Des blessures que l’on voudrait disparaître,
L’amour loin d’une histoire passé.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Je veux être un rêve,
L’amour à deux,
Entendre le vent chanter sur nos lèvres,
Entre nos lèvres, l’amour,
S’accrocher une fois encore dans ce rêve.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Nos regards comme des étoiles d’un ciel,
Ensemble s’accrocher à ce bonheur,
Un instant, une éternité comme un rêve,
Nos cœurs accrochés pour effacés,
Nous aimer, nous accrocher.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Je veux t’aimer, nous aimer,
Nous éloigner de ce monde un instant,
Refaire le temps ensemble dans des bras,
Entendre le chant à nos cœurs en souffrances,
Renaître la saveur de vivre ensemble à l’amour.

Arrêter la vie,
Arrêter de souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à nouveau,
L’amour pour effacer nos douleurs.

Edmond NICOLLE
Le 30.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2194

mercredi 27 avril 2016

Seul devant Dieu...

Seul devant Dieu…


Ma foi me détachant dans ces rives,
Beauté du cœur, je l’aime éternellement,
L’amour que j’ai de lui, n’est pas égal à l’épouse,
Mon cœur pense à lui toujours à mes jours,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

Je suis seul devant son autel,
Je lui parle avec des mots, mes sentiments,
L’amour que j’ai pour lui et bien plus riche que de l’or,
Je suis avec lui toujours, même s’il m’arrive de l’oublier,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

Ma vie et une compétition aux hommes,
J’ai fauté bien des fois loin de son regard,
 Le silence devenant une prière chaque jour,
Tu me donnes l’amour à mes jours,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

Mon regard et né dans un ciel,
Ma route et vers celui qui m’a donné la vie,
Toujours avec lui dans les moments de ma vie,
Ma vie entre les mains d’un Dieu, ma vie avec lui,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

On m’a jeté en pâture des hommes,
Ma naissance était déjà une épreuve pour les hommes,
Les hommes peu scrupuleux de mon amour à un Dieu,
Ma prière était et reste encore ma foi aux intolérants,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

J’aime celui qui est dans le ciel, mon lien d’amour,
Un père qui me suit toujours à des épreuves de ma vie,
Seul lien divin d’une foi, mon rédempteur à ma vie,
Son amour à une plus grande importance que celui des hommes,
Seul devant Dieu, son amour compte à ma vie.

Je t’aime.

Edmond NICOLLE
Le 28.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2193

lundi 25 avril 2016

Sentiments sur les lignes


Sentiments sur les lignes

Un crayon en forme de cœur,
Je t’aime mon inconnu (e),
J’écris des mots pour vous,
Un chant pour des cœurs.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.

Les gens m’ont détesté,
Je n’ai pas fait comme eux,
J’ai dans le cœur un échec,
Un amour brisé à la réalité.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.

Je déteste ce qui n’est pas simple,
Mon regard s’effaçant pour une liberté,
Un goût déjà ressenti à ma vie,
Sentiment sur une route égaré à des aubes.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.

Ma vie et une vie en déambulatoire,
Je cherche l’amour loin de vous, loin de toi,
Comme un ciel qui me prévient en mots,
Le temps n’est qu’une attente pour mourir.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.

Je sais une chose,
Je vous aime, même si je suis loin,
Mon regard, seul devant vous,
Je vous aime en silence de vous.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.

Mes mots m’aident sur mes solitudes,
Suivre cette route longue à mes nuits,
Des poésies pour un Dieu à mes silences,
Ma vie en enclave du temps.

Sentiments sur des lignes,
Je vous aime en émotions,
Poésie pour ceux comme moi solitaire,
L’amour dans des livres d’une histoire.


Edmond NICOLLE
Le 26.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2191

samedi 23 avril 2016

Tout n'était qu'un rêve à notre histoire

Tout n’était qu’un rêve à notre histoire

Entre toi et moi, il n’y a plus rien de cet amour,
Ce n’était qu’un rêve sur des mots d’un diable,
Aujourd’hui, je sais que c’est autrement plus clair,
Ma vie, je la laisse ce glissé avec le temps d’un Dieu,
Tout n’était qu’un rêve utopique d’un amour incertain.

L’amour était le seul complice d’une inexacte réalité,
Toi et moi transporté sur une configuration incertaine,
Un diable ajustant les cœurs désespérés d’un amour,
Ce bordant  à nos coté en déraison d’un amour furtif,
Tout n’était qu’un rêve utopique d’un amour incertain.

Je ne t’apporterais aucun pardon à cet amour sans déraison,
Mes mots devenant complices dans le corps d’un diable,
J’ai prié contre nature du temps, qui m’a fait perdre mes sens,
Je ne peux pas aimer autrement que par la foi d’un Dieu,
Tout n’était qu’un rêve utopique d’un amour incertain.

Mes lignes seront à te mettre en colère en parodie de mots,
De mots injurieux aux travers des atteintes causés d’un amour,
Un amour instauré dans des cœurs en perditions de quêtes,
Le diable faisant son œuvre destructeur d’âmes en noyant de mots,
Tout n’était qu’un rêve utopique d’un amour incertain.

Tout n’était qu’illusion à un paragraphe de sentiments,
Mon sentiment d’être trompé par un diable hâtif d’en découdre,
Mon âme en divorce d’un Dieu par des mots endiablés de sens,
Ma vie dans un cercueil aux enfers d’un diable destructeur,
Tout n’était qu’un rêve utopique d’un amour incertain.

Edmond NICOLLE
Le 24.04.2016
                                             Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2190

Séduction de l'amour

Séduction de l’amour

Je t’aime, demain un autre jour,
Le temps passe ainsi avec toi,
Les amants du temps passé,
Les amants d’un jour en trop,
Séduction vers une mort certaine,
Séduction de l’amour inachevé,
Demain, nous nous aimerons différemment,
Demain, je t’aimerais.

Le temps s’en vient et s’en va avec l’amour,
Tu cries ton amour, je pars encore,
Toujours mes pas vers un ciel d’un Dieu,
Je fuis l’amour d’un cœur en tourment,
Séduction vers une mort certaine,
Séduction d’un amour inachevé,
Demain, nous nous aimerons différemment,
Demain, je t’aimerais.

Je ne veux plus de toi à mon espace,
Trop souvent en peine dans des lignes,
Je t’ai aimé, je me suis brûlé en émotion,
Un amour fou sans nous voir un instant,
Séduction vers une mort certaine,
Séduction d’un amour inachevé,
Demain, nous nous aimerons différemment,
Demain, je t’aimerais.

Demain, je serais ailleurs,
Aimer encore, mieux qu’hier,
Ne pas refaire ce que je connais des tourments,
Je l’aimerais, demain pour un autre amour,
 Séduction vers une mort certaine,
Séduction d’un amour inachevé,
Demain, nous nous aimerons différemment,
Demain, je t’aimerais.

Demain, une amie sur des lignes,
Sur des lignes, un amour entre des cœurs,
Oui avant de partir, nous saurons nous aimer,
Nous aimant pour oublier le temps de nos hier,
Séduction vers une mort certaine,
Séduction d’un amour inachevé,
Demain, nous nous aimerons différemment,
Demain, je t’aimerais.


Edmond NICOLLE
Le 23.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2189

jeudi 21 avril 2016

T'aimer toujours


T’aimer toujours

Savoir aimer,
T’aimer avec mon âme,
Te recevoir comme tu es,
Mon amour qui vient vers toi.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

Passion du cœur,
Tes mots en moi,
Un chemin à des âmes,
L’amour pour deux.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

T’aimer à l’impossible,
Nos regards se perdre dans les souffles,
Dans la passion, t’aimer,
Je vais t’aimer comme des sons.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

L’amour sur des sentiments,
Partager ensemble nos abattus,
Loin du monde, mon amour à toi,
Enlacé, ton cœur au mien de mots.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

Je veux t’aimer,
Mon âme qui a besoin de toi,
Loin du corps, mon âme à toi,
Des mots ensemble à se dire !

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

Ensemble, nous serons mieux,
Entendre t’a voix,
Lire tes mots,
Ensemble dans cet amour.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

T’aimer comme tu es,
De colères et de pardons,
Nos mots sur des voies différentes,
Pardonner toujours.

T’aimer avec passion,
T’aimer avec mon cœur,
Des mots ensemble,
T’aimer toujours,
Mon âme à toi.

Edmond NICOLLE
Le 21.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973

Texte n° 2188

mardi 19 avril 2016

Moment de poésie


Moment de poésie

Un monde à part,
Détente du corps,
Filé les perceptions,
Oublier le temps d’hier,
Effacé, les mots.


Poète s’effaçant doucement,
Ces lignes dans un ciel de douceur,
Comme un oiseau envolé en grâce,
Aux ailes légères en vent de plénitudes,
Le temps devenu au poète, une muse en grâce.



Ne plus rien émettre à l’encre à l’instant,
Une muse veillant en silence une âme d’un poète,
Un couple soudé dans un ciel de silence de lignes,
Une égérie de poésies s’envolant dans un ciel sans retour,
Un ciel bloquant un couple en mots.


Le poète n’a plus de saisons,
Le temps et à chaque jour ces mots,
N’est plus en couple à la vie du monde,
Doucement s’espaçant de sa chair,
Une solitude gagnante en espace d’une muse.

 Poète sur une rive silencieuse de proses,
Une muse le dirigeant sur ses rivages du temps,
Le poète agrée de poésies en des voyages sans fin,
Entre ses mains, une muse le conduisant vers un ciel de grâce,
Loin des remous d’une terre brûlante de mots pesants.

Le poète doucement, s’en va à ses lignes,
Chaque jour, en des mots philanthropes,
Une muse l’enlevant toujours plus loin,
À l’égard  de pensée altruistes,
Un monde qui déjà s’en écartant de son égérie.


Edmond NICOLLE
Le 20.04.2016
Créateur de poésies depuis 1973

Texte n° 2187