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mardi 29 septembre 2015

Je t'aimerais toujours à l'amour









Je t’aimerais
toujours à l’amour

Le temps ne
compte plus entre nous,
Les années m’ont
donné plus de ferveurs,
Empreint de caresses
et de douceur à un cœur,
L’amour sera
là entre nous une fois encore,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Je cherche
ton nom encore,
Avec le
temps, nous nous reconnaîtrons,
Une fois et
tout disparaîtra encore,
Tu es l’amour,
tu es le vent,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Tu es passé
bien des fois sans me voir,
J’étais
jeune à ce moment,
Mais le
souffle du vent à chasser mes années,
J’ai dans le
cœur l’amour qui fait mal encore,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Je t’attends
encore,
Mon amour ne
s’est jamais démoli,
Tu es
partie, sans dire le vrai sens de l’amour,
Tant de
feuilles écrire pour te dire…
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Je t’ai donné
ma vie, je t’ai donné mon âme,
Aujourd’hui,
je te cherche encore,
Tu me briseras
encore,
Les flammes
de l’amour me brûleront encore,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Je te
donnerais mes mots,
Sur une
plume des appels,
Pour que tu
m’aimes encore,
À tes
lèvres, je t’aimerais,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Tu me diras
que l’on se ressemble encore l’amour,
Des amours tant
égarés avec le temps,
Comme des
amants qui se recherchent encore,
Qu’un vent caressera
encore par un souffle les amours,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.

Nous repartirons
une fois encore,
Oublier un
instant les soucis de la vie,
Un instant
avec toi, sur d’autres terres,
Nous nous
rechercherons encore une fois,
Je t’aimerais
toujours à l’amour.


Nicolle
Edmond
Le 30.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2008


















































































































samedi 26 septembre 2015

.Le temps s’est arrêté ainsi à mes lignes





Le temps s’est arrêté ainsi à mes
lignes

Mes nuits
deviennent des lignes,
Une muse
dans mon corps m’inspirant,
En silence
dans cette solitude de convenance,
Mes annulaires
qui deviennent des mots,
Naissance de
toutes encycliques à mes nuits,
Le temps
m’est devenu une poésie sur des lignes.

Je ne suis
pas celui qui écrit des mots,
Le temps s’est
arrêté un jour,
Une union
secrète d’une effigie en moi,
Un
labyrinthe de mots naissants à mes heures,
Le temps
devenu, une prose de chaque nuit,
Le temps m’est
devenu une poésie sur des lignes.

J’écris sans
connaître la définition de mon être,
Un poète
vagabondant sur des lignes,
Une soif de
littératures poétiques sans fin,
Un poète
sans attache naissant à une vie,
Une vie sans
être lié,
Le temps m’est
devenu une poésie sur des lignes.

Je n’ai pas
su vous dire en mes mots,
J’ai fait
tomber plus d’une âme à mes lignes,
Un rêve de
labyrinthe aux amours ratés,
Je suis
resté un enfant sans voix,
Une muse
m’accompagnant à ma vie,
 Le temps m’est devenu une poésie sur des
lignes.

J’écris le
temps,
L’amour sur
des lignes,
Une vie sur
une plume,
Une solitude
devenue mon encre,
Complice de
mots sans être moi,
Le temps
m’est devenu une poésie sur des lignes.

Nicolle
Edmond
Le 27.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2007

 







































vendredi 25 septembre 2015

Une page se tourne





Une page se tourne

Des mots sur
une page,
Un regard
lointain,
Déjà, le
temps a disparu,
Ils (e)
étaient des étoiles,
Le silence
est venu,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

J’écris le
temps,
Entre mes
doigts, mes années,
Ils sont partis
déjà loin,
Mes pensées
sont vers eux,
Les anciens
avec leurs mots,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

Il n’y a
plus rien à voir,
Les regards
sont loin déjà,
Des prunelles
qui font silences,
Un cœur qui
vibre sur des lèvres,
Ils savent
déjà tout,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

J’écoute une
leçon,
Des notes
qui résonnent dans le silence,
Il me reste
un personnage sur les mots,
Une autodidacte
qui me suit,
Une effigie
poétique de mots,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

Ils m’ont
laissé sur le bord de la route,
Je suis seul
dans mes souvenirs,
Leurs mots
étaient vivants un temps,
Un rire silencieux
parfois resurgi au temps,
Tout fait
silence aujourd’hui,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

Je suis seul
avec ma plume,
Une plume
qui me reste pour écrire,
Des mots,
des silences, des pensées,
Une muse, un
mariage de sépia,
Un nouveau jour
se lève, je vous laisse,
Une page se
tourne ainsi,
Une solitude
cachée de silence.

Nicolle
Edmond
Le 26.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2006



jeudi 24 septembre 2015

Chaque jour, avec toi, mon Dieu




Chaque jour, avec toi, mon dieu

Ton silence
vaut mieux que les bruits de monde,
Une alliance
entre toi et moi,
Dans les
montagnes et les plaines, tu es là,
Tu m’as
donné la vie, ta présence avec moi,
Ta demeure
est ici depuis toujours, dans mon cœur,
Personne ne
peut me donner ce que tu m’as donné à ma vie,
Chaque jour,
avec toi, une alliance d’amour et de pardon,
 Oh ! Mon Dieu, je t’aime tant,
 Ma vie entre tes mains, je suis bien.

J’ai marché
sur tes chemins,
Quand j’étais
seul, tu étais là pour moi,
J’ai reçu
tes lois sans crainte,
Tu es mon
Dieu, ma vie, mon amour,
Un dieu qui
pardonne tout,
Personne ne
peut me donner ce que tu m’as donné à ma vie,
Chaque jour,
avec toi, une alliance d’amour et de pardon,
 Oh ! Mon Dieu, je t’aime tant,
 Ma vie entre tes mains, je suis bien.

Je chante vers
toi mes éloges de grâces,
Ma vie avec
toi,
Bientôt, je
serais là devant cette porte, cette porte prête,
En silence,
tu me prendras dans mon dernier voyage,
Je n’ai pas
peur de partir, je sais que m’a vie ne m’appartiens pas,
Personne ne
peut me donner ce que tu m’as donné à ma vie,
Chaque jour,
avec toi, une alliance d’amour et de pardon,
Oh ! Mon
Dieu, je t’aime tant,
 Ma vie entre tes mains, je suis bien.

Je prie avec
ce que j’ai reçu de tes lignes,
Ma raison de
vivre, ma vie à tes pieds,
L’amour fidèle
d’un père éternel pour ses enfants,
Je prie, que
tu me donnes encore le temps de dire,
M’a humble
vie avec toi et en toi,
Personne ne
peut me donner ce que tu m’as donné à ma vie,
Chaque jour,
avec toi, une alliance d’amour et de pardon,
Oh ! Mon
Dieu, je t’aime tant,
 Ma vie entre tes mains, je suis bien.


Nicolle
Edmond
Le 25.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2005































































































https://plus.google.com/
(sous pseudonyme Christophe André)

mardi 22 septembre 2015

Faire l'amour encore une fois





Faire l’amour encore une fois

Le temps où on
s’embrassait,
Un rêve,
chaque jour avec toi,
Nous apprenions
à s’aimer,
Faire l’amour
quelque part,
Ce temps pour
des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Aujourd’hui
tous se pressent,
On n’a plus
le temps de dire,
En cachette
s’aimer quelque part,
Aimez-moi
encore,
Ce temps pour
des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Il me reste
des enfants,
Ils ont pris
notre place,
La vie à
tourner pour nous,
Nous sommes seuls
sur ce chemin,
Ce temps pour
des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

J’ai dans le
cœur un amour,
Refaire le
temps aujourd’hui,
Dire
doucement, je t’aime,
Refaire le
temps pour un amour,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Nous avons
changé depuis,
Quelques
rides sont apparues,
Peu importe
le temps,
Mon cœur te
cherche encore,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Laisse-moi
t’aimer,
Une première
fois comme jamais à t’aimer,
Mes mots
seront encore maladroits,
Fait de moi
un homme qui t’aime,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Fait-moi
l’amour,
Parle-moi de
tendresses,
Juste ce
qu’il faut,
Parle-moi
d’amour,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Nous irons
pour un voyage,
Te prendre
la main,
Nos regards
loin du temps,
S’aimer sans
mots qui blessent,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Vient,
Mon cœur
t’attend,
Le temps
encore pour un amour,
Rien que toi
et moi,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.

Femme, je
t’attends,
Loin du
monde, nous irons encore,
Tendrement
enlacé comme une première fois,
Je
t’aimerais sans plus de mots vains,
Ce temps
pour des tendresses,
Faire
l’amour encore une fois.


Nicolle
Edmond
Le 23.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2004



























































































































































https://plus.google.com/ (sous pseudonyme
Christophe André)

Réapprends-moi l'amour





Réapprends-moi l’amour

Mon cœur qui
a tant besoin de mots,
J’ai tant
donné de ma vie,
Je ne sais
plus dire, je t’aime,
Que des mots
qui se troublent,
Besoin
d’aimer à l’amour,
Réapprends-moi
l’amour.

Je voudrais
tout recommencer,
Comme un
enfant qui apprend l’amour,
Mon cœur qui
a tant besoin de renaître,
Serais-tu
celle de mes attentes,
Ensemble
peut-être à des sentiments,
Réapprends-moi
l’amour.

J’ai fait
des erreurs à ma vie,
Espérer le
grand amour,
Je n’étais
qu’un enfant trop vite grandi à la vie,
Je ne sais
pas grand-chose à l’amour en fait,
Serais-tu me
parler à mes instants de vie,
Réapprends-moi
l’amour.

Ma poésie
est celle des amours en question,
Celle d’une
nécessité de refaire sa vie,
Comme des
amants qui cherchent une suite à leur vie,
Un lien
personnel  à de sentiments,
Chercher
l’amour autrement par des mots,
Réapprends-moi
l’amour.

J’ai besoin
de tes mots,
Besoin de
confiance,
Besoin d’un
sourire,
Besoin de
tendresse,
Besoin de
renaitre à l’amour,
Réapprends-moi
l’amour.


Nicolle Edmond
Le
22.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2003


https://plus.google.com/ (sous pseudonyme Christophe André)

lundi 21 septembre 2015

Déclaration d'amour secrète







Apprends-moi ton regard

Juste un
instant, une minute,
Le temps de
dire, de t’entendre,
Apprends-moi-la
note que tu aimes,
Le mot, je
t’aime, me conviendrais si bien,
Apprends-moi
ton regard,
Sur nos
lèvres, des mots.

Je t’écrirai
mes mots,
Tu me
donneras tes mots,
À deux pour
un amour en lettres,
Une fleur à
chaque point,
Apprends-moi
ton regard,
Sur nos
lèvres, des mots.

Je sentirai
chaque lettre,
Une brise à
chaque lettre,
Une rose
pour mon cœur,
Un parfum
venu d’ailleurs,
Apprend-moi
ton regard,
Sur nos
lèvres, des mots.

Donne-moi ta
main en début de ligne,
Je bercerai
tes lettres,
Ceux qui
viennent de ton cœur,
Des lettres
douces sur du papier,
Apprends-moi
ton regard,
Sur nos
lèvres, des mots.

Nous
finirons ensemble les notes,
Ensemble,
les mots à nos lèvres,
Doucement,
je viendrai te prendre la main,
Nos cœurs
s’aimeront dans le silence de l’amour,
Apprends-moi
ton regard,
Sur nos
lèvres, des mots.


Nicolle
Edmond


Le
20.09.2015

dimanche 20 septembre 2015

Kromé "Où l 'amour nous mènera" (magnifique chanson d 'amour française)





Ne me quitte pas à l’amour

Je t’aime
tant sans façon,
Ne nous créons
plus de lois,
Nous avons
tant dit par les blessures,
Nous sommes
à recommencer à un amour,
Ne me quitte
pas à l’amour.

Ton chemin n’est
pas le mien,
Mais je veux
t’aimer comme jamais,
L’amour
comme une fleur à mes mains,
Doucement, je
saurais te refaire l’amour,
Ne me quitte
pas à l’amour.

Je veux découvrir
ce que j’ai raté de l’amour,
Dans tes
bras, l’amour,
Un homme qui
a raté le temps des délicatesses,
Ensemble s’aimer
comme une première fois,
Ne me  quitte pas à l’amour.

Je veux redécouvrir
ce corps,
Le mien avec
toi,
Ensemble nous
chercher à l’amour,
Je te
prendrai la main dans nos silences,
Ne me quitte
pas à l’amour.

 Je veux oublier ce temps,
Le temps de
ne pas se connaître,
Refaire le
temps à deux,
Doucement, le
temps de nous aimer,
Ne me quitte
pas à l’amour.

Je ne sais
pas comment refaire le temps,
Dans tes
bras, nous irons rechercher l’amour,
Je veux réapprendre
cet amour si lointain déjà,
Ce qui nous
manque horriblement à notre cœur,
Ne me quitte
pas à l’amour.

Regarde-moi
un instant,
Je veux t’aimer
comme jamais je n’ai connu de l’amour,
Une force
qui se presse à un amour,
Ensemble doucement
vers lui,
Ne me quitte
pas à l’amour.


Nicolle
Edmond
Le
20.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
 2001 textes sortis à ce jour



































































































https://plus.google.com/ (sous pseudonyme
Christophe André)

samedi 19 septembre 2015

Ma France Jean Ferrat



J’ai marché longtemps sur les routes
de naguère

Sur les
plaines et les montagnes,
Mon corps léger
comme le vent,
Un enfant (e)
sur les routes,
Sous la
pluie et le soleil,
Dormir avec
la lune,
J’ai marché
longtemps sur les routes de naguère,
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e) dans
cet univers du monde.

Entendre le
bruit de la nuit,
Parler avec
un vagabond comme moi,
Nos routes,
ce croisé, un instant,
Sur les
routes de l’aventure,
J’étais seul
(e) sans rien sur les épaules,
J’ai marché (e)
longtemps sur les routes de naguère,
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e) dans
cet univers du monde.

Fuir un
monde,
Un monde qui
ne me ressemble pas,
Mes souvenirs,
seuls bagages,
Je n’étais
rien aux yeux du monde,
Loin de
chez-moi, j’ai pleuré (e),
J’ai marché (e)
longtemps sur les routes de naguère,
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e) dans
cet univers du monde.

Chercher la
vie ailleurs,
Un rêve que
je m’étais imaginé (e),
Me battre
contre cette haine et de violence,
J’avais oublié
que ma faim n’était plus d’actualité,
Je me suis
caché (e) le jour pour cacher mon identité,
J’ai marché (e)
longtemps sur les routes de naguère
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e) dans
cet univers du monde.


Un animal, j’étais,
Habiller de haillons,
Ma vie
devenue, un (e) vagabond (e) des routes,
Seul compagnon,
un Dieu à mes prières,
Encore aujourd’hui,
il me reste ce survivant,
J’ai marché (e)
longtemps sur les routes de naguère.
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e) dans
cet univers du monde.

Seul où à
deux ou trois Ets,
Le monde nous
échappant à nos mains et nos vies,
Les routes seront
nos Peines et nos prières encore,
Longtemps, nous
marcherons encore pour un demain,
Le temps
passant ainsi à des croisements de vies et de désuétudes,
J’ai marché (e)
longtemps sur les routes de naguère,
Je marcherais
encore, je n’ai pas fini (e) mon voyage,
Seul (e)
dans cet univers du monde.

Nicolle
Edmond

Créateur de poésies depuis 1973
Texte N°
2000
Le 20.09.2015

























































































































https://plus.google.com/ (sous pseudonyme
Christophe André)