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jeudi 31 décembre 2015

Le temps disparaît derrière moi et vous



Le temps  disparaît derrière moi et vous
(Ma peinture ci-dessus)
Un soleil qui brille dans le ciel,
Tournent des idées déjà écrites sur des feuilles,
Tiendrai-je encore, ou serait-ce me changer au temps ?
Derrière moi, des années déjà mortes,
Un souffle, une vie, un soleil qui brille encore.

Je brasse des mots comme des vagues,
Mon regard toujours à l’avant d’un mot,
Un cœur qui ne s’est plus aimé autant,
Derrière une vitre, un souffle,
Rêve un instant avec vous.

Je n’arrive plus à dormir,
Le temps devenu mon ennemi,
Je suis prisonnier du temps,
Une lumière qui disparaît à mes soirs,
Le temps n’est plus avec moi.

Je voudrais revenir un enfant,
Reflet du temps à mes pas,
Courir vers le temps des saisons,
Un soleil brillé à mes yeux,
Oublier la mort future

Je dessine toujours mes lignes,
L’amour devenu un verre impénétrable,
Derrière moi, une femme qui  m’attend à des nuits,
Une inconnue dans un rêve permanent sur un crayon,
Je voudrais vous tendre ma main, vous êtes déjà partie.

Que vous êtes devenu depuis ?
Je vous écris  derrière un pupitre,
Mes mots s’envolent pour un autre continent déjà,
  Il me reste encore du temps sur de la prose,
Un enfant qui reste un enfant pour vous.

Je voudrais vous donner mon encre à vos mains,
Celui qui vous attend au matin dans ses proses,
Celui que le temps à fait disparaitre pour des nuits poétiques,
Un poète inconnu qui vous envoie ses mots silencieux à votre cœur,
Un poète qui vous aime ainsi sur des mots poétiques.



Edmond NICOLLE
Le 31.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2096

Vœux 2016

Edmond vous envoie ses meilleurs vœux 2016 à tous et vous remercie pour vos passages et messages sur mes textes, mes amitiés à chacun de vous.

mardi 29 décembre 2015

Je t'aime ainsi sur des pages en proses


Je t’aime ainsi sur des pages en proses
(Lettre ouverte)

Lumière de la nuit,
Une brise sur une joue,
Les amants d’un jour,
Promesse d’un instant,
L’amour infidèle,
Des lignes en secret aux amants.

Entre mes lignes, une histoire,
Je chante pour toi, mon infidélité,
Je t’aime sans te connaître véritablement,
Amour insensé sur des lettres,
Un parfum des loin saisons en âge,
Je t’aime ainsi sur des pages en proses.

Je t’écris mes mots,
Tu parles déjà d’un ailleurs,
Amour fuyant un destin,
Tu me parles dans des mots,
Je t’aime, un son inaudible sans toi,
Tu ne seras jamais mon amante de mon destin.


Entre mes lignes, une histoire,
Je chante pour toi, mon infidélité,
Je t’aime sans te connaître véritablement,
Amour insensé sur des lettres,
Un parfum des loin saisons en âge,
Je t’aime ainsi sur des pages en proses.

Je te regarde, tu supplies à l’amour,
Cahot du temps entre des bras silencieux,
Je te connais depuis longtemps à ma vie,
Infidélité des amants en voyage du temps,
 La beauté t’a trompé déjà à un cœur,
Femme fatale, je mourais infidèle à l’amour.

Entre mes lignes, une histoire,
Je chante pour toi, mon infidélité,
Je t’aime sans te connaître véritablement,
Amour insensé sur des lettres,
Un parfum des loin saisons en âge,
Je t’aime ainsi sur des pages en proses.

J’ai besoin de t’aimer,
Mes mots sont un appel à l’amour,
Un parfum indolore sans toi,
Ne me laisse pas me déchoir à ma solitude,
Il fait froid depuis longtemps dans mon lit,
Un amour qui déjà, se distançant chaque jour.

Entre mes lignes, une histoire
Je chante pour toi, mon infidélité,
Je t’aime sans te connaître véritablement,
Amour insensé sur des lettres,
Un parfum des loin saisons en âge,
Je t’aime ainsi sur des pages en proses.

Tu n’entends déjà plus mes appels,
Je te laisse quelques chansons ici,
Un amour si fragile pour moi aux amants,
Notre histoire n’a pas de propos cohérent,
Je t’aime sur des mots, seul à écrire les sens,
Je te quitte ainsi, une histoire qui n’a pas lieu de propos.


Entre mes lignes, une histoire,
Je chante pour toi, mon infidélité,
Je t’aime sans te connaître véritablement,
Amour insensé sur des lettres,
Un parfum des loin saisons en âge,
Je t’aime ainsi sur des pages en proses.

Edmond NICOLLE
Le 30.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2095

lundi 28 décembre 2015

âme vagabonde


Âme vagabonde

Un voyage au temps,
Incertitude de point,
Une vie en virgule,
Incessant rêve en voyage,
Insatisfaction du bonheur.

Âme vagabonde,
Sur les chemins de la vie,
Croisement d’un amour fortuit,
 Désespoir  en prétexte,
Une vie en voyage du temps.

Je n’ai pas le droit de te dire,
Je ne suis pas engagé dans mes certitudes,
Des mots qui peuvent blesser encore,
Sur ma route, ma ligne n’est pas certaine,
Je suis imparfait de sentiments.

Âme vagabonde,
Sur les chemins de la vie,
Croisement d’un amour fortuit,
 Désespoir  en prétexte,
Une vie en voyage du temps.

Je voyage au temps,
Mon destin en espoir,
Un rêve de choix,
Mon destin entre mes mains,
Amour simulé.


Âme vagabonde,
Sur les chemins de la vie,
Croisement d’un amour fortuit,
 Désespoir  en prétexte,
Une vie en voyage du temps.

Je me repose un temps,
Mon voyage sur des sentiers,
La vie loin de moi,
Inefficacité de sens,
Incertitude aux années passées.


Âme vagabonde,
Sur les chemins de la vie,
Croisement d’un amour fortuit,
 Désespoir  en prétexte,
Une vie en voyage du temps.

J’écris pour toi, pour moi,
Indéfinis sens en passions,
De lignes en recherche d’essences,
Je marche sur les chemins de demain,
Incertitude âme en voyage.


Âme vagabonde,
Sur les chemins de la vie,
Croisement de l’amour fortuit,
 Désespoir  en prétexte,
Une vie en voyage du temps.


Edmond NICOLLE
Le 29.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2094

Je règle le temps à mes nuits


Je règle le temps à mes nuits

Le soir, mes sorties en liberté,
Un vent me brisant a cassé mes silences,
Je reviens avec vous sur vos falaises,
Je veux revoir le temps de ma jeunesse,
Un peu de rêves à ma liberté.

Je règle le temps à mes nuits,
Envoûtant rêve d’une nuit,
Écartant les lumières du jour,
Dans la nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des galets étouffant mon cri à une dame.


Souffle le vent dans mes soirs,
Je veux que tu brises ma peur,
Au fond d’une allée à mes nuits,
Un phare brisant la lumière du jour,
Je veux étouffer un instant mes solitudes.

Je règle le temps à mes nuits,
Envoûtant rêve d’une nuit,
Écartant les lumières du jour,
Dans la nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des galets étouffant mon cri à une dame.

Ce n’est peut-être qu’un instant !
Avant le réveil d’une lune à la nuit,
Laisse-moi t’aimer un instant,
Une femme dans mes bras,
Laisse-moi te respirer avant une expiration.

Je règle le temps à mes nuits,
Envoûtant rêve d’une nuit,
Écartant les lumières du jour,
Dans la nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des galets étouffant mon cri à une dame.


Laisse-moi avancé vers toi,
Le bruit de tes galets glissé à mes pieds,
Une mer envahir mes pensées à un amour,
Un vent envahissant mon corps à elle,
Comme des bras enserrés d’une femme.

Je règle le temps à mes nuits.
Envoûtant rêve d’une nuit,
Écartant les lumières du jour,
Dans la nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des galets étouffant mon cri à une dame.

Je me laisse aller vers la nuit,
Emporter par un souffle d’un large,
Aimer comme une première fois,
Mon corps à une femme d’une nuit,
Sur des falaises envoutantes d’un corps.

Je règle le temps à mes nuits,
Envoûtant rêve d’une nuit,
Écartant les lumières du jour,
Dans la nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des galets étouffant mon cri à une dame.


Edmond NICOLLE
Le 27.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2092

Chanson des poètes


Chanson des poètes

Je veux vivre avec toi,
Un instant par tes bras,
Je suis amoureux du temps,
Amoureux de vivre dans mes lettres,
Vous ne comprenez pas ma vie,
Ainsi, le poète sur des lignes en feuilles.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

Je ne suis pas un ange non plus,
Mes mots passent sur vos lits les nuits,
Je vous ai aimé combien de fois !
Ma vie et une feuille à vos nuits,
Vos mains sur un corps d’un autre,
Continuons ainsi, le poète sera ainsi.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

J’écris ma route chaque jour,
Les saisons qui passent sans vous,
Un regard à écrire des sens pour vous,
Des feuilles de papier pour un ciel à mes nuits,
J’écris indéfiniment l’amour qui ne viendra plus aux poètes,
Le temps passant à des regards déchus d’un amour.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles  s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

Ma vie, s’est d’écrire,
Je serai toujours avec vous en proses,
Des mots, je t’aime sans fin de ligne,
Votre cœur déjà parti, ailleurs dans un hiver,
Je mourrais en silence, comme un inconnu d’une histoire,
Tombe chaque nuit, mes mots.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

Je suis amoureux ainsi,
Mes nuits avec vous,
Pauvre bougre de moi,
Le poète ainsi à l’amour,
Un cœur qui bat en silence,
Juste une lettre d’un passé futuriste.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles  s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

Le poète déjà condamné en souvenirs,
De lignes en partances pour un voyage sans fin,
Mes nuits sont ainsi faites,
Le rideau s’est abaissé depuis longtemps,
Mon âme vers une égérie passagère de mots,
J’écris mes mots, le poète ainsi à mourir.

Je chante mes mots,
Comme des feuilles s’entraînant dans un ciel,
Mes mots vers vous,
Les poètes à des proses indéfinissables de sens,
L’amour dans un coin de votre nuit,
Des mots sur vos cœurs mesdames.

Edmond NICOLLE
Le 28.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2093

vendredi 25 décembre 2015

Douce amante sur des lignes audacieuses



Douce amante sur des lignes audacieuses

Je t’aime à l’amour,
Mon cœur que tu as mis en feu,
L’amour dans mes entrailles,
Je suis perdu dans mon silence,
Viens avec moi dans la nuit,
Je ne supporte plus les distances.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Ne cherche pas en moi cet enfant,
Je suis déjà loin de ce petit monde,
Une enfance déjà disparue dans la rue,
Je te cherche maintenant à l’amour,
Je briserais le temps de nos lettres,
Sur tes lèvres, mon amour se presser.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Je veux arrêter ce supplice de cet amour,
Je veux sentir en toi, ce parfum de l’amour,
Mon corps qui crie vers toi, un amour en tourment,
Je voudrais oublier cette douleur qui m’entrailles,
Le jeu de l’amour qui n’est pas un jeu pour moi.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Viens vers moi mon amour,
Dans la nuit, je t’attendrai,
Femme virulence de mots,
Ne me laisse pas ainsi sur mon amour,
Je souffrirais davantage loin de toi.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Aide-moi à supporter ce silence,
Juste une fois avec toi,
L’amour, un instant aux amants,
Une nuit avec toi ou sans toi pour toujours,
Mon amour qui appelle cet amour une fois encore.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Je voudrais te dire mon amour,
Comme tu les écris si bien aussi,
Un amour qui se presse sur des mots,
L’amour des amants, l’amour d’une nuit,
Un amour qui te cherche dans mon silence.

Douce amante sur des lignes audacieuses,
Je chante mon amour vers tes rivages,
Mon regard encore une fois perdu vers un amour,
Je chante vers toi, des mots qui sont un appel,
Je t’aime tant, je suis perdu à ma nuit sans toi.

Edmond NICOLLE
Le 26.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2091

mercredi 23 décembre 2015

Tourne dans ma tête des mots


Tourne dans ma tête des mots

Réveil au matin,
Ma tête en vague,
Les lumières éteintes,
Personne dans ma la rue,
Silence sur des lignes.

Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Des mots qui ne s’arrêtent plus,
Tant d’années à écrire,
Je ne sais plus mon début,
Une muse m’ayant pris les mots,
Mon corps pour elle.

Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Une vie qui tourne en moi,
Je ne sais pas cet instant à écrire,
Mes mots résonnent comme des prières,
Hâte d’en finir à des lignes infinies de mots,
Une histoire qui ne prendra pas de fin en moi.

Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Des nuits écourtées depuis longtemps,
Ma vie en double face d’une muse,
Une muse installée depuis longtemps à mon corps,
Maîtresse de tous mes sens incestueux de lignes,
Je serai seul un jour sans femme.


Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Une femme qui reste distante à mes lignes,
Trop difficile à interpréter clairement,
Je ne sais pas expliquer mes proses,
Mon langage ne correspond pas à mes lignes,
Double face à une muse distante.

Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Tourne des pages,
Tourne des mots,
Ainsi, ma nuit à écrire,
Mes nuits sont remplies de mots,
Ivresses du temps, ivresses de sens.

Danse, danse tourbillons de mots,
Dans la tête résonne des mots,
Comme un carnaval en proses,
Je ne sais pas où je suis encore,
Tourne dans ma tête des mots.

Edmond NICOLLE
Le 24.12.2015
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2090