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jeudi 27 juillet 2017

L'amour en dérobade

L’amour en dérobade
(Poésie du jour)

Réapprendre l’amour,
Celui de nos cœurs,
Aimer à la folie,
Aimer sans raison,
L’amour en dérobade.

Je t’aime,
Tu me fais mal,
Je veux fermer les yeux,
Écouter des mots,
L’amour en dérobade.

Ensemble à l’amour,
Ensemble sur des chemins,
L’amour en diapason,
Un instant avec toi,
L’amour en dérobade.

T’aimer à la folie,
Je suis né pour toi,
Ma raison est pour toi,
Ensemble dans cette folie,
L’amour en dérobade.

Non, je t’aime,
C’est comme ça,
Un amour à nos silences,
Viens, l’amour nous espères,
L’amour en dérobade.

Edmond NICOLLE
Le 28.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2485

mardi 25 juillet 2017

Paris l'étrangère


Paris l’étrangère

Je suis perdu dans cette foule,
De rues qui se perdent à l’infini,
Des mots que je ne reconnais plus,
Paris qui s’entremêle dans des pas étranges.

De milliard d’empreintes sur des murs gris,
De sons lugubres aux chambres d’hôtel,
Je n’ai plus rien de mon corps à ce lit d’hôtel,
Paris qui s’entremêle dans des pas étranges.

Je m’égare dans les oublies des ruelles,
Brillant sombrement un ciel de Paris
La mort où la vie au bord de la seine,
Paris qui s’entremêle dans des pas étranges.

C’est certain, je ne reste pas ici,
Mon regard fuyant l’allégorie de Paris,
Vaguant un ailleurs plus paisible à un amour,
Paris qui s’entremêle dans des pas étranges.

Je ne veux plus revoir Paris,
J’ai jeté mes souvenirs au passé,
Paris est devenu mon étrangère,
Paris qui s’entremêle dans des pas étranges.

Edmond NICOLLE
Le 24.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2482

mercredi 19 juillet 2017

Tout fuit avec le temps



Tout fuit avec le temps
(Poésie dédiée à l’amour)

Les feuilles tombent toujours,
Des mots qui ne finissent jamais,
L’amour glissant avec le temps,
Le cœur qui pleure à toujours,
Tout fuit avec le temps.

J’écris à toujours sur des pages,
Des mots qui voguent comme des marées
 Des pleurs devenus des silences à mon cœur,
Pourquoi es-tu partie un jour ? Je t’aimais tant,
Tout fuit avec le temps.

La vie n’est pas ça, seul je suis aujourd’hui,
Je bataille avec ma vie, une guerre en solitude,
Je ne sais pas quand finira ce tunnel,
Des mots qui courent vers notre amour,
Tout fuit avec le temps.

J’ai mal aux yeux de ton absence,
Un peu de douceur devenue mon lit froid,
Je te cherche encore sur des chemins,
Ma vie sans toi est peine perdue,
Tout fuit avec le temps.

J’écris encore avant de mourir un jour,
L’amour que tu as déjà condamné,
Des mots devenus des prières vers toi,
L’amour qui saigne encore à toi,
Tout fuit avec le temps.

Des lignes, ma vie entre des lignes,
Je vieillis sans toi, tu as fui notre amour !
Mon corps qui stérile de plus être aimer,
Je t’attends encore à mon lit de solitude,
Tout fuit avec le temps.

Edmond NICOLLE
Le 20.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2481

être libre de vous aimer ainsi

Être libre de vous aimer ainsi

Je vous aimerais avec des lettres,
Juste un instant dans vos bras,
Découvrir l’amour avec des proses,
Être libre de vous aimer ainsi.

Un livre, une histoire,
Une histoire entre nous,
De mots à une encre,
Être libre de vous aimer ainsi.

J’ai moins de mal ainsi,
L’amour a des lignes,
Une prose sur ma plume,
Être libre de vous aimer ainsi.

Tant d’années à écrire,
Écrire sur des mots inachevés,
De mots imaginés à l’amour,
Être libre de vous aimer ainsi.

Aujourd’hui, je tourne la page,
Rêver et attendre sans plus,
Je m’écarte de futures utopies,
Être libre de vous aimer ainsi.

Vous aimez ainsi sur des lignes,
Un livre qui restera fermé en moi,
Ne plus voyagé à des mots frêles,
Être libre de vous aimer ainsi.

Edmond NICOLLE
Le 19.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2480

dimanche 16 juillet 2017

Loin de la ville



Loin de la ville

Une liberté,
Un silence aux égaies,
Loin dans un ciel clair,
Une odeur alpestre à mon souffle.

Juste un peu de ponctuation,
Juste pour respirer le temps,
Une odeur loin des villes,
Un tumulte au lever des chants.

Je m’approche à son lever,
Mes yeux s’éveillant à des crépuscules,
Doucement, le temps m’y conduisant,
Un clair levé à mon corps.

Je veux rêver encore,
Comme une jeunesse qui passe,
Un souffle retardant mes années,
Juste un instant encore à une vie.

Une lumière devenant mon îlot,
Un soleil pénétrant mon âtre,
Des images défilent mon spectre,
Mon corps se réchauffant à son albâtre.

De lignes qui deviennent mon esquive,
Le temps pour un ciel à une plume,
Des lignes en ramures aux récifs levants,
Un reflet, un instant de poésies aux aurores.

Loin des villes,
Je m’habille au temps,
Un mariage du corps à ses alpages,
Une esquisse violacée de mystères albâtre.

Je me lève doucement à ses mystères

Edmond NICOLLE
Le 17.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2479

samedi 15 juillet 2017

épis brumeux corrompu de la nuit


Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit

Épis flottant dans un ciel de la nuit,
Flocons flottant sur les reliefs,
Voyage infini au ciel de la nuit,
Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit.

Blanc manteau traversent mon corps,
S’éveillent au soir à ma solitude,
Récifs imagés frappant mon souffle,
Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit.

Immersion d’un souffle déjà perdu à l’avance,
Je me condamne à des silences imposants,
Peut-être une mort pour demain,
Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit.

J’ai froid à ce voyage figé au temps,
Me couvrant d’une doublure à mon corps,
Un voyage a la nuit devenant une douleur,
Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit.

Métaphore du corps, du temps,
Incertitude de m’en sortir indemne,
Un voyage pour un retour éthéré,
Épis brumeux au ciel corrompu de la nuit.

Edmond NICOLLE
Le 15.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2477

samedi 8 juillet 2017

Le temps passe ainsi


Le temps passe ainsi

Je ne sais combien il me reste,
Le temps, ce fait tant à sa façon,
Je ne sais comment ces mots,
Le temps, se tranchant à mon âme,
Le temps passe ainsi.

Je suis déjà loin de vous,
Il me reste encore un peu d’espoir,
Peut-être votre dernière visite ici,
J’ai déjà avancé vers des journées plus posées,
Le temps passe ainsi.

J’ai déjà abîmé mon âme à la femme,
Brisé, mon âme entre vos bras,
Je m’enterre doucement sur cette terre,
Dieu me brûlera à grand feu mon âme,
Le temps passe ainsi.

Ainsi passe le temps,
Croisillon de mots sur des feuilles,
Je n’ai plus l’élégance des proses passées,
Je n’ai plus le goût de vous dire, je vous aime,
Le temps passe ainsi.

Il me reste le temps,
Choisir entre mes mots, cette fleur,
Une muse comme moi à des silences,
Partager des mots pour aimer encore,
Le temps passe ainsi.

Je ne veux pas de votre pitié,
J’ai péché tant de fois cachées,
Mon amour se résumant en quelles lignes,
Aujourd’hui, je me laisse glisser dans une ombre,
Le temps passe ainsi.

La vie passe ainsi,
De nouveaux mots de poètes,
Chaque jour, un sens à votre vie,
Un peu d’amour entre des lignes,
Le temps passe ainsi.

Edmond NICOLLE
Le 08.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2476

mercredi 5 juillet 2017

La joie

La joie
(Petite chanson réalisé par mon enfant, intégralement)

Le jour où je crois, vivre ma vie !
Est un jour d’humour, de joie et de suspenses/
Dès que je l’ai rencontré sur ma route,
J’en suis émue, mais pas trop, tu sais ?/
Le jour où, je pleure,
Est un jour sans rires,
Est un jour sans soleil

Faux pas y pensais,
Faux pas y pensais,
Faux pas y pensais !

Tes proches te soutiennent.
Depuis que t’es p’tite,
Regarde devant toi, pas derrière,
Ton chemin est à l’avant. /
Là la la,
Là la la,
Là la la,
Là la la, /

Tes proches te soutiennent,
Depuis que t’es p’tite,
Depuis que t’es p’tite,
Depuis que t’es p’tite,
Regarde,
Regarde,
Regarde ton chemin qui est ouvert,
Devant toi,

Le jour où je crois, mourir si vite.
Est un jour de guerre, de cri et de pleur. /
Dès que je les vois,
Recouvert de sangs,
Je veux partir, partir loin,
De ce cauchemar qui me hante, la vie !/

Là la la,
Là la la,
Là la la,
Là la la,

Tes proches te soutiennent,
Depuis que t’es p’tite,

Depuis que t’es p’tite,
Depuis que t’es p’tite,
Re,re,re,re regarde,
Re,re,re,re regarde,
Re,re,re,re regarde,
Regarde ton chemin, qui t’emmène à la bonne voie. /

Enfin le jour où j’ai pleuré,
Et enfin partis loin
Je n’y pensais plus du tout,
Que ça allait se finir par une guérison,
Tout le monde était content,
Mais souffre encore,
Ce n’ai plus que du passé,
Maintenant,
Faut viser,
La joie !


                                                              Nicolle  M-H.
                                                                                                                                                                           5/07/2017

mardi 4 juillet 2017

Prélude à la vie, à la mort


Prélude à la vie, à la mort

Mes yeux rivés à la houle,
Incessant bruit de lames,
Ma vie entrante dans cette ondulation,
Océan de tourment à mon corps,
Prélude à la vie, à la mort.

Je m’immerge avant cette mort,
Mon corps seul au milieu de l’océan,
Éclats de lumières m’étincelant,
De milliers d’étoiles m’immergeant,
Prélude à la vie, à la mort.

Je me décroche de cette solitude,
Une route de nulle part à cet horizon,
Un bruit incessant furetant mon esprit,
De ma naissance à ma mort, un bruit sourd,
Prélude à la vie, à la mort.

Silence du monde sans voix, à ses reflux,
Immersion des corps en trêves,
Une mer houleuse, traçant les abîmes,
Lames tranchantes de la vie à l’océan,
Prélude à la vie, à la mort.

Il me reste quelques lignes à écrire,
Je me suis jetée en proses à son corps, son reflux,
Mon âme se perdant dans l’infini de ses flots,
Mon corps s’aspergeant de proses en notes à ses lignes,
Prélude à la vie, à la mort.

Edmond NICOLLE
Le 04.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2475

samedi 1 juillet 2017

Sous la pluie, des larmes

(Poésie du jour)
Sous la pluie, des larmes

Chanson sur des pages,
Le mal d’aimer encore,
Je voudrais changer le temps,
Déshabiller mon âme.

Sous la pluie, des larmes,
L’amour qui me reste à déshabiller le temps,
Loin sont tes mains, je m’égare encore,
Je ne peux plus revenir à mes premiers amours.

Des chansons qui me ressemblent,
J’ai envie de mourir à cet instant,
Oublié le temps, ma vie éclatée de sens,
J’étais cet amant à vos jours de grisailles.

Que devenez-vous depuis nos rencontres ?
Nos lignes, se rencontrait pour dire l’amour,
L’amour depuis s’en est allé voir ailleurs un monde,
Je vous ai aimé un instant dans vos bras.

Aujourd’hui, j’ai quelques rides de souvenirs,
Le temps passe sur le papier, mes amours passés,
Je voudrais changer le temps, l’amour,
Une existence d’un amant, oublié quelque part.

J’écris mes mots,
Des larmes proches d’un cœur,
Coule dans mes veines, une histoire,
Une plume pour un cœur en solitaire de mots.

Edmond NICOLLE
Le 01.07.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2474