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vendredi 25 novembre 2011

Dans le silence de la nuit

Dans le silence de la nuit




J’entends une cacophonie,

De bruits lointains,

Ma mémoire séparée du temps,

Qu’aujourd’hui n’a plus le rythme,

Le timbre d’un son lointain que j’ai aimé.



Les murs ont changé,

La ville a changé,

Il monte des sons criards,

Le supplice de gens lointains,

Une poésie faite d’absente.



Je passerais un jour aux souvenirs,

Plus clairs avant ce dernier souffle,

Je n’aurais que pour vision l’absence,

Du temps qui s’éteint à ma mémoire,

D’un temps qui ne comptera-plus.



D’un bouquet de rose perdu,

Les couleurs perdues au temps,

Celles que j’ai aimées,

On disparut de mes lignes,

De poésies fermées sur un chevet.



Il ne me reste que le temps à écrire,

Une traduction de poésies,

D’une muse le lien du souvenir,

Loin dans l’infini des poètes,

Le son qui me reste d’eux.



Je retournerais un jour sans plaintes,

D’images dessinées de mes doigts,

Le passé de mes nostalgies d’écrire,

Comme un enfant innocent du temps,

Jouent la liberté d’une muse.



NICOLLE Edmond le 25.11.11

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mardi 22 novembre 2011

Les poètes d'antan

Les Poètes d’antan




Il reste des phrases,

Un chant de bohème,

Des mots, une aventure,

Ils sont chantés l’amour,

De cris dans un ciel,

Les poètes d’antan.



Je me souviens du temps,

C’était hier,

Vous souvenez-vous ?

Je chantais vos chansons,

C’était hier, le temps n’a pas changé,

Les poètes d’antan.



Mes années ont passé,

Vos poèmes sont restés,

Mais je reviens souvent à vous voir,

La bohème, celui que je suis resté,

Je chante encore à vos lignes,

Les poètes d’antan.



Je ne veux oublier,

Je finirais avec vous,

Ma chanson je ne vous oublierais jamais,

C’est inscrit dans le livre de l’histoire,

Celui qui est devenu ce poète,

Les poètes d’antan.



Je ne peux oublier le temps,

Le temps est une chanson,

Je chante vos mots,

Sur des lignes notre histoire,

Un crayon pour ne pas oublier,

Les poètes d’antan.



NICOLLE Edmond le 22.11.11

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vendredi 18 novembre 2011

Jamais seul / jamais seul sur mon chemin

Jamais seul à ma vie


Jamais seul sur mon chemin



Un espoir, une chance,

Une étoile pour guide,

Une lumière à mes nuits,

Eclairant mes pas sur les chemins,

Jamais seul à ma vie.



Elle m’a donné m’a foi,

Entre les mains d’un père,

A de messages étranges,

Je ne compte que sur son étoile,

Jamais seul à ma vie.



Une étoile à ma naissance,

Mon regard sur elle,

Une force à mon âme,

Le guide de ma vie,

Jamais seul à ma vie.



Je ne suis pas l’enfant des familles,

J’ai grandi que sur une image,

Une volonté ailleurs invisible,

Seul à une étoile mon destin,

Jamais seul à ma vie.



J’ai la récompense d’une foi,

Celle d’écrire un enfant du destin,

Entre mes mains une muse de poésies,

Un pinceau pour couleurs à ma vie,

Jamais seul à ma vie.



Qu’une étoile mes pensées,

Une étoile sur le chemin de ma vie,

Un soutien à mon âme,

Une étoile à ma vie,

Jamais seul.



NICOLLE Edmond le 19.11.11

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Il n'y a plus de foi

Il n’y a plus de foi


Plus d’amour



Les églises sont vides,

Je n’entends plus les prières,

Le chant déjà oublié,

La bâtisse de béton,

Ne résonne plus les échos,

Le cœur d’un pastoral.



Il n’y a plus de foi,

Plus de religion.



J’entends dans les prés la mort,

Une étique disparue des rangs,

Un dernier voyage de corps,

Une foi sur son chemin,

Résonne au lointain une chapelle,

Un silence assourdissant à mes oreilles.



Il n’y a plus de foi,

Plus de religion.



Je me prête seul à franchise une porte,

En silence à quelque prière,

Qu’un visage indélébile me porte,

Mon âme à celui d’une foi fervente,

D’un maitre mon destin à chaque jour,

Sur les sommets encore plus hauts de prières.



Il n’y a plus de foi,

Plus de religion.



Ma bouche parle de toi ici,

Mes écritures d’une croyance,

L’amour d’un Dieu mon père,

Une chanson qui résonne sur cette feuille,

Le témoin de mes actes de foi,

D’une muse intransigeante de mots.



Il n’y a plus de foi,

Plus de religion.



NICOLLE Edmond le 18.11.11

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mercredi 16 novembre 2011

Instant s'y fragile

Instant s’y fragile


Instant du bonheur



Je dessine un printemps,

Une saison déjà passé,

Entre mes doigts une femme,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



Un poète amoureux,

Entre mes mains des lignes,

Une renaissance d’une saison,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



Mon âme déjà oublié,

Une muse la création,

Les couleurs texturent,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



Sur mes doigts une figurine,

Une féerie d’un printemps,

Un soleil luisant sur sa peau,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



Je suis d’un enfant,

Un poète sur une toile,

L’amant d’une femme,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



Je dessine le printemps,

Les couleurs d’une mure,

Sur mes lignes une femme,

Instant s’y fragile,

Instant de bonheur.



NICOLLE Edmond le 17.11.11

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mardi 15 novembre 2011

Foi d'espérance, foi d'un Dieu

Foi d’espérance


Foi d’un Dieu



Je ne suis pas l’étranger,

Le cœur sans foi,

L’amour d’un diable,

Les murs de l’ombre,

Je suis ton frère,

D’une foi sans borne,

Foi d’espérance,

Foi d’un Dieu ton frère.





Je t’aime,

D’un amour sans langage,

Une foi suzerain,

Le cœur à aimer,

Les mots sans frontières,

Mon beau pays le tiens,

Foi d’espérance,

Foi d’un Dieu ton frère.





Je foisonne mes mots,

Que la mort n’existe pas,

En lui la vie éternelle,

Le cœur à son œuvre,

L’amour d’un dieu éternel,

Un frère libre,

Foi d’espérance,

Foi d’un Dieu ton frère.



Mon chemin est le tiens,

ჩემი გზა მინდა რწმენის

Le christ la foi d’un frère,

ქრისტეს რწმენა ძმა,

L’amour d’un Dieu sans frontière,

სიყვარული ღვთის გარეშე საზღვარი,

L’éternel pour une vie sans condition,

საუკუნო ცხოვრების უპირობოდ,

L’amour d’un Dieu, une foi,

სიყვარულის ღმერთი, ერთი რწმენა,

Un frère, une sœur en lui,

ძმა, დის თქმით,

Foi d’espérance,

რწმენა იმედი,

Foi d’un Dieu ton frère.

რწმენა ღვთის შენი ძმა.



Traduction français/géorgien



NICOLLE Edmond le 15.11.11





































vendredi 11 novembre 2011

Une vie à la traine d'un Dieu

Une vie à la traine d’un Dieu




Je glisse sur les monts à demain,

A une éminence d’un appel,

Une foi réciproquée d’un Dieu,

L’amour sans équivoque d’un credo,

Une vie à la traine d’un Dieu.



Seul réconfort,

Une foi sans faille d’un Dieu,

D’un éternel commandement,

Une relique de l’histoire,

Les fondations émie par un saint.



Souvent divulguer de mauvaises haleines,

Couramment me mettre tromper de sens,

Qu’une image transformée en diable,

Le mal dans mes entrailles du corps,

Alcoolisé d’une foi d’un diable.



Mon temps est à la traine d’un Dieu,

De l’enfant à son père,

Le regard œillet dans un ciel d’espérances,

La maison de l’éternel, ma fin,

Une délivrance sans faille de son amour.



Dans mon silence de mes lignes,

Je chante ces prières,

A une foi ardente,

Un enfant à son père,

Reposent un jour au repos éternel.



NICOLLE Edmond le 12.11.11

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jeudi 10 novembre 2011

Combien il faut aimer à Dieu

Combien il faut aimer à Dieu




Les témoins sont passés,

De leurs ailles leurs messages,

Dans un ciel de molécules,

Aux impunis des lois,

Combien il faut aimer à Dieu.



Il faut vraiment aimer,

Essuyer les larmes,

Sur les tombes de l’amour,

L’amour arraché un jour de trop,

Combien il faut aimer à Dieu.



Le temps s’écoule à grand V,

Les condamnés de la mort,

Un enfant dans les griffes du diable,

Les hommes de l’au-delà d’une vie,

Combien il faut aimer à Dieu.



Ils sont portés la croix,

La justice leurs lois des condamnés,

Il faut aimer encore la haine avant de mourir,

La rédemption leurs pardons de l’âme,

Combien il faut aimer à Dieu.



J’écris pour ceux qui pleurent,

Où il n’y a pas de justice la place,

La place du condamné de l’amour perdu,

Qu’un ciel à oublier les messages,

Combien il faut aimer à Dieu.



Je n’ai pas oublié ce crucifie,

Un homme condamné pour ces mots,

Un enfant crucifié d’une dénonciation humaine,

La violation des libertés bafouées,

Combien il faut aimer à Dieu.



Comment aimer



NICOLLE Edmond le 11.11.11

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mercredi 9 novembre 2011

Elle écrivait sur une feuille ses proses

Elle écrivait sur une feuille ses proses




Le visage dans le songe,

Elle rêvait d’un ciel merveilleux,

A tant de prières à Dieu,

Quelle ne savait pas lui répondre,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



Le temps lui à donner d’écrire,

La misère du monde,

L’apprentissage sur ses mains,

Une plume devenue son souffle,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



Une vie, un testament à l’encre,

De pleurs et de joies son chevet,

Elle était seule à écrire sur son bureau,

Souvent regardent les passants,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



Le jour et la nuit est son rêve,

Au voyage entre vagues est solitaire,

Passé le temps les yeux aux rêves,

Au dessin chorégraphique,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



Je me suis m’y à lui inventer un visage,

Une douceur sur mon pinceau fin,

Les couleurs uniques de noir au clair,

Une vie sur une aquarelle son destin,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



Un jour elle est partie,

En laissant ses dessins,

Une vie sur une feuille,

Une poétesse rêveuse,

Elle écrivait sur une feuille ses proses.



NICOLLE Edmond le 9.11.11

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dimanche 6 novembre 2011

ça fait tellement longtemps

Ça fait tellement longtemps




J’entends cette musique,

Une musique éternelle,

Dans le fond de mon cœur,

Une revanche du temps,

Ecrire pour ne pas oublier,

Un jour que je ne serais plus capable,

Ça fait tellement longtemps.



Tu te souviens de nos premières lignes,

Aide-moi à me souvenir, juste un instant,

De lignes au papier carbone,

Tu étais déjà née pour moi,

D’une désinvolture outrageante,

Oui c’est bien toi ma muse,

Toi qui as vieillie dans mon spectre.



Les années sont passées ici sur mes lignes,

Mais toujours fidèle à toi,

Je chante les sons à ceux-là que j’ai aimés,

Ceux qui sont partis un jour dans l’inconnu du temps,

Il me reste quelques fidèles que le temps a changés,

Ceux comme moi qui s’accroche sur quelques lignes,

Tous ceux que je n’ai pas oubliés par le temps.



Raconte-moi l’histoire, notre histoire,

Un chant nous aidera à mieux écrire encore sur le papier,

Le temps de notre histoire, de l’amour passé aux lignes,

Une outrageante façon d’écrire nos lettres intimes,

Celle que j’ai aimé sur les lignes, une poésie, une histoire,

Notre histoire de la façon à trois de transcrire la prose,

Je t’ai aimé a en oublié le temps des pleures et des chagrins.



Viens avec moi sur les lignes,

Il me reste du temps encore aux souvenirs,

De la place pour toi et moi sur les lignes,

D’une prose, nos émulsions sensuelles,

Ecrire est toujours à s’en épuisé les mots,

Viens avec moi aux souvenirs,

Celle que je connais depuis les temps passés.



NICOLLE Edmond le 7.11.11

http://poemesauxtraversdutemps.wordpress.com/

mardi 1 novembre 2011

Ma liberté



Ma liberté




Ma liberté,

Saura un ailleurs,

Sur une terre de mes ancêtres,

Ceux d’un ciel clair la résurrection,

Les amis disparus que j’ai aimés.



Mes souvenirs,

J’écris des mots,

Pour ceux qui ne sont plus là,

A celui qui a pris la place d’un vide,

Une nostalgie sur les lignes.



A celle qui m’a aimé,

Disparue de ma vie,

Sur des chemins brouillés,

Qu’un diable a emporté,

D’un amour surréaliste.



Une foi qui s’accroche à moi,

Des mots éternels d’un Dieu,

D’un ciel qui m’attend à l’heure,

Le héros des ombres disparues,

Mon envoler dans un ciel de la nuit.



J’écris pour ne pas oublier,

Le temps qu’il reste encore,

Qu’un Dieu aura fécondé,

Le sens d’une vie en moi,

Celui d’avoir donné un change en l’amour.



Une créature qui m’aura aimé sans faille.

Donc je ne suis pas encore près pour elle,

Pas près pour lui à disparaitre de ma croute,

Je continuerais à écrire le temps qui me reste,

De belles pages inspirées d’une prose.



NICOLLE Edmond le 2.11.11

http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/