Une âme sur les lignes de poésies

Une âme sur des lignes de poésies

Une âme sur des lignes de poésies,

Circule un faut poète assoiffé de rêveries,

Pénètre dans le cœur d’un écrivain auteur,

Déborder de mots insalubres,

Un poète malfrats à l’encre sale.

Une âme sur les lignes de poésies,

Le visage montré d’un auteur,

Ce fait passé pour un auteur,

Déçu sur des lignes imaginées,

Vole une âme à Dieu.

Une âme sur les lignes de poésie,

Bien malheureux le poète sur ces lignes,

Ecrit sa pensé aux travers d’une encre noir,

Une croix marquée dans son livre de sa mémoire,

Un faut poète est passé par là volé son âme.

Une âme sur les lignes de poésies,

Ne chercher pas ma plume,

Je pourrai vous emmené au diable,

Envahir votre foi pauvre de m’avoir voulu,

Vos doigts Sali de m’avoir volé mon âme.

NICOLLE Edmond

31.12.09

Sur les sommets de mon âme

Sur les sommets de mon âme

Sur les sommets de mon âme,

Coule des lettres Souillé par le temps,

Une âme qui voudrait en sortir clair,

Jeté ma mémoire dans la falaise des mers,

Le sang ce perdre dans un océan d’un diable.

Sur les sommets de mon âme,

Monter vers Dieu,

Respirer les monts nouveaux,

Donner mon âme à l’air ,

Le sang ce perdre dans un océan d’un diable.

Sur les sommets de mon âme,

Loin du monde mes appétences,

Souligné mon âme à Dieu,

D’un appétit de proses manipulé aux hommes,

Le sang ce perdre dans un océan d’un diable.

Sur les sommets de mon âme,

Chercher le cœur soigné d’un père,

En silence venir a lui sans idées préconçu,

L’aimer d’un cœur propre sans lignes,

Le sang ce perdre dans un océan d’un diable.

Sur les sommets de mon âme,

Je cherche le sentier aplani d’un père,

Mon âme à Dieu,

Mes pas vers lui,

Le sang ce perdre dans un océan d’un diable.

NICOLLE Edmond

30.12.09

En silence je vous écris ma lettre

En silence je vous écris ma lettre,

Une prose qui n’en fini jamais,

Le temps les années la nuit,

Tout ce mélange à ma plume,

Le poète qui n’en fini jamais d’écrire ces lexies.

En silence je vous écris ma lettre,

Solitude d’un temps d’une durée indéterminé,

Je souffle les mots sur une feuille jamais fini,

La couleur de l’encre parvis mon âme de proses,

Le poète qui n’en fini jamais d’écrire ces lexies.

En silence je vous écris ma lettre,

Je contemple mes envies de vous écrire sur votre cœur,

Le temps me gagne de vous presser de sortir les mots,

Fait naitre en moi une corruption d’un poème à vous,

Le poète qui n’en fini jamais d’écrire ces lexies.

En silence je vous écris ma lettre,

Je n’ai pas le temps de flâné au vent,

Mon sang coule une tempête de maux,

Trahissons des textes écris de mon âme de vous choisirent,

Le poète qui n’en fini jamais d’écrire ces lexies.

En silence je vous écris ma lettre,

Demain peut-être mes proses s’envoleront au vent,

Il pleuvra des tempêtes de poésies à votre nuit,

Taché de sang d’aimer votre amants sur un livre,

Le poète qui n’en fini jamais d’écrire ces lexies.

NICOLLE Edmond

29.12.09

Nuit obscure Nuit de velours

Nuit obscure

Nuit de velours

Nuit obscure,

Nuit de velours,

Ce cache à la nuit,

Le corps étendu,

Une femme soupirante,

Le corps aux étoiles.

Nuit obscure,

Nuit de velours,

Le corps en appel,

A la douceur de l’amour,

Un ciel aux décors lumineux,

Une femme aux frissons de corps.

Nuit obscure,

Nuit de velours,

Ce glisse sur son corps une brise,

Une caresse d’étoiles,

Le souffle humecté de l’amour,

S’envole le corps sur un tapis d’étoiles.

Nuit obscure,

Nuit de velours,

Je me laisse glisser à elle,

Lui jeté un souffle d’étoiles sur son amour,

En silence sans la brusquer d’un instant,

Ce glisse doucement nos corps au ciel.

Nuit obscure,

Nuit de velours,

Je me laisse emporter avec elle dans la nuit,

L’amour dans le ciel de la nuit,

Concilier le nombre d’étoile à notre amour,

Partir au souffle du cœur le corps à nous aimés.

NICOLLE Edmond

28.12.09

Je voudrai te dire à demain

Je voudrai te dire à demain

Je voudrai te dire à demain,

Sur une plateforme d’apaisement,

Loin dans la montagne des hommes,

Retrouvé mon âme d’avant,

Dans le brouillard de la nature.

Je voudrai te dire à demain,

Pressé chaque jour dit venir,

Changer l’air à mes poumons,

Mourir ainsi dans le silence,

La vie citadine à mon âme.

Je voudrai te dire à demain,

Monter ce chemin vers Dieu,

La dureté du terrain à mes pas,

Comme le calvaire du Christ,

Un chemin semé de prières.

Je voudrai te dire à demain,

Rendez-vous dans la montagne,

Me marier avec toi,

Laisser mon corps dans la montagne,

Mon âme au repos de vous aimé ici.

Je voudrai te dire à demain,

Entre mes mains un dessin,

D’un sentier arranger,

Le pinceau d’une âme,

Une ligne de liberté.

Merci à toi l’artiste quelque part à ma vie.

NICOLLE Edmond

2009