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lundi 25 juillet 2011

J'entends encore ces cloches sonner

J’entends encore ces cloches résonner




Dans un ciel lourd,

Sonne encore des résonances,

Comme un passé qui revient,

Je ne sais d’où,

Je ne sais plus très bien,

Peut-être un appel vu d’un ciel.



Faut-il encore me sacrifier ?

Aimer à demain,

Tellement de temps passés,

Tellement d’efforts donnés,

Pourquoi ce fantôme me hante-il ?

De pas lourd dans un ciel gris.



J’entends encore ces cloches résonner,

Comme des ombres qui se caches en moi,

Dans ma tête seul avec elles,

Elles résonnent comme un sacrifice,

Le mien sur des souvenirs passés,

De sons qui me hante à mes nuits.



Pourquoi faut-il que j’écrive encore,

Peine perdu sur des lignes de papiers,

Je voudrais trouver une sortie,

Un ciel à une foi, une clé pour silence,

Non je voudrais déjà passer outre ces obligeantes,

De cloches qui résonnent encore en moi.



NICOLLE Edmond le 26.07.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

mardi 19 juillet 2011

Une feuille qui s'envole une fois encore

Une feuille qui s’envole une fois encore




Une feuille qui s’envole une fois encore,

Je maudirai le temps qui passe,

Si je n’étais pas poète à mes temps,

Le temps de la pluie, celui des pleures,

Le crie de l’âme sur ma plume.



Ne me demandez-pas qui je suis,

Je n’en sais toujours pas la raison,

Qu’un Dieu qui fait référence de mes actes,

Pour me supplier de rendre grâce à son autel,

Comme un chien avant de mourir.



Que Dieu me pardonne en ces mots,

J’ai bâtit des idées irréels qui me traques,

Des sens qu’un ciel efface les témoins,

Ne soyer pas indulgent,

Car vous n’y êtes pas en la raison.



Je suis le corps qui effleure la damnation,

Le poète à tous les sens du thème,

Le voleur qui vole l’amour sur des lignes,

Le jeu du droit au couperet d’une sentence,

Je suis ce poète damné du temps pressent.



Quand une page ce tournent à mes écrits,

Je retourne à la castration du poète,

Le stylo enfoui à ma perte,

Un passé comme une boule en combustion,

Enfouissent mes écrits sous terre d’un Dieu.



NICOLLE Edmond le 19.07.11

http://poemesauxtraversdutemps.over-blog.com/

samedi 16 juillet 2011

Dans le silence


Dans le silence de la nuit




Dans le silence de la nuit,

Je cours sur l’infini d’un ciel de brume,

A une enfance déjà passée,

D’une brume caressante sur mes joues,

Comme d’une foi retrouvée.



Dans le silence de la nuit,

Je roule avec le temps,

Très vite passé sur cette route,

Je voudrais rester ici,

Comme un poète de souvenirs.



Dans le silence de la nuit,

Entre ciel est terre,

Difficile dit grimpé,

Je me voyais déjà plus haut,

Au rendez-vous d’un ciel.



Dans le silence de la nuit,

Une mort, une vie,

Passe le temps d’une brume,

Le temps d’un rideau blanc,

Comme une cape d’un Dieu surgissant.



Dans le silence de la nuit,

Une nuit éternelle dans un fond,

Une image déjà nue de sens,

J’absous le cap d’un passé,

Un sens avide de la mort à la vie.



Dans le silence de la nuit,

Je roule toujours sur cette route,

Une route immaculée d’espoir à demain,

L’espoir d’une route à la brume,

Je roule je roule toujours à demain.



NICOLLE Edmond le 16.07.11

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lundi 11 juillet 2011

Je me repose sur ses vagues en alertes

Je me repose sur ses vagues en alertes




Allonger sur le sable,

Dans une houle je regarde ce ciel,

Aux cries de mouettes affamer,

Un ciel trempé de moussons,

Je me repose sur ses vagues en alertes.



Elle était mon état d’âme,

Dans ce silence inhabituel,

De sables qui craques sur des lames,

Une amie aux rendez-vous des sons,

Je me repose sur ses vagues en alertes.



Elle était belle de couleurs sauvages,

A chaque instant dans un ciel tournant,

Briller le décor des falaises blanches,

Toujours en alerte d’une vague caressante,

Je me repose sur ses vagues en alertes.



Comme un oiseau en alerte,

D’années écoulées sur les marées du temps,

Je recherche ses ressources dans l’abîme des mers,

Sur cette plage de sables mon attente pour elle,

Je me repose sur ses vagues en alertes.



Elle me prendra un jour sur une toile,

Aux couleurs changeantes d’une gouache,

Une mer sur mes doigts tremblants d’une lame,

Une trainée houleuse à mon âme,

Je me repose sur ses vagues en alertes.



NICOLLE Edmond le 12.07.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/

vendredi 1 juillet 2011

Mon amie

Mon amie




J’écoute cette chanson,

Je suis à penser à nos souvenirs,

Qu’un dieu sachant nos tourments,

Effacera au temps nos douleurs,

Je t’attends sur les chemins à demain.



Nos pas à tant de souvenirs,

Ensemble nous avions écrits,

Un jour croisé ensemble,

Le partage d’une précieuse amitié,

Je t’attends sur les chemins à demain.



Je chante pour toi,

Une chanson,

Une amitié,

Ensemble sur des voies différentes,

Je t’attends sur les chemins à demain.



Ensemble nous partirons,

En silence un bout de chemin,

Nos prières dans un ciel plus clément,

Pas plus de se dire notre amitié la confiance,

Je t’attends sur les chemins à demain.



Je reste à t’attendre en silence,

Une chanson à mon cœur,

Une amitié sincère,

Ma voix sera d’être la patience,

Je t’attends sur les chemins à demain.



Edmond NICOLLE le 1.07.11

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