Arrêter la
vie
Arrêter de
souffrir
Le temps se
presse,
L’amour,
quelque part,
Dans tes
bras, la paix,
Guérir ensemble,
Je n’ai que
toi à cette vie.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Nous avons
déjà fait une vie,
Mille fois
sans réponse des amours,
Imagination plus
loin dans nos détresses,
Nous avons
survécus tant bien que mal,
Revenants
toujours à cette question !
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
J’ai perdu
bien des fois,
Le cœur en
illusion,
Aujourd’hui
que nous reste-t-il ?
Refaire le
temps des saisons,
Des mots si fragiles
avec le temps.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Comment nous
aimer encore ?
Comment nous
supporter encore ?
Des mots qui
sont devenus des silences,
Des
blessures que l’on voudrait disparaître,
L’amour loin
d’une histoire passé.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Je veux être
un rêve,
L’amour à
deux,
Entendre le vent
chanter sur nos lèvres,
Entre nos
lèvres, l’amour,
S’accrocher
une fois encore dans ce rêve.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Nos regards
comme des étoiles d’un ciel,
Ensemble
s’accrocher à ce bonheur,
Un instant,
une éternité comme un rêve,
Nos cœurs
accrochés pour effacés,
Nous aimer,
nous accrocher.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les
souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Je veux
t’aimer, nous aimer,
Nous
éloigner de ce monde un instant,
Refaire le
temps ensemble dans des bras,
Entendre le
chant à nos cœurs en souffrances,
Renaître la saveur
de vivre ensemble à l’amour.
Arrêter la
vie,
Arrêter de
souffrir,
Arrêter les souvenirs,
Renaître à
nouveau,
L’amour pour
effacer nos douleurs.
Edmond
NICOLLE
Le
30.04.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2194
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