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lundi 25 août 2014

Le temps passe et nous échappe toujours


Le temps passe et nous échappe toujours

Notre regard sur un horizon,
Un ciel bleu mon étranger,
Tant de questions suspendues,
Le temps passe et nous échappe toujours.

J’écris toujours mes farandoles,
Le cœur un jour soulager de mots,
Je ne sais toujours pas le rebondissement,
Le temps passe et nous échappe toujours.

Un cœur sur la limite d’une histoire,
Je protège ma chute de mon sort,
Seul avec un Dieu dans mon espace,
Le temps passe et nous échappe toujours.

Ma vie et un isolent d’affections,
Je n’ai que moi pour aimer dans ma solitude,
J’attends toujours mon égal caché quelque part,
Le temps passe et nous échappe toujours.

Mes mots sont parfois des pleurs,
Des mots qui voudraient être entendus,
Ensemble accrocher sur un fil de douceurs,
Le temps passe et nous échappe toujours.

Je voudrais sourire avec tes mots,
Me libérer de tant de souvenirs me compriment,
Embrassent la vie,
Le temps passe et nous échappe toujours.

NICOLLE Edmond le 26.08.2014
Créateur de poésies depuis 1973
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jeudi 21 août 2014

Sentimental sans valeur



Sentimental sans valeur

Jeux des puissances,
Espace de mots précipités,
Ciel encombré de mésaventures,
Sphère idéologique dans la pensée intellectuelle,
Sentimental sans valeur.

Jeux de l’amour,
Sans être l’autre,
Rien que pour un soir plus obscur,
Un refuge pour le ciel d’un diable,
Sentimental sans valeur.

Impuissances des lumières,
Fortification dans les ténèbres de flammes,
Un regard dans un ciel coloré assombri de pleurs,
Un Dieu pour trahissons d’avoir aimé plus,
Sentimental sans valeur.

Ciel pour un refuge de prières à des dieux,
Une apparence idéologique personnelle,
Bulle impénétrable des forts combattants,
La nuit servant à des sacrifices malveillants de consciences,
Sentimental sans valeur.

La raison n’est plus ici à l’amour,
Le corps battu par des puissances occultes,
Une âme dans un ciel de liberté en sortie !
Une vie entre terre et ciel,
Sentimental sans valeur.

Mutilations des corps,
Un ruisseau de sangs s’écoulant dans l’âme,
Impureté du corps à un dieu idéologique,
Un corps allongé ce mourant de dévouements,  
Sentimental sans valeur.

 NICOLLE Edmond le 22.08.2014
Créateur de poésies depuis 1973
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vendredi 15 août 2014

Sonorité au lointain aux alizés



Sonorité au lointain aux alizés

Des prières qui chantent dans les églises,
L’amour en refrain dans des lits
Un enfant dans ses rêves,
Des fleurs qui grandissent,
Un refrain chante dans ma tête,
Une douce musique après des tempêtes,
Sonorité au lointain aux alizés.

Tombent les feuilles sur un chemin,
Dessert sur une coupe pour ma soif,
Une saison passe avant ma déclinaison,
Des voiliers qui passent au large,
Un refrain chante dans ma tête,
Une douce musique après des tempêtes,
Sonorité au lointain aux alizés.

N’en réfléchissent plus,
Le temps passe ainsi,
J’écoute une radio,
Il n’y a plus personne,
Un refrain chante dans ma tête,
Une douce musique après des tempêtes,
Sonorité au lointain aux alizés.

Qu’on me laisse vivre le temps,
Sans questions idiotes,
Mon âme sur des flots berçants
Un enfant se voit encore bercer par des flots,
Un refrain chante dans ma tête,
Une douce musique après des tempêtes,
Sonorité au lointain aux alizés.

Je me fous du passé,
Ils sont brisés un enfant,
Ma liberté idolâtrant les temps,
Les diables ricanant de ma sortie,
Un refrain chante dans ma tête,
Une douce musique après des tempêtes,
Sonorité au lointain aux alizés.


NICOLLE Edmond le 16.08.2014
Créateur de poésies depuis 1973
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mercredi 13 août 2014

Un enfant d'un autre



Un enfant d’un autre

Passe le temps à oublier,
Des images qui défilent,
Une lame de couteau sur le cœur,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.

Il n’est jamais revenu, je t’attends encore,
Le ciel aux étoiles, son univers,
Il est parti avec des clochettes de chevaux,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.

Un jour, nous nous reverrons,
Dans le silence du monde, notre maison,
Toi vieux et moi jeune encore,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.

Je n’ai pas de nom, le ciel et mon destin,
Sur les routes de la vie à de questions !
Je suis parti avec mon rêve, un baiser sur ta joue,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.

J’étais cet enfant de toi,
Tu m’a laisser avec une tombe en herbe,
Je crie toujours vers toi, ce ciel qui m’a enlevé cet amour,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.

Je n’ai pas peur de partir,
Tu viendras me chercher avec tes chevaux de ton ciel,
Les anges nous aiderons à refaire la vie dans ce claveau des cieux,
Un enfant d’un autre,
Je suis devenu cet étranger.


NICOLLE Edmond le 14.08.2014 à 5heure15
Créateur de poésies depuis 1973
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mardi 12 août 2014

Poète rêveur



Poète rêveur

Voyage poétique,
Une muse dans son âme,
Maladie philosophique,
Est né pour des rêves,
Poète rêveur.

Il prend des droits,
Ses lois sont ces espoirs,
Une plume entre les doigts,
Il n’aime pas rester sur place,
Poète rêveur.

Il écrit pour faire chanter la vie,
Son cœur en harmonie de l’amour,
Ce battre dans une foi de croyance,
L’amour qu’il a pour une femme,
Poète rêveur.

Poète libre,
Contradiction incessante,
Une muse qui alerte,
Le poète en guerre,
Poète rêveur.

Je suis loin de vous,
Plus proche du rêve,
Celui de prendre la plume,
Chaque fois dans l’imaginaire poétique,
Poète rêveur.

Je suis né pour écrire,
Mes mains sont remplies d’encre,
Une muse sur mon chemin de Lettres,
Un poète qui ne fait que passer,
Poète rêveur.


NICOLLE Edmond le 13.08.2014
Créateur de poésies depuis 1973
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lundi 11 août 2014

Orgasme pénétrant



Orgasme pénétrant

L’amour m’emprisonnant,
Dans mon corps cette attente,
Un feu ardent dans m’a substance,
Orgasme pénétrant,
Je t’aime ainsi prisonnier de ton acte.

Effacement de mon corps,
Une résistance battue,
Mon corps sur le chemin de la Folie,
Orgasme pénétrant,
Je t’aime ainsi prisonnier de ton acte.

J’aimerais me laisser glisser dans ton amour,
Le superflu abandonner dans la nuit,
D’une vie encombrée d’images en suspend,
Orgasme pénétrant,
Je t’aime ainsi prisonnier de ton acte.

Faites-moi sécher de mon orgasme,
Que le temps brise déjà mes mots ici,
D’une poésie démesurée de l’amour,
Orgasme pénétrant,
Je t’aime ainsi prisonnier de ton acte.


NICOLLE Edmond le 11.08.2014
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samedi 9 août 2014

Le chemin le plus sûr et celui de m'a destiné



Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné

Rien ne peut être que douceur dans le ciel,
D’une brise m'ôtant dans le silence,
La nuit étoilée d’ange protecteur du monde,
Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné.

Que mon corps laissé à l’abandon des charognards,
  Comme un éternel rappel aux sources,
Les os se disloquent dans la poussière du dessert,
Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné.

Qu’un Dieu viendra enlever les grains de sables de ma mémoire,
 Des images provocatrices des chairs,
Seul dans le silence de mon corps,
Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné.

Les chevaux du ciel seront  écrasés mes doutes,
Tant de questions humaines en attentes avant mon départ,
Une porte en pierre blanche sera ma sortie du monde,
Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné.

Ma plume se dissipera comme mon encre sous la brume du temps,
Mes lignes seront au destin peut-être d’une âme,
Ou indocile sous le feu d’un diable ardent de songes,
Le chemin le plus sûr et celui de m’a destiné.


NICOLLE Edmond le 10.08.2014
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The safest and the path was meant for me

Nothing can be as smooth in the sky,
In a breeze depriving me in silence,
Night starry guardian angel of the world,
The safest and the path was meant for me.

My body abandoned scavengers
   As a reminder to the eternal sources,
The bones are breaking the dusty dessert
The safest and the path was meant for me.

That God will remove the grains of sand in my memory,
  Provocative images of flesh,
Alone in the silence of my body,
The safest and the path was meant for me.

The horses of the sky will be crushed my doubts,
So many human issues expectations before I left,
A door white stone will be my outlet in the world,
The safest and the path was meant for me.

My pen will fade as my ink in the mist of time,
My lines are perhaps the fate of a soul
Or intractable under fire from a burning hell of dreams
The safest and the path was meant for me.


NICOLLE Edmond 08/10/2014
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mardi 5 août 2014

Mes mains avec les vôtres



Mes mains avec les vôtres

En silence comme des enfants,
Sur des chemins déjà connus,
Nous irons pleurer ensemble,
Mes mains avec les vôtres.

Nous irons faire connaissance,
En silence au bord d’une eau,
D’un chemin pour nous y reposer,
Mes mains avec les vôtres.

Regarder ce ciel déjà mille fois,
Ce soleil briller dans notre regard,
Les blés qui vont paraître de l’or à nos pieds,
Mes mains avec les vôtres.

Doucement le temps nous effleurer en silence,
Comme si un firmament nous y prêter gage à cet instant,
Des enfants qui ne s’attendaient plus à des miracles,
Mes mains avec les vôtres.

Des mains ensemble comme des étrangers,
Venus chercher le silence des consolations,
De mains ciselées d’une union intense de couple,
Mes mains avec les vôtres.

Je te laisserais dire mots,
Le temps passent bien trop vite,
Le cœur à ne plus attendre le prochain rivage,
Mes mains avec les vôtres.

En silence,
Deux enfants sur une route,
Attacher par un lien invisible des cœurs,
Mes mains avec les vôtres.

Silence,
J’entends le bruit d’une marée,
Seuls sur une plage,
Mes mains avec les vôtres.

SILENCE

NICOLLE Edmond le 05.08.2014
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lundi 4 août 2014

Poésie du temps qui passe



Poésie du temps qui passe

Une lettre qui passe,
Des mots d’amours sur un papier,
Je t’aime ainsi sur les mots,
Je voudrais bien te voir un jour,
Un miroir me dire au matin, je t’aime,
Poésie du temps qui passe.

Ainsi va ma vie,
L’amour cacher en silence,
Mille visages que j’ai passés à écrire,
Un poète d’une histoire effacée aux temps,
L’amour sur un arrêt de plume,
Poésie du temps qui passe.

Un chemin parsemé de libellés,
Des mots d’un soir de solitude,
J’écrirais comme toujours pour vous,
 Une solitude dans cette plume errante,
L’amour en appuie de mes lignes,
Poésie du temps qui passe.

En silence, ma lettre pour vous,
Des milliers de mots sur votre cœur,
Oh ! une éternité qui me veille,
Caressent de ma plume votre corps,
Mes yeux sur du papier blanc,
 Poésie du temps qui passe.

Je sens déjà un parfum d’encre isolé de vous,
 Vos silences comme des interdits,
  Je vous aimerais en consonance par des doigts,
 Une ligne de sépias sur vos étoiles dans le ciel,
Un poète sur les lignes rêveur du temps,
Poésie du temps qui passe.


NICOLLE Edmond le 04.08.2014 
Créateur de poésies depuis 1973
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