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vendredi 30 juin 2017

J'ai passé le temps des amours sans lendemains


J’ai passé le temps des amours sans lendemains

Demain est un autre jour,
Une vision de mon enfant, un autre jour,
Mon cœur a changé des embuscades,
Je ne cours plus demain à une autre vie,
J’ai passé le temps des amours sans lendemains.

Une enfant me couvrant de mes chagrins,
Mes nuits et mes jours avec elle, à la vie,
Le temps passant plus facilement avec des sourires,
Me couvrant de ses mots inventifs à ses lignes,
J’ai passé le temps des amours sans lendemains.

Voyage à deux, il ne reste que nous deux sur les routes,
Un voyage que les lendemains ensemble unissant,
Un voyage sur un nouveau monde à demain,
Nos mains se cherchant un avenir, demain un autre jour,
J’ai passé le temps des amours sans lendemains.

Le temps de l’amour restant à mon enfant, sa fidélité,
J’ai couru bien des montagnes, je me suis cassé le nez,
Bien tard, mon ancre s’est jetée en une création, une enfant,
Mon enfant, ma vie sur un chemin à deux, un temps,
J’ai passé le temps des amours sans lendemains.

Edmond NICOLLE
Le 30.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2473

jeudi 29 juin 2017

Longtemps déjà...


https://youtu.be/QyZBx0ryzEo
(Poésie du jour)
Longtemps déjà…

Le temps a passé en nous,
Mais l’amour, l’amitié reste là,
Le temps nous à mûris plus vite,
Doucement évincer des obstacles,
Longtemps déjà, je t’affectionne.

Je t’aimerais à notre histoire,
Un amour plus fort que des raisons,
Sortir l’amour tant prisonnier à nos cœurs,
Je te prendrais la main comme une première fois,
Longtemps déjà, je t’affectionne.

Je t’aime tant,
Plus rien ne pouvant effacer cet amour,
J’ai dans le cœur ta présence,
Un secret que je ne veux perdre,
Longtemps déjà, je t’affectionne.

Il n’y a plus d’amitiés et d’amour,
Le temps nous a forgés à des mots,
Je ne peux avancer sans toi,
Tu es ma sortie, ma libération,
Longtemps déjà, je t’affectionne.

Je t’offrirais des fleurs, ceux de mon cœur,
Doucement, nous irons fleurir le temps,
Je saurais te porter à mes bras,
En cachette, nous irons nous chérir,
Longtemps déjà, je t’affectionne.

Edmond NICOLLE
Le 29.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2472

mardi 27 juin 2017

Dans les silences de l'amour

(2° Poésie du jour)
Dans les silences de l’amour

Je caresserai tes mots,
Loin des cris en douleurs,
L’amour d’un dernier sursis,
Survie de l’amour à une mort,
Dans les silences de l’amour.

Nous irons nous cacher loin des regards,
Transporté l’amour à nos cœurs délaissés,
Nos baiser en attente de désires en vains,
Je te donnerai mes lèvres aux tiens,
Dans les silences de l’amour.

Ensemble, nous dormirons une première fois,
Les corps blottis sous la lumière d’une nuit,
Frissonnant nos corps pour ne pas avoir froid,
Effleurer nos corps ensemble,
Dans les silences de l’amour.

Je prendrais tes mains délicatement,
Dans le silence de la nuit, nous joignant,
Doucement, je caresserais tes douleurs,
Réchauffer l’amour à tant de solitude,
Dans les silences de l’amour.

J’embrasserais le temps à notre nuit,
Ensemble allongé, une offrande de fruits à ton corps,
L’amour unissant les cœurs à une nuit sans fin,
Je t’embrasserais à la passion,
Dans les silences de l’amour.

Edmond NICOLLE
Le 27.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2471

Aimer à la folie

(Poésie du jour)
Aimer à la folie

Sur une plume, ma tendresse,
Caresser la vie à ma déraison,
Perdre l’amour en deux cœurs,
Aimer à en perdre la déraison,
Aimer à la folie.

Je caresserais tes mots avec mon cœur,
En cachette, l’amour sur des feuilles,
Des histoires qui ne finiront plus jamais,
Les amants pour un ciel plus clair,
Aimer à la folie.

Rien n’est plus beau que de s’aimer,
Loin des règles de lois,
S’aimer à en perdre nos raisons,
Loin du monde, s’aimer plus fort,
Aimer à la folie.

Je n’ai pas à t’aimer ainsi,
Loin de tes lèvres, mon cœur en tristesse,
Une douceur de tes mains effleurant le papier,
Je veux t’aimer comme jamais je n’ai su le connaître,
Aimer à la folie.

Aimer à l’amour,
Aimer dans la tendresse,
Nos mains suivant les mots,
Doucement partir loin dans ce septième ciel,
Aimer à la folie.

Aimer un jour,
Aimer à la déraison,
Une folie dans des corps,
Mes mains au vôtre,
Aimer à la folie.

Edmond NICOLLE
Le 27.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2470

lundi 26 juin 2017

Long voyage des amours d'antan


Long voyage des amours d’antan

Sentiments égarés sur une route,
J’ai traversé le temps les mers,
Chercher l’amour, chercher l’inconnue,
Je t’aime toi si loin si proche de moi,
Long voyage des amours d’antan.

Une plume qui raconte mon histoire,
Un peu de vous en même temps sur le papier,
Tant de choses qui finissent dans des chaos,
Érudit d’une histoire sans fin, sans mots,
Long voyage des amours d’antan.

Comment peut-on dire l’amour à cet instant?
 Des ombres qui ne finissent pas à nos nuits,
Des jours me transportant vers une infinie régression,
 Érudit d’une histoire sur une plume d’encre sans toile,
Long voyage des amours d’antan.

Je chante mes jours et mes nuits en sarcasmes,
L’amour mise à nu sur du papier sans plus,
Lentement, l’amour devenu mon infidèle temps,
Une sorte de punition marquée à l’encre d’une vie,
Long voyage des amours d’antan.

Edmond NICOLLE
Le 26.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2469

dimanche 25 juin 2017

La mer à mes nuits de solitude


La mer à mes nuits de solitude

Je joue avec le vent,
Je brasse dans les courants d’ailleurs,
Mes poumons remplis de souffle d’une mer,
Je nage dans les océans du monde,
La mer à mes nuits de solitude.

Je m’emporte comme un voilier à des mers,
Mes draps ne sont plus ici entre des bras,
Je voyage sur un avenir à devanture lointain,
La mer me préviendra d’un amour caprice,
La mer à mes nuits de solitude.

Je ne suis déjà plus ici,
Une mer au bord d’une digue,
Effleure ma peau à m’emporter pour un voyage,
Doucement, liant mon corps à la sienne,
La mer à mes nuits de solitude.

Une mer remplie d’audace et de sacrifice,
 Ce noie les galets et mon corps dans des tourbillons,
Une mer aussi rapide que la mort, démontée de limons,
Cours sans cesse à d’horizons nouveaux, tuant le passé,
La mer à mes nuits de solitude.

Un horizon éblouir le reflet d’une sirène,
Je veux partir dans ses étoiles, oublier le temps de mes nuits,
Dans ma tête, un sentiment d’accueil à son lit d’overdoses,
Une mer remplissant ses trésors aux miennes,
La mer à mes nuits de solitude.

Edmond NICOLLE
Le 25.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2468 

samedi 24 juin 2017

Sentiments noirs


Sentiments noirs

Je m’attache à quelques mots,
Une histoire d’un jour,
Une histoire de toujours,
J’ai aimé et je reste encore à aimer,
Elles sont passées et moi, je reste là,
Sentiments noirs.

Je chante sur une noyade de sentiments,
L’amour loin des bruits de la vie,
Je n’entends déjà plus votre cœur,
Un parfum de fleurs oublié,
Toi qui me lies, c’est peut-être toi que j’ai écrit un jour,
Sentiments noirs.

Je ne compte plus le temps,
Je m’éloigne davantage de vous,
La nuit devient mon sommeil à un jour nouveau,
Plus rien ne résonne entre nous, notre histoire,
Sentiments qui s’égarent davantage à des mots,
Sentiments noirs.

 Je voudrais vous aimer encore,
Sentiments qui me brûlent le corps,
Chaque instant, mon regard déjà loin de vous,
Sentiments qui me brûlent de vous voir et vous dire…
Le cœur devient un monstre à ma vie,
Sentiments noirs.

Je chante mes mots,
Je ne veux pas mourir sans vous voir,
Je veux croire encore un peu de sentiments,
Vos sentiments envers moi,
Le cœur à dire, je vous aime,
Sentiments noirs.

Edmond NICOLLE
Le 24.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2467

jeudi 22 juin 2017

Espoir o'u déraison

(Poésie du jour)
Espoir où déraison

L’amour, une fois,
Trépasse les jours,
Je ne compte plus,
Amour où folie,
Espoir où déraison.

Je m’éloigne chaque jour à l’amour,
 Un mystère qui me tient au corps,
Ma vie qui se balance aux grès du temps,
Une vie outrepassée en solitudes,
Espoir où déraison.

Réveille-moi avant une mort,
Mon corps qui s’assèche en vain,
Solitaire depuis longtemps,
Apprends-moi à aimer à nouveau,
Espoir où déraison.

Peu importe les règles,
L’amour étant plus fort que des mots,
Apprends-moi l’amour une fois,
Ensemble à rallumer cette flamme,
Espoir où déraison.

Je ne ferai pas de bruit,
Longtemps déjà endormi,
De nuits en solitudes,
Amène-moi vers l’amour,
Espoir où déraison.

Edmond NICOLLE
Le 22.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2466

lundi 19 juin 2017

On se guérit avec le temps


On se guérit avec le temps

Sentiments des cœurs,
Ablations des cœurs,
Les amours passent,
Vision du temps,
Je t’aime un instant,
On se guérit avec le temps.

Les mots du cœur,
Maux dans la tête,
Guérir de l’amour,
Sentiment comme un vent,
Je chasse le temps sans bruits,
On se guérit avec le temps.

Un instant dans tes bras,
Pleurer, où sourire ?
Une vie qui passe en trémolo,
Demain un ailleurs au temps,
Fluide qui coule dans mon corps,
On se guérit avec le temps.

Aimer à l’amour,
Sentiments d’un instant,
Amour insatiable,
Corps en convulsion à des nuits,
Je m’endors évanouis de mots,
On se guérit avec le temps.

Raison où déraison ?
Je t’aime à des suspensions de vie,
Le temps me vieillira aux rides s’éveillent,
Mon corps aux drogues médicamenteux,
Soupir un jour de lassitudes nostalgiques,
On se guérit avec le temps.

Edmond NICOLLE
Le 19.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2465

vendredi 16 juin 2017

Est-il possible de nous aimer encore?


Est–il possible de nous aimer encore ?

Nous cacher pour un amour,
Nous restent-ils encore un peu à nous aimer,
Un amour plus fort que des songes,
Que des rêves qui nous martèlent à des cœurs.

Est-il possible de nous aimer encore? 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Notre amour serait-il que moi qui se l’imagine,
Un amour devenu des fantasmes dans ma tête,
Vient briser ce tabou en moi,
L’amour nous dira cette vérité.

Est-il possible de nous aimer encore, 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Je voudrais nous aimer avec des mots,
Des mots silencieux à nos regards,
Des mots qui parlent d’amour,
J’ai tellement envie de refaire ce temps.

Est-il possible de nous aimer encore, 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Mais le temps qui passe et nous trahit en solitude,
Dans un amour si fragile de tant donner en âges,
Serait-il encore possible de s’aimer,
L’amour que j’ai pour toi.

Est-il possible de nous aimer encore, 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Juste un instant à nous aimer simplement,
Ensemble unir nos corps loin des bruits,
Nous aimer pour oublier un instant le temps,
Nous aimer simplement.

Est-il possible de nous aimer encore, 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Je t’aimerais ainsi comme un fou de toi,
Que le hasard nous a faits de nous connaître,
Aujourd’hui, je t’aime,
Je brule de te dire mes mots venant du cœur.

Est-il possible de nous aimer encore, 
S’accorder un instant à un amour,
A-t-on le droit de nous chérir,
Nous aimer dans le secret d’un amour.

Edmond NICOLLE
Le 16.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2464

mercredi 14 juin 2017

Aimer à en mourir


Aimer à en mourir

L’amour sent va comme le vent,
Une brise pour me souffler un mot,
Ma route est déjà faite,
L’amour qui m’a échappé bien des fois,
Aimer à en mourir.

Rien n’est plus pareil,
Une histoire qui déjà disparue,
 Dans les brumes du temps,
Je voudrais aimer encore une fois,
Aimer à en mourir.

Je voudrais t’aimer à une histoire,
Une histoire qui n’est pas finie à un amour,
Dans ma tête, ce joue des lettres,
L’amour donc j’ai besoin de te partager,
Aimer à en mourir.

Mon cœur avec le tient,
Ensemble, un instant à aimer,
J’ai déjà oublié mes demain,
Mon cœur t’aime comme un fou de l’amour,
Aimer à en mourir.

Nous n’avons plus vingt ans pour des rêves,
Le temps a passé à nos âmes et à l’amour,
Aujourd’hui, je veux t’aimer loin des mots,
Nous rendre fous un instant pour oublier une histoire,
Aimer à en mourir.

Edmond NICOLLE
Le 14.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2463

mardi 13 juin 2017

Besoin d'amour


Besoin d’amour

L’essentiel est que nous nous aimions,
Danser sur des mots impossibles,
J’ai tant besoin de vous aimer,
Retours de l’amour impossible,
Besoin d’amour.

Dans ma tête, ce joue des mots,
Une valse pour un amour impossible,
Ne jouez pas avec moi, ça me rend fou,
Juste un essentiel pour vous dire,
Besoin d’amour.

 Je vous aime à ma façon, peu importe,
Dans mon corps, votre visage,
Vos mains que je cherche encore,
Il me reste encore cet animal en moi,
Besoin d’amour.

Tendresses et brutalité de l’amour,
On se recherche loin encore,
Des mots qui vaguent à en fuir le besoin,
Je t’aime et tu t’égares loin de mes mots,
Besoin d’amour.

Je te cherche encore à des lignes,
L’amour va trop vite devant nous,
On se cherche, on se fuit encore,
Des mots qui finissent par engloutir le temps,
Besoin d’amour.

Edmond NICOLLE
Le 13.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2462

dimanche 11 juin 2017

Je t'aimerais à en perdre la raison

(Poème d’amour)
Je t’aimerais à en perdre la raison
L’amour dans le corps,
L’âme loin du temps,
Une femme à mon cœur,
L’amour dans les dédales du temps,
Je t’aimerais à en perdre la raison.

Tant et de temps soufferts,
L’amour devenu des prières,
Je regarde nos mots qui défilent,
Me fait tourner la tête à de folies,
Je t’aimerais à en perdre la raison.

Oh mon amour !
Amour interdit,
L’amour des silences éternels,
Nous mourons un jour de solitude,
Je t’aimerais à en perdre la raison.

Je t’aime à mes déraisons,
Comme une ancre sur du papier,
Les jours passent à écrire pour un amour,
Me font que me saisir de tes mots,
Je t’aimerais à en perdre la raison.

 Bientôt, nous nous rêverons,
Les yeux de l’amour en tendresses,
Nos cœurs à aimer dans des silences,
Nous aimant d’une foi irréaliste,
Je t’aime à en perdre la raison.

Edmond NICOLLE
Le 11.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2461

jeudi 8 juin 2017

Je te sais pressente


Je te sais pressente

Tu m’attends,
Dans un coin du monde,
Ton regard me suivant,
Dans le secret des amours,
Des désirs au bout du temps,
Je te sais pressente.

Comme un enfant, je t’ai dit,
Un grain de folie pour des cœurs,
Je n’ai pas fini mon histoire,
Je continue à te dire des mots,
Quand tu viendras, je te dis tout,
Je te sais pressente.

Solitude, nous connaissons,
Les années sont passées sans nous,
Le silence nous a brisé tant de fois,
Tant pleuré à nos nuits de douleurs,
Je suis seul sans toi,
Je te sais pressente.

Sentiments qui crient au temps,
Quand finiront les mots aux silences,
Rejoindre nos mains à la nuit,
Doucement, nous retrouvent enfin,
Comme deux enfants libres,
Je te sais pressente.

Je sais que tu es là

Edmond NICOLLE
Le 08.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2460

vendredi 2 juin 2017

Silence à mon corps

(Poésie du jour)
Silence à mon corps

Renaître d’un autre corps,
Redécouvrir l’amour,
L’amour d’un ailleurs,
La beauté du corps au mien,
Doucement pénétrable de complicités.

Silence à mon corps,
Je t’aimerais comme dans mes songes,
Une histoire qui a besoin de sortir maintenant,
À deux amours interdits au regard de l’humilité,
Mélancolie de deux amants au temps d’une histoire.

Je t’aimerais autrement,
Mes racines du passé en éloge,
Soubresaut dans mon corps en alerte,
J’attends tes yeux aux miens me pénétrer,
Pénétrations des couleurs de l’amour ensemble.

Je veux goûter à la force de tes membres,
Me perdre dans tes bras vigoureux de l’amour,
Ensemble, partir loin dans l’extase fougueuse des corps,
Nos lèvres enlacées à nos corps en alertes,
Comme un cupidon me libérer de fantasmes brûlants encore.

Transporte-moi dans tes accords,
Nos corps en vibratos de sensations,
Sentir ton corps s’extasier au mien,
Libérer l’amour enfouis de temps d’années,
Aujourd’hui, je veux tuer à mes attentes d’aimer.

Edmond NICOLLE
Le 03.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2459

Monde infini de vie


Monde infini de vie

Des mots qui s’envolent,
Étranger d’une vie,
Étranger de la nuit,
Étranger de la mort,
Monde infini de vie.

Encore un jour,
Des pleurs pour une vie,
L’amour qui disparaît,
Coucher à la nuit des couples,
Monde infini de vie.

Se faire du mal pour rien,
Jalousie, domination,
Le jeu des plus habiles,
Brisé déjà d’un passé,
Monde infini de vie.

Ma vie est déjà ailleurs,
Un monde qui me double,
Je me repose déjà ici,
Sur un lit d’une vie, ma nuit,
Monde infini de vie.

Entrechoc d’un ciel,
Le pardon n’existe déjà plus,
Lamentation de ma chair à une mort,
Le feu d’un diable à mes trousses,
Monde infini de vie.

Me réveiller,
Une nuit pour un rendez-vous,
Je fermerais les yeux pour une lune,
Silencieusement, je rejoindrais mes mots là-haut,
Monde infini de vie.

Edmond NICOLLE
Le 02.06.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973