J’y ai laissé mon
corps un jour de pluie
Des larmes coulées, ce que j’ai perdu,
Mon corps disparu dans les ténèbres,
Une enfant qui a ses raisons de sa vie,
L’amour qui a tant souffert d’un jeu.
J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.
Reviendra encore le temps au dernier jour,
Loin des mots et du silence,
Une croix sur mon cœur,
Sans prière et sans regard.
J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.
Ils m’ont tué mille fois en mots,
Raison d’une fête à un diable,
Chasser comme un malpropre,
Mon cœur s’est décroché à une enfant.
J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.
Tourne les vents à mes maux,
Les années s’éloignent de moi, mes souvenirs,
Dans mon cœur s’est vidée une loyauté,
Le monde m’a séparé du cadeau de ma vie, une enfant.
J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.
Je mourais sans te revoir un jour,
Mon monté la tête définitivement,
Tuer l’amour que nous avions à vivre,
La loi du plus fort écrasant l’amour d’un père.
J’y ai laissé mon corps un jour de pluie,
Il plut sur mon âme des souvenirs,
Maltraitance d’une vie devenue une solitude,
Personne ne comprend cette déchirure.
Edmond NICOLLE
Le 25.03.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2420
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