Je règle le temps à mes nuits
Le soir, mes
sorties en liberté,
Un vent me
brisant a cassé mes silences,
Je reviens
avec vous sur vos falaises,
Je veux
revoir le temps de ma jeunesse,
Un peu de
rêves à ma liberté.
Je règle le
temps à mes nuits,
Envoûtant rêve
d’une nuit,
Écartant les
lumières du jour,
Dans la
nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des
galets étouffant mon cri à une dame.
Souffle le
vent dans mes soirs,
Je veux que
tu brises ma peur,
Au fond
d’une allée à mes nuits,
Un phare
brisant la lumière du jour,
Je veux
étouffer un instant mes solitudes.
Je règle le
temps à mes nuits,
Envoûtant
rêve d’une nuit,
Écartant les
lumières du jour,
Dans la
nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des
galets étouffant mon cri à une dame.
Ce n’est peut-être
qu’un instant !
Avant le
réveil d’une lune à la nuit,
Laisse-moi
t’aimer un instant,
Une femme
dans mes bras,
Laisse-moi te
respirer avant une expiration.
Je règle le
temps à mes nuits,
Envoûtant
rêve d’une nuit,
Écartant les
lumières du jour,
Dans la
nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des
galets étouffant mon cri à une dame.
Laisse-moi
avancé vers toi,
Le bruit de
tes galets glissé à mes pieds,
Une mer
envahir mes pensées à un amour,
Un vent
envahissant mon corps à elle,
Comme des
bras enserrés d’une femme.
Je règle le
temps à mes nuits.
Envoûtant
rêve d’une nuit,
Écartant les
lumières du jour,
Dans la
nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des
galets étouffant mon cri à une dame.
Je me laisse
aller vers la nuit,
Emporter par
un souffle d’un large,
Aimer comme
une première fois,
Mon corps à
une femme d’une nuit,
Sur des
falaises envoutantes d’un corps.
Je règle le
temps à mes nuits,
Envoûtant
rêve d’une nuit,
Écartant les
lumières du jour,
Dans la
nuit, une marche vers une femme,
Le bruit des
galets étouffant mon cri à une dame.
Edmond
NICOLLE
Le
27.12.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2092
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