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lundi 30 septembre 2013

Ne reste pas seule


 
 
Ne reste pas seule
 
La vie est comme cela,
Les années ne revenants plus,
Ton cœur sur une échappatoire,
Roule le temps sans toi,
Ne reste pas seule,
La vie est comme cela.
 
Je marche sur une guerre invisible,
Le silence et la mort,
A deux, nous serons à mieux combattre le temps,
Nous avons besoin d’être fort à deux,
Ne reste pas seule,
La vie est comme cela.
 
J’ai besoin aussi de toi,
Le chemin de notre âge,
Il nous reste encore du temps,
Ensemble contre le temps qui passe,
Ne reste pas seule,
La vie est comme cela.
 
Vient le chemin est pour nous à la liberté,
Libre de vivre, de respirer,
Nous serons plus forts à deux,
Ensemble pour pleurer et rire,
Ne reste pas seule,
La vie est comme cela.
 
NICOLLE Edmond le 30.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
Do not stay alone

Life is like that,
Years no longer ghosts
Your heart on a loophole,
Roule time without you
Do not stay alone,
Life is like that.

I walk on an invisible war
The silence and death,
Two, we will be better combat time
We need to be strong in both,
Do not stay alone,
Life is like that.

I also need you,
The path of our age,
We still have time,
Set against the passing of time,
Do not stay alone,
Life is like that.

Is the way for us to freedom,
Free to live, breathe,
We will be stronger in two
Together to cry and laugh,
Do not stay alone,
Life is like that.

NICOLLE Edmond 30.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

vendredi 27 septembre 2013

Une brise sur des lèvres

Une brise sur des lèvres
 
J’oublie tout,
Je rêve d’être nu avec toi,
Nos pieds laissés aux siècles,
Sans bruit nous te rechercherons,
Une brise sur des lèvres.
 
Espace occupé de l’histoire,
Le temps sur les vagues,
Je glisse avec toi au temps,
Nous oublierons nos âges,
Une brise sur des lèvres.
 
Un vent léger nous beignes,
Comme des loups de l’histoire,
Rien que nos yeux pour voler l’espace,
Nous oublions déjà notre personnalité,
Une brise sur des lèvres.
 
Souvenir amoureux sur les pierres,
Des enfants entraînés par les courants,
Laisse leurs empreintes sur la pierre blanche,
 Une marque posthume d’un passage,
Une brise sur des lèvres.
 
Doucement nous avançons à notre ligne,
Un horizon de liberté aux falaises abruptes,
Loin des barricades des sexes,
Notre silence au créateur du temps,
Une brise sur des lèvres.
 
Notre corps ce recherchant sur les pierres,
Notre légende nous réveillant sur la glaise,
Nous baignons de cette substance limoneuse,
Nous oublierons nos maux dans nos sacs,
Une brise sur des lèvres.
 
Nous reviendrons sur les falaises de l’histoire,
Chercher notre personnalité cachée,
En silence nous marcherons déshabillés des afflictions,
Un vent salin nous couvrira à notre mort prochaine,
Une brise sur des lèvres.
 
NICOLLE Edmond le 28.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
A Breeze on the lips

I forget everything,
I dream of being naked with you
Our feet left for ever,
We will be looking quietly,
A Breeze on the lips.

Space occupied in history,
Time on the waves,
I glide with you in time,
We forget our age
A Breeze on the lips.

A light wind we donuts,
Like wolves of the story,
Nothing that our eyes to steal space
We have forgotten our personality
A Breeze on the lips.

Remember love on the rocks,
Driven by the current children
Leave their footprints on the white stone,
Posthumous mark of a passage,
A Breeze on the lips.

Slowly we move to our online
A horizon of freedom, steep cliffs,
Far barricades equality,
Our silence the creator of time,
A Breeze on the lips.

Our body that looking on the stones,
Our legend waking us on clay,
We bathe in this muddy substance
We forget our troubles in our bags,
A Breeze on the lips.

We return to the cliffs of the story,
Search our hidden personality,
In silence we walk stripped afflictions
Salty wind cover us at our next death
A Breeze on the lips.

NICOLLE Edmond 28.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
 
 
Бриз на губах

Я забываю все,
Я мечтаю быть голым с вами
Наши ноги оставили навсегда,
Мы будем смотреть спокойно,
Breeze в губы.

Место, занимаемое в истории,
Время на волнах,
I Glide с вами в времени,
Мы забываем, наш возраст
Breeze в губы.

Легкий ветерок мы пончики,
Как волки истории,
Ничего, что наши глаза, чтобы украсть пространства
Мы забыли нашу личность
Breeze в губы.

Запомнить любви на скалах,
Движимые текущей детей
Оставьте их следы на белом камне,
Посмертные знак проезд,
Breeze в губы.

Медленно мы переходим к нашему онлайн
Горизонт свободы, крутые скалы,
Дальний баррикады равенства,
Наше молчание творца времени,
Breeze в губы.

Наше тело, что, глядя на камни,
Наша легенда будить нас на глине,
Мы купаемся в этой грязной вещества
Мы забываем наши беды в наших сумках,
Breeze в губы.

Вернемся к скалам этой истории,
Поиск в нашей скрытая личность,
В тишине мы идем упрощенной скорбях
Соленый ветер покрывает нас на нашей следующей смерти
Breeze в губы.

Николь Эдмонд 28.09.2013
Автор поэзии с 1973 года
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/


dessin NICOLLE Edmond le 26.09.2013

NICOLLE Edmond le 26.09.2013

mercredi 25 septembre 2013

Les naufrager de l'amour

Les naufrager de l’amour
 
Le cœur tant battu par le temps,
Nous ne sommes plus très jeunes,
Le cœur comme la fleur passée,
L’amour à tant fait à nos cœurs,
Les naufrager de l’amour.
 
Une barque quelque part,
Sur une digue des souvenirs,
Nos cœurs tant aimé aux vagues,
Rien que nous pour s’aimer,
Les naufrager de l’amour.
 
Un baiser sur une proue,
Et le cœur s’emballe,
Ma main sur tes lèvres,
Le galion emporté aux rives de l’amour,
Les naufrager de l’amour.
 
Il n’est pas question de renflouage,
Notre cœur déjà à l’abri des vaisseaux,
Les pirates de temps nouveau,
Notre coque ne plait plus aux p'tits,
Les naufrager de l’amour.
 
Vient avec moi,
Refaire le temps,
Dans tes bras à l’amour,
En silence à notre embarcation,
Les naufrager  de l’amour.
 
Nous ferons l’amour comme des fous,
Rien que nous sur des rives des naufrager,
Doucement sans déchirer le voile au vent,
Transporter notre vaisseau au large,
Les naufrager de l’amour.
 
 NICOLLE Edmond le 26.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
The shipwreck of love

The heart beat as the time
We are no longer very young,
The heart is like the flowers gone,
The love so much in our hearts,
The shipwreck of love.

A boat somewhere
On a dike memories,
Our hearts so loved the waves,
Nothing we to love,
The shipwreck of love.

A kiss on a bow,
And heart racing,
My hand on your lips,
The vessel carried to the shores of love
The shipwreck of love.

There is no question of bailouts,
Our heart already protected from vessels,
Hackers time again,
Our hull no longer appeals to p'tits,
The shipwreck of love.

Come with me,
Repeat time
In your arms of love,
In silence our boat
The shipwreck of love.

We'll make love like crazy
Just us on the banks of the shipwrecked,
Gently without tearing the veil in the wind,
Carry off our ship,
The shipwreck of love.

NICOLLE Edmond 26.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

mardi 24 septembre 2013

Les oiseaux ne chantent plus dans les plaines

Les oiseaux ne chantent plus dans les plaines
 
Ils sont partis loin,
Les ailes envolées de liberté,
Les migrateurs du temps,
Les nids sont vides,
Les oiseaux ne chantent plus dans les plaines.
 
Je regarde le temps,
Un sifflement me réveille,
Comme la saison d’automne qui se nocturne,
Des feuilles qui dansent encore accrocher un instant,
Quelques nuages qui passent sans pluie dans les plaines.
 
Je suis seul dans ces champs vides,
Une terre qui ne finie plus sur l’horizon des silences,
Les marmottes et gibiers sont déjà rentrés sous terre,
Ils ont amassés les fruits du printemps,
Mon sceau ce remplie du fruit laisser par les volatiles.
 
Les filles sont déjà parties,
Jouer dans la cour des grands,
Nous courions ensemble un jour,
Le temps a passé dans les regards,
Je cueille le fruit pour mes poèmes,
 
Demain je ne pourrais revenir,
Le temps sera vide,
Un vent soufflera chassé les retardataires,
Qu’un vol de corbeaux croassé pour l’hiver,
Qu’une neige recouvrir les plaines à l’hiver.
 
Je suis seul,
Respirer un peu le souffle qui reste,
Sur les chemins éclaircis de saison déjà expirée,
Au loin j’entends un train qui passe,
Ils sont déjà en ville les gens d’un jour.
 
NICOLLE Edmond le 25.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
The birds no longer sing in the plains

They went away,
The wings of freedom soaring,
Migratory time
The nests are empty,
The birds no longer sing in the plains.

I look at the time,
A whistle awakens me
As the fall season that night,
Leaves dancing still hang for a moment,
A few passing clouds without rain in the plains.

I am alone in these fields blank,
Land that is over the horizon more silences,
Marmots and game have returned underground
They collected the fruits of spring
My seal the filled fruit left by the birds.

The girls are a party
Playing in the big leagues,
We ran together one day,
The time spent in looks,
I pick the fruit for my poems,

Tomorrow I might not come back,
The time will be empty,
A wind blows drove the laggards,
A flock of ravens croaked for winter
A snow covered plains in winter.

I am alone,
Breathe a little breath that remains
On cleared paths season already expired,
In the distance I hear a passing train,
They are already in the city a day's people.

NICOLLE Edmond 25.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

vendredi 20 septembre 2013

Que ta prière pour vivre

Que ta prière pour vivre
 
Mon amie,
Te souviens-tu ?
C’était hier,
Tu as aimé à l’amour,
Aujourd’hui que deviens-tu ?
L’été sent va en silence,
Que ta prière pour vivre.
 
Mon amie,
Je t’ai aimé combien de fois,
Dans le silence de mes pages,
Tu pleures dit donc,
Seule a aimé à l’amour,
Tu pries pour demain,
Que ta prière pour vivre.
 
Mon amie,
Tes mots sur mon chemin,
Un rire pour oublier le temps,
Des pleures dans la douleur,
Ton cœur si fragile pour demain,
Dans le silence je prends tes bras,
Que ta prière pour vivre.
 
Mon amie,
Nos années passent,
Tu as attrapé le mal du siècle,
Tes bras sont si faibles,
Le cœur vide d’espoirs,
Tu penses à moi encore,
Que ta prière pour vivre.
 
Mon amie,
Un jour tu passeras,
Oublier un instant le temps,
Doucement je te prendrai comme une enfant,
Te bercer dans le silence de mes mots,
Une amitié souvent à l’épreuve du temps,
Que ta prière pour vivre.
 
NICOLLE Edmond le 21.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
  Let your prayer life

My friend,
That you remember?
That was yesterday,
You loved to love,
Now that you become?
Summer will feel in silence,
Let your prayer life.

My friend,
I loved you how many times,
In the silence of my pages
So you cry said,
Only loved to love,
You pray for tomorrow,
Let your prayer life.

My friend,
Your words on my way,
A laugh to forget the time
Of crying in pain,
Your heart so fragile for tomorrow
In the silence I take your arm,
Let your prayer life.

My friend,
Our years pass,
You caught the disease of the century,
Your arms are so weak
The empty heart hopes,
You think of me again,
Let your prayer life.

My friend,
One day you will pass,
Forget for a moment the time
Slowly I will take you as a child,
You rock in the silence of my words
A friendship often the test of time
Let your prayer life.

NICOLLE Edmond 21.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

jeudi 19 septembre 2013

L'amour espiègle le temps

L’amour espiègle le temps
 
Tu pénètres nos sous bois,
Câliné les corps,
Aux gestes fatales,
Douceur aux membres,
L’amour espiègle le temps.
 
Je te capturais vif,
Je prendrai des forces,
Comme un donjon impénétrable,
J’utiliserai mon corps pour me défendre,
L’amour espiègle le temps.
 
Le temps n’a pas de limite,
L’amour sait ou trouver la garde,
Mon corps au fébrilement de l’amour,
Vif comme un oiseau sur mon corps prisonnier,
L’amour espiègle le temps.
 
Corps de femme,
Corps d’homme,
Les mains tremblantes,
Polissage des membres,
L’amour espiègle le temps.
 
Ouvertures des étayes,
Nos corps déjà dans les dédales de l’amour,
Projettent déjà  le filament ancestral dans la nuit,
Nos corps suaves d’une transition corporelle du plaisir,
L’amour espiègle le temps.
 
Nos membres se referment à l’acte,
Prisonnier dans nos corps,
Un inversible courant nous projette à sa suite,
D’une langoureuse danse irréversible de l’amour,
L’amour espiègle le temps.
 
NICOLLE Edmond le 19.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
Playful love time

You pervade our undergrowth,
Cuddled the body,
Gestures fatal
Softness members,
Playful love time.

I was capturing you live,
I take strength,
As an impenetrable dungeon
I use my body to protect me,
Playful love time.

Time has no limits,
Love knows where to find the guard,
My body feverishly love
Bright like a bird on my body prisoner,
Playful love time.

Woman's body,
Man's body,
With trembling hands,
Polishing members
Playful love time.

Openings supported,
Our bodies already in the maze of love,
Already planning the traditional filament in the night,
Our sweet body of a transition pleasure body
Playful love time.

Our members are closed to the act,
Trapped in our bodies,
A reversal current projects we after him,
On a languid irreversible dance of love,
Playful love time.

NICOLLE Edmond 19.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr
/     

   

mercredi 18 septembre 2013

Danser avec des mots

Danser avec les mots
 
Non c’est fini le rêve,
Je ne crois plus à ces romans,
Des lignes sur de mots,
Juste un non pour dire,
Danser avec les mots.
 
On n’a joués avec l’amour,
Le romantisme amoureux,
Mon temps a crié à l’amour,
Aujourd’hui je suis dans ma chambre,
Danser avec les mots.
 
Je ne joue plus à vous attendre,
Je n’ai plus le temps sur un miroir aux serments,
Longtemps déjà à ma solitude,
J’écris pour me consoler de mes souvenirs,
Danser avec les mots.
 
Le train est déjà partie sur le quai,
Je vous vois pleurer encore,
Mon cœur c’est envolé ailleurs,
A d’autres horizons de l’amour,
Danser avec les mots.
 
Aujourd’hui le silence,
Je me repose de vos voix,
Loin mon regard sur des rives,
Je m’en vais comme ces marées,
Danser avec les mots.
 
Je ne veux plus danser avec vous,
Qu’un souvenir que le vent dispersera,
Mon corps sous la terre des malheurs,
Qu’une âme voudra bien de moi là-haut,
Danser avec les mots.
 
NICOLLE Edmond le 18.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
Dancing with words

Not dream it's over,
I no longer believe in these novels
Lines of words,
Just a not to say,
Dancing with words.

We only played with love,
The love romance,
Shouted my time to love,
Today I am in my room
Dancing with words.

I do not expect you to play,
I do not have time on a mirror of oaths,
Long been in my solitude,
I write to console me for my memories
Dancing with words.

The train has already left the dock,
I see you cry again
My heart is flown elsewhere,
In other walks of love,
Dancing with words.

Today the silence
I rest your voice,
Away my eyes on banks,
I'm like the tides,
Dancing with words.

I do not want to dance with you
Remember that the wind scatter,
My body in the land of evil,
A soul wants to have me there,
Dancing with words.

NICOLLE Edmond 18.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/

mardi 17 septembre 2013

Le temps passe comme des notes de piano

(dessin Ed. NICOLLE)
Le temps passe comme des notes de piano
 
Et ton regard sur elles,
Rien à changer,
Je cherche le ton des lignes,
Je n’arrête pas sur le papier,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
Là est ma liberté,
Je voyage sur les proses,
Des notes éternellement façonnées,
Vous me lisez pour chercher les notes,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
Des proses qui font le tour du monde,
Vous m’attendez sur des lignes imaginaires,
L’amour a votre nuit avec votre amante,
J’écris le temps à vos nuits, le cœur aux diapasons,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
Que vous soyez russe ou Américain,
Je suis votre amant  à vos nuits invisibles,
Le cœur à écrire sur des pages d’un livre,
Jeune ou vieux, vous me suivez comme une Idole d’une chanson,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
Et moi, toujours seul sur mon clavier,
Comme une musique qui se prolonge au temps,
Je vous dessinerais encore l’amour pour vous,
Des proses qui partiront loin dans la nuit à votre refuge,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
Je dessine le temps,
Sur une feuille,
L’amour invisible,
Les couleurs de mes lignes sur vos désirs,
Le temps passe comme des notes de piano.
 
NICOLLE Edmond le 18.09.2013
Créateur de poésies depuis 1973
 
 
Time passes as piano notes

And your eyes on them,
Nothing to change
I seek your lines,
I keep on paper
Time passes as piano notes.

Here is my freedom,
I travel on the prose,
Notes forever shaped,
You read me to search for notes,
Time passes as piano notes.

Of prose that go around the world,
Wait for me on imaginary lines
Love is your night with your lover,
I write the time your nights, the heart forks,
Time passes as piano notes.

Whether you're Russian or American,
I'm your lover and your invisible nights
The heart to write on the pages of a book,
Young or old, you follow me like an idol song
Time passes as piano notes.

And I still only on my keyboard,
Like music that extends time
I still love you would design for you
Of prose that will leave later in the night in your shelter
Time passes as piano notes.

I draw time
On a sheet,
The invisible love,
The colors of my lines on your desires,
Time passes as piano notes.

NICOLLE Edmond 18.09.2013
Creator of poetry since 1973
http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/