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vendredi 31 mars 2017

Des mots sur du papier blanc


Des mots sur du papier blanc

Le silence sur mes doigts,
Une plume qui traîne,
Des saisons qui passent,
Rien ne sert de revenir,
De souvenirs à l’encre noire,
Des mots sur du papier blanc.

Je suis le fantôme d’une histoire,
Un gamin rempli de silences sur des pages,
Rien ne peut me faire changer à cette vie,
Vivre seulement sur un destin d’un Dieu,
Je n’ai plus de larmes pour alimenter mon cœur,
Une vie devenue un fantôme en âge.

Je n’ai plus d’âme pour les oublier de mon histoire,
Une vie, une ligne vers une éternité d’une foi,
Mon bonheur est celui du très haut à mes lignes,
Mon bonheur est sur une plume de solitudes vouer,
 D’une muse qui ne m’appartient pas définitivement,
Mon âme est ma faiblesse dans mes maux.

Je veux courir sur des lignes,
Une vie, un cœur à aimer pour mes lendemains,
Oublier une histoire qui me tue sans fin,
Vivre comme je le veux à aimer à une vie,
Revenir avec des saisons douces à un amour,
Oublier la vie des saisons devenues mortes.

Vivre simplement sans penser à demain,
Oublié le temps, les crises passées,
Vivre simplement ma vie,
Ma vie a aimé la vie,
La vie tout simplement,
Aimer…

Edmond NICOLLE
Le 31.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2422

samedi 25 mars 2017

Une photo, un souvenir


Une photo, un souvenir
Pour une amie

Une femme,
Un regard indéfinissable,
Une voix dans les silences,
Des prières pour un Dieu,
Une croix, une peine.
.
Une photo, un souvenir,
Une femme seule,
Des pas pour une aventure,
Demain sur un lit d’amour,
Femme de destins.

Tendresse avec des mots,
Un sourire délibéré,
Une musique au lointain,
Un rythme pour oublier,
Le corps en éruption.

Un soleil qui brille,
Instant sublime,
Elle est loin de son pays,
Moment de silence pour un cœur,
Revenir un jour, bien vite.

Une femme, un décor,
N’a rien, peu importe,
Elle est mon amie,
La sortir, un sourire,
Je t’emmène.

Une aventure, un rêve pour peu,
Ensemble, une minute, une éternité,
Effacer le temps d’hier,
Tant de douleurs qui font mal,
Oublier la vie, oublier le temps.

Accrocher la vie,
Des prières pour un chemin,
Demain sera une autre fois mieux,
Peu importe le temps,
Vivre.

Edmond NICOLLE
Le 26.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2421

vendredi 24 mars 2017

J'y ai laissé mon corps un jour de pluie


J’y ai laissé mon corps un jour de pluie

Des larmes coulées, ce que j’ai perdu,
Mon corps disparu dans les ténèbres,
Une enfant qui a ses raisons de sa vie,
L’amour qui a tant souffert d’un jeu.

J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.

Reviendra encore le temps au dernier jour,
Loin des mots et du silence,
Une croix sur mon cœur,
Sans prière et sans regard.

J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.

Ils m’ont tué mille fois en mots,
Raison d’une fête à un diable,
Chasser comme un malpropre,
Mon cœur s’est décroché à une enfant.

J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.

Tourne les vents à mes maux,
Les années s’éloignent de moi, mes souvenirs,
Dans mon cœur s’est vidée une loyauté,
Le monde m’a séparé du cadeau de ma vie, une enfant.

J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.

Je mourais sans te revoir un jour,
Mon monté la tête définitivement,
Tuer l’amour que nous avions à vivre,
La loi du plus fort écrasant l’amour d’un père.

J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.

Edmond NICOLLE
Le 25.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2420

mercredi 22 mars 2017

L'amour revient au galop

L’amour revient au galop

Je t’avais oublié pour peu,
Peu de choses à des sentiments,
Un amour à la recherche d’une illusion,
Un bonheur sans être une aisance,
Juste un jour pour oublier.

L’amour s’en va ainsi,
Un peu de bonheur pour un soir,
Pas un réconfort pour soulager les douleurs,
Je suis venu et reparti le lendemain,
Le cœur rempli d’effroi et de larmes.

Le temps a changé aux souvenirs,
Le cœur devenu dur aux épreuves,
L’amour devenu une fragilité à mes jours,
Je ne sais plus reconnaître le bien et le mal,
Ma vie passant comme le vent a un amour.

L’amour est un voyageur dans mon univers,
Il me reste que des images figées aux temps,
Je n’ai plus la force de revenir aux premiers amours,
Le temps a passé sur mon cœur devenu solitaire,
Chaque jour, l’amour m’arrachant de mon corps.

L’amour revenant au galop,
Vient comme il s’en va sans y coller à ma peau,
Juste un souffle de fièvre, me monter à la tête,
Mes mains devenant insensible au sentiment du corps,
Je reste là sans plus attendre les motifs d’un appel.

Edmond NICOLLE
Le 22.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2419

dimanche 19 mars 2017

mésaventure, une vie


Mésaventure, une vie

Je regarde ce ciel,
Là où j’irais revivre,
Donner un sens à ma vie,
Une envie de vivre de mes silences,
Loin de mon corps, une existence,
J’ai rendez-vous avec le ciel,
Un jour sans encombre de mes mots.

J’ai trahi ma vie mainte fois,
Trahison des amours passés,
Trahison de mon corps à la femme,
Mon reflet sur un miroir de mon histoire,
Mes jours devenus mes nuits à vous écrire,
Des lignes sur vos lignes de vos corps,
Mes doigts à vous effleurer votre peau.

J’ai besoin d’espace,
Respirer un ciel sans nuages,
Une piste sans étoiles à ma vie,
Un jour, je repartirai comme je suis arrivé,
Me sentir libre de mon âme et de mon corps,
Voyager dans un ciel, chercher des silences,
Quelqu’un qui m’aime sans parade de faux amours.

J’irais chercher ma vie sans confrérie,
Aimer ce qui tient à ma vie, une âme à me dire…
Laisser le temps pour des mots aux sentiments,
Tant besoin de partager un amour réel,
Des mots où l’on dit, je t’aime sans apprêter raison,
Chercher l’amour sans effigie de miroir,
Rire et chanter à la vie, l’amour à des cœurs.

Je suis sur une route sans escale de vie,
Mon chemin continu à croire à autre chose,
Une vie plus intense dans un ciel sans peine,
Croire encore à un amour naissant un jour,
Des mots cherchant les essences d’un amour,
Simplement, ce dire, je t’aime,
Partir tout simplement.

Edmond NICOLLE
Le 19.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2418

samedi 18 mars 2017

Ce n'est qu'un instant de bonheur


Ce n’est qu’un instant de bonheur

Entre tes bras, un amour,
Je vague de mots sur du papier,
J’aime, oui, je t’aime un cours instant,
Tu viens et tu repars dans un horizon,
Ce n’est qu’un instant de bonheur.

Tu m’embrasses comme le vent qui passe,
Un air de souffle sur ma bouche, impatience,
Le temps, ce compte en heure à l’amour,
Bientôt, nous irons encore dormir à la nuit,
Ce n’est qu’un instant de bonheur.

Je n’irais pas me plaindre, un souffle amer,
Le temps a passé pour nos plus beaux jours,
C’était hier, c’était une histoire, un amour,
Entre tes bras, nos âges, un cœur déjà laissé,
Ce n’est qu’un instant de bonheur.

L’amour qui vient, on ne sait d’où il arrive,
Arrive par surprise à des cœurs, cachés,
Oh, le silence des solitudes s’accrochant,
Une victoire à une saison déjà loin, des larmes,
Ce n’est qu’un instant de bonheur.

Je ne suis jamais arrivé comme l’on dit,
L’amour étant une histoire en page de livre,
Amour indéfinissable à ma vie, obscurantisme,
Je ne crois que sur un souffle d’une vie, l’amour d’un instant,
Ce n’est qu’un instant de bonheur.

Edmond NICOLLE
Le 18.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2417

mardi 14 mars 2017

Une plume dans l'innocence du poète


Une plume dans l'innocence du poète

Des lettres remplissent une vie,
Le cœur en effroi à l’amour,
Je n’ai plus d’âges à l’amour,
Je voyage sur des cœurs en solitaires,
Le chemin où ne s’arrête plus la vie.

Crier tout bas, je vous aime,
Je n’ai pas allure du gentleman,
Seulement des mots pour vous dire,
Vous fuyez l’allure d’un pauvre mec,
Pas grave, j’ai l’habitude des abondons sans suite.

L’amour est une chanson à mon cœur,
Mes doigts s’accrochant à une plume,
Je suis qu’un gentleman d’une muse,
Une femme, mon amante des solitudes,
Mes nuits et mes jours sans vous.

Ne cherchez pas qui je suis,
 Je ne le sais pas moi-même,
Que des lignes pour me soulager d’une vie,
Bientôt mes lignes finiront comme moi à un mur,
Là où la mort sera ma complice de mes silences.

Je vous aime ainsi depuis des âges,
Mon cœur en vagabondage de lettres,
Peu de gens m’ont touché les doigts à ma fuite,
Que quelque folie de ses dames de cœur,
Ma vie devenue que poésies d’âge.

Une plume dans l’innocence du poète,
J’écris ma vie, j’écris l’amour,
Des solitudes tant de jours en silence,
Mes jours à chercher l’amour sans le voir apparaitre clair,
Je suis celui qui passe avec des lignes en innocences de poésies.

Edmond NICOLLE
Le 14.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2416

dimanche 12 mars 2017

L'amour comme un printemps



L’amour comme un printemps

Je veux effacer le temps passé,
Aimer de nouveau à un authentique regard,
Doucement nous emporter sur des rives infinies,
Oublier les saisons d’histoires sans mots.

Je t’aimerais de nouveau,
L’amour nous emportant une fois encore,
Le temps nous pressent à des saisons,
De nouvelles tendresses à découvrir.

Mon cœur sur des mots poétiques,
Je t’écris pour débuter à une saison,
L’amour que je détiens pour toi,
Mon désir de te connaître de nouveau.

Je suis la fleur qui s’ouvre à toi,
Désir d’un printemps à mon corps,
La renoncule florissante en moi,
Mon désir de t’aimer.

Mon âme assujettie de sens,
 Mon corps en appétence,
S’enflamme des attraits,
T’aimer est ma seule raison à l’amour.

T’aimer est ma seule issue,
Partir, rester à t’attendre me fait plus en doute,
Mourir à l’amour est ma seule délivrance à mon corps,
Me délivrer de cette fleur tant ardente à mon corps.

T’aimer est ma seule raison à l’amour,
Un printemps vient d’éclore à sa raison,
L’amour qui me suit à des désirs offusquant,
Je n’attends que toi à cet amour.

Edmond NICOLLE
Le 12.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2415

samedi 11 mars 2017

Je veux aller plus loin à ma vie




Je veux aller plus loin à ma vie

Franchir la vie, franchir les frontières,
Ma vie avant les extinctions d’une liberté,
Petit bonheur que j’appelle à un ciel,
Je veux vivre ainsi demain, une liberté.

Ma vie, s’est arrêtée un jour sans prévenir,
Intouchable destin entre mes mains,
Non, je veux vivre ma vie en hétéroclite,
Crier une liberté pour un cœur en désirs.

Parler doucement des lendemains sans plan,
Prendre l’instant à respirer de nouveaux cieux,
Le cœur rempli de douceurs à des hasards du temps,
Chuchotée la vie à deux à des souffles naissants.

Je veux partir loin avec mes rêves,
Aimer la vie, aimer l’amour, aimé…
Le temps d’un destin m’ouvrira au cœur,
Découvrir ce qui s’est arrêté un jour.

Je veux aller plus loin à ma vie,
Brisé, les silences qui me tuent encore,
Je ne veux pas mourir sans liberté vécue,
Un destin qui m’appelle à vivre ma chance.

Edmond NICOLLE
Le 12.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2414

vendredi 10 mars 2017

Des mots qui chante des refrains aux amants d'un soir


Des mots qui chantent des refrains aux amants d’un soir

Chante des chansons entre les doigts,
Des poésies qui n’en finissent jamais,
La nuit est un secours vers un destin,
Je ne sais plus le temps qu’il fait dehors.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

Ils se tiennent enlacés,
Une victoire, une aventure,
L’amour enlace les amants d’un soir,
Le temps de connaitre un peu de bonheur.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

J’aimerais retrouver ce qui s’est effacé à l’amour,
Une tendresse, un amour, un sentiment,
Retrouver ce qui est déjà perdu en une histoire,
Tant de mots effacés avec le temps, les habitudes.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

Il pleut sur un cœur,
Le regard déjà loin,
Un rêve qui dure sans y croire,
Entre des bras, des mots, instants pour oublier.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

J’ai perdu l’amour avec le temps,
L’amour devenu des silences,
L’amour d’un irréel sans plus,
Une passion devenue sans réponse.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

Je ne cherche plus les mots,
J’ai déjà écrit mon histoire,
Le temps passe aux saisons,
Un couple enlacé oubliant la solitude.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

J’écris le temps, ce qu’il me reste,
Je regarde le ciel qui passe toujours,
Des silences se suggèrent à des pensées,
L’amour enlaçant les amants d’un soir.

J’entends des poésies sur des radios,
 Comme des amours qui passent inoubliables,
Des lignes de promesses d’un instant aux amours,
Juste ne pas se souvenir d’un passé sans histoire.

Edmond NICOLLE
Le 11.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2413

jeudi 9 mars 2017

Fille du vent


Fille du vent
Poème pour une amie

L’amour est passé un jour,
Un jour comme un vent de tempête,
Aujourd’hui, l’amour-là laissé seule,
Le cœur laissé dans les souvenirs.

Vivre aujourd’hui,
L’amour perdu à tant de souvenirs
Une femme ne reviendra plus,
Elle a aimé, l’amour s’en est allé un jour.

Il ne reste qu’une enfant,
Les traces d’un souvenir passé,
Ensemble sur un chemin de pierres,
Sur les monts et les plaines, une croyance.

Tant bien que mal, elle avance,
Retrouver une dignité de femme,
Un peu de réconfort,  dans des mots,
Sans façon vivre une intimité à une vie.

Comme le vent, elle est devenue,
Comme un animal devenu sauvage,
Son regard est ailleurs dans une foi,
Rien ne peut lui donner cet espoir d’un amour.

Doucement se glisse le temps,
Demain, un vent d’espoir encore,
Reconstruire une vie nouvelle,
Peu importe la façon d’y arriver à son but.

Edmond NICOLLE
Le 09.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2412

mercredi 8 mars 2017

Femmes, faites-moi tourné à l'hérésie de vos corps


Femmes, faites-moi tourné à l’hérésie de vos corps

Faire l’amour sur un microsillon,
Mon âme sentant encore votre parfum,
Collé sur ma peau les couleurs de l’amour,
Vos mots tournés vers une musique à ma nuit.

Des dentelles à votre corps,
En silence, votre froissement à mon corps,
Je vous aime, je me perds déjà,
Je n’y vois plus rien déjà.

Faites-moi partir loin,
M’étourdir mon âme à en perdre les sens,
Vos caresses à mon corps déjà nu,
Faites-moi dansé à ma nuit.

Embrassez-moi à vos ardeurs,
Vos lèvres assoiffées d’un amour,
Je veux goûter à vos fleurs, votre parfum,
Doucement m’emporter à vos creux de l’amour.

Nous irons franchir les interdits,
Des mots qui ont fait désordre à nos passés,
Franchir les frontières inassouvies de l’amour,
Femmes, faites-moi tourné à l’hérésie de vos corps.

Edmond NICOLLE
Le 08.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2411

samedi 4 mars 2017

Non la vie, je veux la vivre autrement



Non la vie, je veux la vivre autrement

Je suis ici comme un clandestin d’un ciel,
Un monde qui ne me ressemble pas,
Un ciel qui ricane d’une évolution,
Un monde qui n’a plus d’écoute.

Il m’a donné une chance,
Je veux la vivre autrement,
Une vie où je veux en jouir,
Ils m’ont déjà tué de leurs mots.

Je n’ai pas le temps d’attendre une fin,
Ma vie qui ne m’appartient pas,
J’ai envie de faire autrement,
Vivre cet instant intense.

J’ai tant entendu de mots,
Une vie qui ne me ressemble pas,
Ne fais pas ça, des mots qui me dérangent !
Des règles de vie qui m’ont déjà tué.

J’ai envie de vivre à ma vie,
Personne pour me dire ce que je dois faire,
Ma vie, je l’ai déjà faite autrement,
Un ciel pour me dire, vie.

Non la vie, je veux la vivre autrement.
Vivre de tout mon être,
Vivre à des désirs intenses,
Vivre ainsi à ma vie.

Edmond NICOLLE
Le 05.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2410

vendredi 3 mars 2017

Fais-moi l'amour toujours


Fais-moi l’amour toujours

Une douceur en moi,
Respirer le temps de l’amour,
Des notes sur du papier griffonné,
Oublier le temps qui passe.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Une femme à mon corps,
Fais-moi l’amour toujours,
Fais-moi respiré des parfums,
Ensemble sur un lit de rêve.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Je t’aimerais encore,
Je t’écrirai quand tu seras partie,
Le cœur sur des accords,
Une foule de mots pour toi.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Laisse-moi t’aimer,
Rêve l’inamissible,
Entendre ta voix,
Êtres seuls à cet instant.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Laisse-moi croire à cet instant,
Ma raison s’évaporera au réveil,
Doucement, l’amour s’échappera,
Une nuit avec toi seulement.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Je t’écris cet instant,
Le jour ne s’est pas dressé encore,
Une nuit dans mon corps, une femme,
Je rêve comme un fou seul.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Le jour se lève,
Je vais me recoucher,
Mes lettres dormiront encore,
Mes nuits, je penserais encore à vous.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Je suis ce poète,
Un saltimbanque de mots,
Un rêve de gêne en moi,
Des lettres sur du papier encré.

Je veux rêver encore,
Des mots qui chantent l’amour,
Une femme dans mes rêves,
Mes nuits à des consonances.

Edmond NICOLLE
Le 04.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2409