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samedi 26 septembre 2015

.Le temps s’est arrêté ainsi à mes lignes





Le temps s’est arrêté ainsi à mes
lignes

Mes nuits
deviennent des lignes,
Une muse
dans mon corps m’inspirant,
En silence
dans cette solitude de convenance,
Mes annulaires
qui deviennent des mots,
Naissance de
toutes encycliques à mes nuits,
Le temps
m’est devenu une poésie sur des lignes.

Je ne suis
pas celui qui écrit des mots,
Le temps s’est
arrêté un jour,
Une union
secrète d’une effigie en moi,
Un
labyrinthe de mots naissants à mes heures,
Le temps
devenu, une prose de chaque nuit,
Le temps m’est
devenu une poésie sur des lignes.

J’écris sans
connaître la définition de mon être,
Un poète
vagabondant sur des lignes,
Une soif de
littératures poétiques sans fin,
Un poète
sans attache naissant à une vie,
Une vie sans
être lié,
Le temps m’est
devenu une poésie sur des lignes.

Je n’ai pas
su vous dire en mes mots,
J’ai fait
tomber plus d’une âme à mes lignes,
Un rêve de
labyrinthe aux amours ratés,
Je suis
resté un enfant sans voix,
Une muse
m’accompagnant à ma vie,
 Le temps m’est devenu une poésie sur des
lignes.

J’écris le
temps,
L’amour sur
des lignes,
Une vie sur
une plume,
Une solitude
devenue mon encre,
Complice de
mots sans être moi,
Le temps
m’est devenu une poésie sur des lignes.

Nicolle
Edmond
Le 27.09.2015
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2007

 







































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