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dimanche 30 décembre 2018

Une histoire qui se prolonge au temps


Une histoire qui se prolonge au temps

Un air de musique qui dure,
De passants dans la rue,
Un monde qui tourne s’en toi,
De bruits abasourdissent des villes,
Une vie qui passe en souvenir.

Chercher l’insolite,
Deux amoureux qui s’aiment,
Curiosités inlassables,
Des mains qui se détachent,
Une vie en trémolo trépassant.

Solitude dans les ruelles,
Silence dans la nuit,
Il pleut sur des carreaux.
Un regard hagard à la nuit,
Il fait froid pour les nostalgiques.

Fuir le temps,
Fuir le monde,
Retrouver un sens,
Une main charitable,
Le bonheur d’un instant.

Regard au lointain,
Un espace qui s’allonge,
Éloquente vie sur des traces,
Fuir encore plus loin,
Un rêve abstinent sans décor.

J’écoute le temps.
Il fait silence à la nuit.
Demain, je sortirais au loin,
Fuir le monde, les villes,
Chercher la brise qui me soufflera.

Edmond Nicolle
Le 31.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2746

samedi 29 décembre 2018

Vœux 2019


Je vous souhaite une bonne année 2019 à tous et toutes. Edmond

I wish you a Happy New Year 2019 to all. Edmond

Я желаю вам счастливого нового года 2019 для всех. Эдмон

გისურვებთ გილოცავთ ახალ წელს 2019 ყველა. Edmond





vendredi 28 décembre 2018

Solitude sur les quais des brumes




Solitude sur les quais des brumes

Je me rappelle du temps.
Une marche vers des lignes,
Des poésies qui tombaient sur des pages,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Sur ces quais, je me relate.
Une marche au matin levant,
Chercher le temps, une histoire,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Je suis seul sur les quais d’un port.
Je cherche, je cherche une image.
Un passant que je croise sans mots,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Une chanson qui me réveille,
Une envie de partir, de rester,
Fuir le temps, cette solitude,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Je ferais de mes lignes une mémoire.
Entendre une corne de brume au lointain,
Marcher sur les quais d’un oubli,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Une vie à passer à des silences,
Je me plais de regarder assis.
Ce ciel rempli de couleurs,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

J’écris comme je marche.
Je dois laisser place à d’autres.
De passant qui se croise nonchalants,
Je n’ai pas changé depuis ce temps.

Edmond Nicolle
Le 29.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2745

Sentiments d'aimer




Sentiments d’aimer

Sentiments d’un amour,
Stopper la vie,
Parler d’amour.

Changer les mots,
Celui d’aimer à des effets,
Ma main à la tienne.

J’ai envie de changer le temps.
Marcher un instant avec toi,
Te suivre à des déraisons.

Jouer comme des enfants.
Innocence passée avec l’âge,
Nos cœurs de tant de pensées.

Une fois suffit pour dire.
Comme des enfants d’un jeu,
Nous retrouver à aimer.

Cette poésie est pour toi.
Une chanson à toi,
Une passion d’un amour.

Ne me retiens pas, te voir un jour.
Je partirai un jour bien loin.
Le temps dans la raison d’un ciel.

Edmond Nicolle
Le 28.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2744

https://youtu.be/2zjLBWnZGTU

Feelings to love

Feelings of a love,
Stop life,
Talk about love.

Change the words,
That of loving to effects,
My hand to yours.

I want to change the weather.
Walk a moment with you,
Follow you to disappointments.

Play as children.
Innocence passed with age,
Our hearts of so many thoughts.

Once is enough to say.
Like children of a game,
We find ourselves to love.

This poetry is for you.
A song to you,
A passion of a love.

Do not hold me back, see you one day.
I will leave one day far away.
Time in the reason of a sky.

Edmond Nicolle
28.12.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2744

mercredi 26 décembre 2018

Un mot et tout peu changé à la vie




Un mot et tout peu changé à la vie

Vivre sans peur,
Vivre d’amour,
Changer la vie,
Une plume, des mots.

Partir demain,
Partir vers des désirs,
Rire, crier au ciel,
Vivre, respirer.

Embrasser la terre,
Dire merci à Dieu,
Brûlé mon cœur à des animosités,
Entendre le ciel parlé.

Dormir en sérénité,
Ne plus entendre des larmes,
Des blessures qui font mal,
Étouffer le souffre de la mort.

Des enfants dans la rue,
De gens qui ont faim,
Être seul à la vie,
Oublier des hommes.

Ne plus rêver à des lendemains,
Des mots comme des missives,
Ma liberté tuée de lois burlesques,
Me laisser vivre ma liberté d’homme.

Humanité demain,
Je postulerai encore à des poésies.
Des prières en silence à un Dieu d’un ciel,
Chanter la vie, chanter à une liberté sans heurts.

Mes vœux les plus sincères 2019 à tous

Edmond Nicolle
Le 26.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2743
https://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/

samedi 22 décembre 2018

Amour inversible




Amour inversible

Tu es là à mes nuits.
Je te regarde un instant.
L’amour à notre lit inaudible,
Tu me tends la main.
Je t’aime ainsi.

S’instaure un amour.
Les amants de la nuit,
Je t’aime ainsi sans bruit.
S’entrelace le silence à nous.
Je t’aime encore plus intensément.

Je me laisse bercer à cette nuit.
Je suis seul, tu es là à mes silences.
Délicatement emporté à nos corps,
Le corps invisible, transparent de prouesses,
Femme inversible de silences.

Je t’aime comme cela.
Comme une histoire indélébile,
Je me laisse transporter à cette femme.
Mon seul refuge dans son invisible amour,
Mon corps en lassitude d’avoir aimé des jours,
Tu es là à mes silences, l’amour étant ma vie.

Il n’y a pas de mots en nous.
Le regard suffit à dire,
Enlacé dans les silences,
L’amour né à la nuit,
Je t’aime ainsi sans façon.

Edmond Nicolle
Le 23.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2742

Ma vie est une longue histoire



Ma vie est une longue histoire

Les pages ne suffisent pas à vous dire.
Je ne sais pas où je suis actuellement.
Je tourne avec temps, cent ans à prévoir.
Comme le temps qui fuit encore.

Je ne reconnais plus le temps.
Mon corps n'a plus de jeunesse.
Je fuis le jour qui passe à mes âges.
La mort m'échappe encore un an plus.

J'ai des amis (e) ils sont partis un jour,
Je cherche encore ce qui m’accroche.
Loin des mots, un silence incessant,
Mon regard dans un ciel sans visage.
Je cherche le ton, l’amour.
Un chuchotement à des lèvres,
Des mots qui deviennent fous,
Je briserais un jour ce miroir flou.

Ma vie en dédale de mots,
Un livre qui n’en finit plus aux mots,
Une plume qui m’échappe entre des doigts,
 Une liberté que je cherche à moi à en finir.

Edmond Nicolle
Le 22.12.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2741