Le temps s’en va comme un fou
L’amour s’effritant
au temps,
Les corps s’asséchant,
L’amour sur un fil du temps,
Les saisons
sont partantes, aux lointains,
Le silence
aux aguets des épreuves.
Le temps s’en
va comme un fou,
Mon amour te
ferait souffrir encore plus,
Un amour
déjà abandonné, mille fois,
Un passé
déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche
sans toi encore à mes nuits de silences.
On ne peut
plus rattraper le temps,
Mon regard
ce tournant chaque jour vers un ciel,
Je ne veux
plus refaire l’amour comment avant,
Mes carences
te feraient peur dans cette absence,
Je ne joue
plus à cet amour d’un jour furtif.
Le temps s’en
va comme un fou,
Mon amour te
ferait souffrir encore plus,
Un amour
déjà abandonné, mille fois,
Un passé
déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche
sans toi encore à mes nuits de silences.
Tu n’entends
plus mes appels,
Déjà loin
dans la douleur des souvenirs,
Corps désunis
de certains jours ensoleillé,
La nuit
devenant sans mots à mes lèvres,
L’amour s’effritant
chaque jour encore plus loin.
Le temps s’en
va comme un fou,
Mon amour te
ferait souffrir encore plus,
Un amour
déjà abandonné, mille fois,
Un passé
déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche
sans toi encore à mes nuits de silences.
J’entends au
loin comme un appel en retard,
Cabotent sur
des rives incertaines d’un amour,
Un fluide incessant
de mots devenant des marées sans rive,
De sentiments
qui s’égarent au lointain à des rêves,
L’amour qui
s’éloigne encore plus loin avec le temps.
Le temps s’en
va comme un fou,
Mon amour te
ferait souffrir encore plus,
Un amour
déjà abandonné, mille fois,
Un passé
déjà loin à donner mes espoirs à des destins,
Je me couche
sans toi encore à mes nuits de silences.
Edmond
NICOLLE
Le 01.05.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2195
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