Messages les plus consultés

mercredi 29 février 2012

Nos plus beaux jours sont ensemble

Nos plus beaux jours sont ensemble



Sont avec toi,

Le calendrier n’a pas importance,

Tu me pousses davantage à cette liberté,

Tu es jeune et moi mes années en arrières,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je j’aime.



Le soleil est notre bonheur,

Cette liberté notre espace,

Nos regards suffisent à dire nos espoirs,

À lire entre les lignes à de nouveaux bonheurs,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je t’aime.



La terre entière ne peut rien nous dire,

Car déjà elle reproche les condamnations des hommes,

Celle des hommes contre tous les vents du malheur

Ensemble à de nouveaux horizons, notre marche,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je t’aime.



Tu es mon meilleur amour,

Celle qui vient au plus beau moment de ma vie,

La liberté d’être ensemble sur les chemins de demain,

La main dans la main aux intempéries de demain,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je t’aime mon enfant.



Tu m’as changé les sens d’aimer,

Ensemble sur les parcours de ne plus être seul,

Celui d’un père qui a changé le cours de ces années,

Une enfant qui a donné son bonheur à un père,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je t’aime.



Pas besoin d’aller si loin,

Ce que nous avons déjà acquit,

Nos regards suffit pour dire je t’aime,

Mille raisons de te dire mon amour,

Nos plus beaux jours sont ensemble,

Ensemble pour dire des je t’aime.

NICOLLE Edmond le 1.03.2012

Наши лучшие дни устанавливаются

А с вами,
Время не важно,
Вы нажимаете мне больше этой свободы,
Вы молоды и я поддерживаю моих лет,
Наши лучшие дни все,
Для всех я говорю, что люблю.

Солнце наше счастье,
Эта свобода нашего пространства,
Наши глаза достаточно, чтобы сказать, что наши надежды,
Читайте между строк для новой радости,
Наши лучшие дни все,
Вместе сказать, что я люблю тебя.

Вся земля не может сказать нам что-либо,
Потому что он уже критиковал убеждения людей,
Это мужчины от ветров несчастья
Установить новые горизонты, прогулки,
Наши лучшие дни все,
Вместе сказать, что я люблю тебя.

Ты мой лучший любви,
Один раз в тот момент в моей жизни,
Свобода быть вместе по дороге в завтра
Рука об руку погода завтра
Наши лучшие дни все,
Вместе сказать, что я люблю тебя мой ребенок.

Вы изменили смысл любви,
Вместе на пути, чтобы не быть одному,
Это от отца, который изменил эти годы,
Ребенок, который дал ей счастье отца,
Наши лучшие дни все,
Вместе сказать, что я люблю тебя.

Нет необходимости заходить так далеко,
То, что мы уже получили,
Наши глаза просто сказать, что я люблю тебя,
Тысячи причин, чтобы сказать вам, моя любовь,
Наши лучшие дни все,
Вместе сказать, что я люблю тебя.
Николь Эдмонд на 03/01/2012










dimanche 26 février 2012

Au gré des vents

Au gré des vents



Je m’emporte sur les rives océaniques,

Balayer mes poumons malades,

Respirer à pleine oxygène,

Une aventure nouvelle,

Au gré des vents.



Mon ancre prête,

A un nouveau départ,

Je combattrai son effronterie,

Contre cette maladie qui me colle,

Au gré des vents.



Mon cœur à temps d’épreuves,

Fatigue bien trop vite sur mes pas,

Ma marche du temps,

J’ai signé un pacte à mon âme, me suivre,

Au gré des vents.



Je veux être celui qui vaincra par mes forces,

Qu’un Dieu me donne chaque jour la délivrance,

Apaiser les douleurs intérieures,

Chercher au gré des vents, le souffle à mes artères,

Au gré des vents.



Chaque sortie et du temps de gagner pour mes jambes,

Un souffle d’air à mes poumons,

Une âme ressourcée pour continuer ce chemin,

Celui du combat de chaque jour à venir,

Au gré des vents.



NICOLLE Edmond le 26.02.2012











The winds

I get carried away on the shores ocean
Sweep my diseased lungs,
Breathing full oxygen
A new adventure,
The winds.

My anchor ready,
A fresh start
I will fight his effrontery,
Against this disease that I glue,
The winds.

My heart in times of trial,
Tired too quickly on my feet,
My march of time,
I signed a pact with my soul, follow me,
The winds.

I wanna be the one who overcomes by my strength,
God gives me a daily issue,
Relieve the pain inside,
Search in the breeze, the breath in my arteries,
The winds.

Each output and time to win for my legs,
A breath of air in my lungs,
A soul replenished to continue this path,
That of the daily battle to come,
The winds.

jeudi 23 février 2012

Ils m'ont trompé...



Ils m’ont trompé …

De mots qui ressortent à chaque fois,
Les adultes du passé de l’histoire,
J’entends une musique répéter,
J’ai grandi dans ces mots,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

C’est une histoire ancienne,
Ils sont faits leurs révolutions,
Le parlement de narrateurs,
Ils sont appris à conter,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

Je reviens dans mon histoire,
Mes souvenirs de pauvretés,
Je me rendais compte du fait,
Du pain à conservait pour les lendemains,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

Ils sont dépensés mon argent,
La jouissance de mes avoirs,
Un capital d’espoirs pour ma famille,
Ils ont tout-avalés sans regrets de mes biens,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

Aujourd’hui revient un nouveau conte,
Celle d’une histoire d’hommes,
Crucifient l’électorat des pauvres,
Entre mes mains l’histoire,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

Je chante m’a liberté,
Celle qui m’a toujours emprisonné,
Je chante la tromperie apprise,
Celle des chants politiciens de l’histoire,
Ils m’ont trompé dans leurs histoires,
Les hommes de loi.

NICOLLE Edmond le 23.02.2012

mercredi 22 février 2012

Sur le chemin des acquittements


Sur le chemin des acquittements



Que Dieu aura fait de moi son sujet de prédilection,

J’ai passé le temps de jouer avec les mots,

Des mots à courir l’aventure,

J’ai jeté l’ancre de ma vie aux nombres d’âge,

Dessine-moi le temps avec toi,

Sur le chemin des acquittements.



J’écris ton aventure entre mes doigts,

Le sujet de mes préoccupations,

Dans mon sang coule des traits invisibles,

Une écriture d’un enfant déjà passé avec le temps,

Dessine-moi le temps avec toi,

Sur le chemin des acquittements.



Je veux dessiner les couleurs du maître,

Loin dans un ciel de paix,

Ensemble sur des peintures pures,

Entre mes doigts le paiement d’une vie,

Dessine-moi le temps avec toi,

Sur le chemin des acquittements.



Fait moi ton sujet,

Tes capacités de me bouleverser,

Reformer le passé pour un nouvel essor,

 Entre tes mains une jouissante nouvelle,

Dessine-moi le temps avec toi,

Sur le chemin des acquittements.



J’ai passé avec toi l’âge des insouciances,

D’un gavroche aventureux,

Sur des chemins  d’ambiguïtés,

Dessine-moi cet autre en moi,

Dessine-moi le temps avec toi,

Sur le chemin des acquittements.



NICOLLE Edmond le 22.02.2012












vendredi 17 février 2012

Amoureux de mes lettres

Amoureux de mes lettres



Je suis amoureux de lettres,

Une vie à écrire sur du papier,

Arrogent parfois de virilités,

Je suis ce que mes mots racontent,

Douceur  sur mes mots,

Un diable sur le cœur d’un poète.



Je suis amoureux,

Les pages se tournent,

Oublient mon texte,

Un baiser sur des lèvres,

Douceur sur mes mots,

Un diable sur le cœur d’un poète.



Mes mots sont des câlins,

J’écris ma douceur sur vos lèvres,

L’amour sur mon corps,

Mes sens dégrafés de liberté,

Douceur sur mes mots,

Un diable sur le cœur d’un poète.



Ne soyez pas amoureux de moi,

J’entends déjà vos soupirs,

Le poète écrit sa liberté,

Amoureux de lettres poétiques,

Douceur sur mes mots,

Un diable sur le cœur d’un poète.



Un baiser sur vos lèvres,

Le poète sur vos lignes,

L’amour entre nos lignes,

L’amour sur une feuille de poésie,

Douceur sur mes mots,

Un diable sur le cœur d’un poète.



NICOLLE Edmond le 18.02.2012















In love with my letters

I'm in love letters,
A life to write on paper,
Sometimes arrogate to virility,
I tell what my words,
Gentle on my words,
A devil in the heart of a poet.

I'm in love,
The pages turn,
Forget my lines,
A kiss on the lips,
Gentle on my words,
A devil in the heart of a poet.

My words are cuddles,
I write my sweetness on your lips,
Love on my body,
Unfastened my sense of freedom,
Gentle on my words,
A devil in the heart of a poet.

Do not be in love with me,
I can hear your sighs,
The poet writes his freedom,
Lovers of poetic letters,
Gentle on my words,
A devil in the heart of a poet.

A kiss on your lips,
The poet on your lines,
The love between our lines,
Love on a piece of poetry,
Gentle on my words,
A devil in the heart of a poet.

NICOLLE Edmond on 02/18/2012
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

Mon plus beau bonheur c'est toi

Mon plus beau bonheur c’est toi



Jamais personne ne m’a donné,

Tout ce qu’un cœur vous donne,

Mon bonheur c’est toi,

Une enfant sortant d’un rêve,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



J’ai tant prié qu’un jour,

Un dieu me donne cet enfant,,

Mon seul amour,

Celui qui vient de mon corps,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



Tu es m’a destiné,

Un accord parfait de ressemblances,

Entre nous l’harmonie des sens,

Nos colères contre un monde d’injustices,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



Dans le silence,

Tu réfléchies le regard ponctuel,

Mon enfant,

Entre nous une complicité acquit,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



Ne regardons pas en arrière,

Ensemble sur ce que dieu nous donne,

Unissent nos forces pour demain,

Nos mains unies contre les envahisseurs,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



Je t’aime,

Mon beau rêve c’est toi,

Mon bonheur c’est toi,

Sur les chemins c’est toi,

Mon plus beau bonheur c’est toi.



NICOLLE Edmond le 16.02.20012










mardi 14 février 2012

elle lui a donné un baisé

Elle lui a donné un baisé



Sur ses lèvres une femme,

Tendrement enlacée,

L’amour surpassant les droits,

Elle lui a donné un baisé.



Elles se sont mariée un instant,

Une éternité pour une femme,

Une femme sur un corps aimant,

Elle lui a donné un baisé.



Corps de femmes,

Enlacées de particules communes,

Une femme dans les bras de l’amour,

Elle lui a donné un baisé.



Elles sont parties,

Dans un ciel du soir,

Leurs corps en frénésies,

Elle lui a donné un baisé.



Deux femmes s’aimantes,

A de  doux baisés,

Une douceur joignissent les corps,

Elle lui a donné un baisé.



Un instant, une éternité,

L’amour d’un instant,

Se sont cachée pour s’aimer,

Elle lui a donné un baisé.



NICOLLE Edmond le 14.02.2012





























Gli diede un bacio

Una donna sulle labbra,
Tenderly intrecciati,
L'amore supera tutti i diritti,
Gli diede un bacio.

Sono stati sposati per un momento,
Sempre ad una donna,
Una donna in un corpo d'amore,
Gli diede un bacio.

I corpi delle donne,
Intrecciati particelle Commons
Una donna tra le braccia di amore,
Gli diede un bacio.

Sono partiti,
In un cielo serale,
Furori nei loro corpi,
Gli diede un bacio.

Amare due donne,
Un dolce scopata,
A organi joignissent dolci,
Gli diede un bacio.

Un attimo, un'eternità,
L'amore di un momento,
Erano nascosti ad amare,
Gli diede un bacio.

NICOLLE Edmond il 2012/02/14


























dimanche 12 février 2012

temps suspendu

Temps suspendu



J’ai peur de voir mourir les gens,

Une lune sur le coin de mon œil,

Mes doigts gelés par un vent,

Un silence dans les airs du temps,

Temps suspendu.



Je cherche à me réchauffer,

Loin dans le ciel une lumière,

Une lune suspendue au temps,

Une lune qui veut la mort ici,

Temps suspendu.



Je ne sais pas ou me réfugier,

Une enfant qui a froid,

Un vieillard ce meurs,

Je cherche un peu de chaleur,

Temps suspendu.



Mes pas craquellent sur la neige,

Des traces inconnues sur le passage,

Une vie mêlée d’une tempête pondéreuse,

Mes pieds gelés sur un revêtement neigeux,

Temps suspendu.



Un faîtage sur un miroir cathédral,

Luit des aiguilles  suspendues,

Le temps condamné à des pics du silence,

Un décor panoramique lunaire,

Temps suspendu.



Seul dans la campagne,

Une petite flamme réchauffant mes doigts,

Mon corps tremble de froid,

Je partirai avant la nuit,

Temps suspendu.



NICOLLE Edmond le 12.02.2012












jeudi 9 février 2012

Tempo incontrôlable rythmique d'une muse


Tempo incontrôlable rythmique d’une muse



Un accord en désaccords,

Le rythme dans la peau,

Je perds les sens d’une prose,

Construisent un thème surnaturel,

Un éloge d’accord sur les doigts,

Tempo incontrôlable,

Rythmique d’une muse.



Je surpasse mon idéologie,

Entre mes mains de lettres,

Sur du papier, une ligne réaliste,

Une pensée d’une ombre en moi,

 Irréel à une encre noire,

Tempo incontrôlable,

Rythmique d’une muse.



Mes couleurs sont mes souvenirs,

Passe un défilement de mon histoire,

J’ai oublié les couleurs à ma mémoire,

Une brume passe chaque jour un peu plus,

Ce remplir à m’étouffer à mes cicatrices du temps,

Tempo incontrôlable,

Rythmique d’une muse.



Seul j’entends ce clavier percutent,

Un silence abasourdit de l’écho rythmique,

Mes doigts fragilisés sur le clavier,

Un déséquilibre de mon corps sur cette thèse,

Se balance des notes involontaires sur ce papier,

Tempo incontrôlable,

Rythmique d’une muse.



NICOLLE Edmond le 10.02.12



Je suis ce poète caractéristique de mots,

Ils m’ont déjà enfermé dans le silence, Edmond N.











Uncontrollable rhythmic tempo of a muse

An agreement in disagreements,
Rhythm in the skin,
I lose the sense of a prose
Build a theme supernatural
Praise agree on the fingers,
Tempo control,
Rhythm of a muse.

I surpassed my ideology,
Of letters in my hands,
On paper, an online realistic
A thought of a shadow in me
Unreal a black ink,
Tempo control,
Rhythm of a muse.

My colors are my memories,
Passes a scroll of my story,
I forgot the colors in my memory,
A mist goes a little more each day,
It choked me to fill my scars of time,
Tempo control,
Rhythm of a muse.

I hear this keyboard only collide,
A stunned silence of the echo rhythmic
My fingers on the keyboard weakened,
An imbalance in my body of this thesis,
Involuntary sways notes on this paper,
Tempo control,
Rhythm of a muse.

NICOLLE Edmond on 10/02/12
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/
I am the poet of characteristic words
They've already locked in silence, Edmond N.


















mercredi 8 février 2012

Il pleut dehors coule les larmes sur ton corps


Il pleut dehors coule les larmes sur ton corps



Tu pleures dans le chagrin,

Ta vie tu ne la sens pas bien,

Dans ton ventre la haine,

Un tonnerre de pulsions,

Tu craches le morceau.



Ta colère sur les murs de ta chambre,

Tu écris tes tripes avec tes mains,

La désolation d’être seul à aimer,

Il ne te regarde plus, ne pense plus à toi,

Joue avec les filles de ton quartier.



Le jour et la nuit en éveil sur l’oreiller,

Les draps froissés d’être seul,

Le silence percute tes souvenirs,

Tu t’accroches sur des barreaux invisibles,

Ton cœur n’est plus avec toi.



Tu n’es plus là,

Une vie d’incertitudes d’obstacles,

Il pleut dehors,

Coule des larmes sur ton corps,

Tu as oublié le soleil une fois.



Tu te mélanges dans la foule des bruits,

Un bruit résonne d’un son,

Le cœur à vomir la trahison,

Une musique virevolte dans ton corps,

Les vibrations incontrôlées d’une note.



Danse une chanson que tu aimes revenir,

Les souvenirs teignent comme une cloche au lointain,

Ton cœur se ferme impuissance d’aimer,

La main dans la main un instant pour échapper,

Une claustration de mots déplacés.



NICOLLE Edmond le 8.02.2012

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/











It's raining outside flowing tears on your body

You cry in sorrow,
Your life you do not feel well,
In thy womb hatred,
A thunder of impulses,
You spit the bit.

Your anger on the walls of your room
You write your guts with your hands,
The desolation of being alone to love,
It does not concern you most, do remember you,
Plays with the girls in your neighborhood.

Day and night awake on the pillow,
The crumpled sheets to be alone,
The silence strikes your memories,
You cling on bars invisible
Your heart is no longer with you.

You're gone,
A life of uncertainty of obstacles,
It's raining outside,
Flowing tears on your body,
You forgot the sun once.

You blends into the crowd noises,
The sound of a resonating sound,
The heart to throw the betrayal,
Music twirls in your body,
Uncontrolled vibration of a note.

Dance a song you love back,
Memories dye as a bell in the distance,
Your heart closes inability to love,
Hand in hand for a moment to escape,
A confinement of words moved.

NICOLLE Edmond on 02/08/2012
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

mardi 7 février 2012

Il n'a pas voulu que je meurs


Il n’a pas voulu que je meurs



C’est écrit sur ces livres,

Un enfant du monde,

J’ai ouvert les yeux un jour,

Je savais que c’était lui,

Mon père m’attendait ici,

Ma marche avec lui,

Sur les sentiers de terres battues,

Il n’a pas voulu que je meurs.



Il m’a laissé le temps,

Comme un père à son enfant,

Venir dans ses bras lui parler,

Non je n’ai jamais oublié ce premier jour,

Un père pour son fils,

Je regarde le ciel, mon regard vers lui,

Sur les sentiers de terres battues,

Il n’a pas voulu que je meurs.



Je ne suis que l’enfant,

J’ai grandi avec lui,

Ils m’ont rejeté comme toi,

Sur les tables de lois prophétiques,

Mes liens sont le ciel d’un Dieu,

Une douceur d’un père à sa foi,

Sur les sentiers de terres battues,

Il n’a pas voulu que je meurs.



Je ne suis pas parfait,

Le témoignage d’un fils,

Un enfant qui reste souder à la vie d’un père,

Bien souvent fragiliser par des mots incongrus,

Aujourd’hui je continue cette marche avec lui,

Je sais que ses voies sont les miennes sur ces traces,

Sur les sentiers de terres battues,

Il n’a pas voulu que je meurs.



NICOLLE Edmond le 08.02.12







Je suis ce poète caractéristique de mots,

Ils m’ont déjà enfermé dans le silence, Edmond N.



He did not want me to die

It is written on these books,
A child's world,
I opened my eyes one day,
I knew it was him,
My father was waiting for me here,
My walk with him,
On the trails of clay courts,
He did not want me to die.

He left me time,
As a father to his child,
Come talk to him in his arms,
No I have never forgotten that first day,
A father to his thread,
I look at the sky, my gaze to him,
On the trails of clay courts,
He did not want me to die.

I am only a child,
I grew up with him,
They rejected me like you
On tables of laws prophetic
My links are a God of heaven,
Sweetness of a father to his faith,
On the trails of clay courts,
He did not want me to die.

I'm not perfect,
The testimony of a son,
A child who is welded to the life of a father,
Often weaken by incongruous words,
Today I continue the march with him,
I know that His ways are mine on these traces,
On the trails of clay courts,
He did not want me to die.

NICOLLE Edmond on 08/02/12
http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

I am the poet of characteristic words
They've already locked in silence, Edmond N.