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mardi 31 mai 2016

La vie est une contradiction infinie aux penseurs


La vie est une contradiction infinie aux penseurs

Chaque jour, s’impose une réflexion,
De lignes malmenées et invaincues,
Sortilège du poète en ses lignes,
Poète ne voyant pas la fin de l’histoire,
La vie est une contradiction révoltante,
 Infinie aux penseurs de lettres.

Des mots se croisent en rayures,
De philosophes de lignes créatrices,
Trouver la juste valeur des mots,
 Impossible d’installer un accord,
La vie est une contradiction révoltante,
Infinie aux penseurs de lettres.

Je ne sais pas expliquer les mots,
Ceux qui viennent bousculer mes jours,
Une plume devenue une oraison de mots,
Une âme se bousculant dans les écrits,
La vie est une contradiction révoltante,
Infinie aux penseurs de lettres.

Philosophie en déraison,
Dérision d’un ciel tournent sa face,
De maux indéfinis en prières sans réponses,
Un ciel qui réfute mes idées d’une mort,
La vie est une contradiction révoltante,
Infinie aux penseurs de lettres.

Mes mots ne sentent plus le parfum de ma jeunesse,
Il fait froid dans ce livre tant écrit,
Des mots devenus une durée au temps et d’âge,
Une vie en suspension de lettre à mon réveil,
La vie est une contradiction révoltante,
Infinie aux penseurs de lettres.

Je participe tant bien que mal à mon effigie,
Des lignes qui ressemblent à mon apparence,
Prient encore de me maintenir droit à mes lettres,
Mon corps en tenaille d’une muse en survie à-moi,
La vie est une contradiction révoltante,
Infinie aux penseurs de lettres.


Edmond NICOLLE
Le 01.06.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2217

lundi 30 mai 2016

J'ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant

J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant

Main dans la main pour une aventure,
De sentiments bien distincts d’une foi,
Une philosophie des poètes aventureux,
Sentiments égarés d’un monde sans loi,
La maîtrise d’une muse en nos âmes de lignes,
J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant.

Amour inconditionnel philosophique,
Une enfant sur le savoir-faire de mots contradictoires,
Deux âmes ce suivant en des parcours philanthropes,
Une envie de création et de liberté ensemble,
Une foi définie sur des chemins en oraisons,
J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant.

Une enfant qui et mienne à mon cœur,
Ressentiment distinct d’une âme,
L’un à l’autre sur des chemins de solitudes poétiques,
Le segment déjà établi pour une durée déterminée,
Une enfant sur le regard d’un public averti de sens,
J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant.

Un poète laissant sa vie sur des lignes en proses,
Une enfant laissant accroître ces différents en lignes de crayon,
Couleurs imaginées de créativités communes en formes écrites,
Laissant le temps aux sentiments des accords communs de poésies,
Une enfant à son père sur un chemin distinct de philosophie,
J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant.

Je laisse mes mots en paragraphe pour un temps inconditionnel,
L’amour d’une enfant, mienne à mon âme partisane de mots,
Proses servant de sens à une vie, à des afflictions du temps à venir,
Poésies marquant une définition  d’une loi indéchiffrable de mots en public,
Une enfant à son père disciplinant ses affections intimes de sang poétique,
J’ai laissé mon empreinte sur le cœur de mon enfant.

À ma fille Marie-Hélène


Edmond NICOLLE
Le 31.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2216

Des mots à fleur de peau

Des mots à fleur de peau

Je me noie souvent sans vous ou avec vous,
Mes lettres vous écrivent des sentiments à m’a chair,
Des poèmes qui s’envolent aux vents des solitudes,
Je passe et repars en vous laissant mes lignes à vos index,
De maux permanents du poète à des voyages incertains,
Je voyage avec des mots dans mes silences,
Des mots à fleur de peau.

Poète, je suis devenu à mon âme,
Une muse se servant de ma plume à vous dire les sens,
Mon corps et mon âme à vous joindre en silence,
Tant de secrets, que je voudrais un jour calmer,
 Je suis ce voyageur du temps et de cellules barricadées,
Je voyage avec des mots dans mes silences,
Des mots à fleur de peau.

Un jour, je serais près de vous à vous lire,
Mes poèmes comme des chansons à votre cœur,
Des poètes qui crient l’amour secret en lignes,
Mon corps à vous donner de mes lignes, un amour,
Déraison des poètes libres de mots, libre d’aimer,
Je voyage avec des mots dans mes silences,
Des mots à fleur de peau.

Je ne changerais plus maintenant par faveur,
Ma muse s’étant établie à tout mon être,
 De lettres devenue ma vie jusqu’à mon dernier souffle,
Effaçant chaque jour, en une fuite volontaire de liberté,
De sentiments poétiques à vos nuits crépusculaires en pages,
Je voyage avec des mots dans mes silences,
Des mots à fleur de peau.

Vous aimez n’est pas une simple raison,
Mes lettres ne ressemblent pas à vos habitudes,
J’ai dans le cœur un dilemme de sentiments profonds,
Vous aimez à vous céder de moi, un poète pas ordinaire,
Ma muse étant un garde-fou à mes lettres sentimentales,
Je voyage avec des mots dans mes silences,
Des mots à fleur de peau.


Edmond NICOLLE
Le 30.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2215

vendredi 27 mai 2016

Mon amour


Mon amour

Oh mon amour,
Je t’aime comme un fou,
On s’est disputé bien fois,
Mais l’amour et toujours là,
Il est entré à nos cœurs, l’amour,
Mon amour,
Combien je t’aime encore.

Tu es loin de moi encore,
Une confession interdite des amours,
Des amants qui ne sont jamais vus une fois,
J’entends au loin, ton amour qui m’appelle,
Nous allons devenir fous, si rien ne se fait,
Mon amour,
Combien je t’aime encore.

Je voudrais être plus près de toi,
Mais le temps n’est pas avec nous,
 Souffrir encore jusqu’à notre mort, notre supplice,
Combien de soleils se sont passés entre nos maux,
Mon amour, je t’aime dans mes silences,
Mon amour,
Combien je t’aime encore.

Il y a un amour beaucoup plus beau,
Celui des amants qui s’aiment toujours,
L’amour interdit dans le royaume  des cons,
L’amour naissant dans des folies aux amants,
Je t’aime ainsi mon amante,
Mon amour,
Combien je t’aime encore.

Vient, je t’attends avec nos amours,
Embrassé nos corps sur un lit aux amants,
Nous rendre fous à des désirs fous,
Bousculer les traditions lassantes des couples,
Sortir en nous un amour de tant de lassitudes,
Mon amour,
Combien je t’aime encore.

Je t’aime

Edmond NICOLLE
Le 27.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2214

mercredi 25 mai 2016

Je suis seul à cet amour


Je suis seul à cet amour

Qu’on me brise le cœur,
Je t’attends depuis toujours,
Mon corps souffre sans toi,
Toucher ton amour lentement,
Rien ne peut se presser aujourd’hui,
Doucement laisse-moi venir à toi,
Je suis seul à cet amour,
J’ai besoin de toi, besoin de nous.

Prends-moi doucement,
Tes mains si agiles à l'amour,
Doucement, je viendrais,
Nos lèvres seront nos accords,
Je t’apporterai mon amour,
Nos désirs à tant en peines,
Je suis seul à cet amour,
J’ai besoin de toi, besoin de nous.

Je déshabillerai ma chair,
Te donner mon cœur au tien,
Ensemble en silence,
Chercher l’amour au fond de nous,
Entendre ta petite voix sur mes lèvres,
Je viendrais te dire, vient encore,
Je suis seul à cet amour,
J’ai besoin de toi, besoin de nous.

Tant d’années imparfaites,
Un amour que je cherche encore,
 Sur des lignes, une amante qui attend,
Une amante qui prendra soin de nos amours,
Notre amour caché en des plaisirs discrets capitonnés,
Oublier le temps, ensemble à la nuit des amants,
Je suis seul à cet amour,
J’ai besoin de toi, besoin de nous.

Je t’attends,
Mon sang coule dans mes veines,
Un cœur qui appelle à une amante,
Ensemble, nous partirons nous cacher,
Dans un lit, nous libérerons nos soupirs,
Irons boire le calice de l’amour,
Je suis seul à cet amour,
J’ai besoin de toi, besoin de nous.


Edmond NICOLLE
Le 25.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2213

écoutez le vent chanter dans les coeurs des amants

Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants

Sonorité pour un cœur,
Un vent caressant des rêves,
Un amour caché dans des cœurs,
Loin du monde les amants se rencontrent,
Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants.

Quoi de plus beau que d’aimer à l’amour,
Un rêve entre des doigts réchauffant le temps,
Les amants déjà passés à l’amour de saisons,
Ensemble restant à prier encore à un peu d’espoir,
Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants.

Nos années ont été une ancre levée bien des fois,
Saisissent le vide en vertige des amours,
Un sursaut d’espérance de quelque temps,
L’amour devenant trop pesant sur les épaules,
Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants.

L’amour étant devenu une fuite à mon âme,
Mes atouts corporels en de combats persistants,
Ne me laissant pas choix qu’à des prières,
Cessant mes douleurs atrophiées de mon corps,
Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants.

Les amants du passé ont leurs histoires à eux,
Ne pouvant plus oublier leurs relations intimes,
Ensemble échanger un peu de leurs amours restant,
 Dans la mémoire, le silence d’un constant appel,
Écoutez le vent chanter dans les cœurs des amants.

Edmond NICOLLE
Le 25.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2212

mardi 24 mai 2016

Solitude, désirs à mon corps...


Solitude, désirs à mon corps …

Le temps se presse,
Envie d’aimer,
Sur mon cœur des mots,
Corps en diapason de désirs,
Je t’aime sans le dire,
Impossible de sortir des mots,
Solitude, désirs à mon corps assoiffé de tendresses.

Je ne c’est plus où je suis,
Mon corps se perd dans un infini temps,
D’images qui me troublent sur la durée,
Je voudrais débattre de mes mots pour une liberté,
 Découdre l’ordre établi des règles des unions,
Une vie qui me semble sans logique sans plus amour,
Solitude, désirs à mon corps assoiffé de tendresses.

Attraction de sentiments à mon corps,
Corps que je réfute à mes nuits à des amours,
Sentiments qui se perdent dans des lignes abstraites,
Condamnation du corps et de mon âme s’effritent,
J’écris pour me libérer de cette soif d’attentes,
Un amour qui me prend le temps à mon corps,
Solitude, désirs à mon corps assoiffé de tendresses.

Désirs particuliers de l’amour,
Un amour pas comme les autres,
Un cœur remplis de sentiments,
Douceurs sans blessés l’âme,
Entendre des yeux à me dire,
Je t’aime dans le silence d’un amour,
Solitude, désirs à mon corps assoiffé de tendresses.


Edmond NICOLLE
Le 24.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2211

lundi 23 mai 2016

Amour en voyage


Amour en voyage

Comme un oiseau dans un ciel,
Des ailes remplies d’espoir,
Une poésie à des voyages,
Une aventure seul ou à deux,
Un voyage avec des mots.

Amour en voyage,
Un destin entre des mains,
Les poètes aux aventures indéterminables,
Les saisons pour écrire des amours particuliers,
Fuir le temps aux abolitions humaines.

Je veux marcher avec vos lettres,
Vers vous, mon amour sur votre cœur,
Une déraison devenues mes folies,
Dans nos allées d’un bonheur secret,
Je tiendrais votre amour en fidélité.

J’ai déjà oublié le temps qui passe,
Mes désirs, volés vers des poésies de vous,
Mon cœur tant besoin de vos mots,
Chanter nos lettres pour des voyages,
Je ne reviendrais plus à un mouiller de vieilles encres.

Je veux partir sur d’autres rivages lointains,
Un voyage avec ma plus belle plume,
Un voyage pour l’éternité des mots,
Un voyage a deux en proses,
Une poésie de l’amour en deux cœurs.

Edmond NICOLLE
Le 23.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2210

dimanche 22 mai 2016

Le silence des joueurs sans mots


Le silence des joueurs sans mots

Ce cache des lignes,
Un brin de soupçons,
Un téléphone ne parlant plus,
Jeux discrets des non intègres,
Une vue de tentations sur une page,
Le silence des joueurs sans mots.

Visages cachés,
Rébellion des silences,
J’ai dit mots qui blessent,
Instances divergences,
Une colère intérieure en attente,
Le silence des joueurs sans mots.

Un (e) ami (e) distant,
Phrases de trop dites,
Dépassant le serein dérangeant,
Motif réaliste du temps et d’âge,
La parole devenant bouillante,
Le silence des joueurs sans mots.

Ma parole devenant gênante,
Politique des abus de consciences,
Le monde s’échappant à des logiques,
Soumission du pouvoir extravagant,
Jeux de Dame aux pions noirs désignant,
Le silence des joueurs sans mots.

Nouvelles générations,
Les anciens aux rebuts de mots,
Insupportables gestions de groupes
Le temps n’est plus aux calmes,
Politique individuelle d’une guerre,
Le silence des joueurs sans mots.

J’ai trop dit.


Edmond NICOLLE
Le 22.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2209

mercredi 18 mai 2016

Fille du vent passâtes non loin de moi


Fille du vent passâtes non loin de moi

(Poème dédié pour une personne en particulier)

Une brise légère,
Caressant une douceur,
À mes pieds, une invisible beauté,
Soufflant sur des mats une chanson,
Berçâmes ses horizons au grès de vents,
Fille du vent passâtes non loin de moi, son attention.

J’embrassai le temps d’un instant,
Marchant au hasard de cette rencontre,
Une fille déjà bien avertie des hommes,
Se glissa entre vent et marée à mon visage,
 Un passage s’entend déjà un éloignement fugace,
Fille du vent passâtes non loin de moi, son attention.

Le temps m’avertissant de cette souveraine,
Un vent brisa mon silence de temps d’années,
Ça brise me haussa en vertige à cette femme,
Me perdent la face à ses rires touchants d’un instant,
Ensemble respirer un air de bons trains à des vents attentionnés,
Fille du vent passâtes non loin de moi, son attention.

Nos chemins se croissent ainsi pour flâner un temps,
Notre destin concluant à une envie de poursuivre nos pas,
Chacun à une fuite du temps et aux marées de nos histoires,
Ce reposant un instant chacun pour revenir plus assidus en thèmes,
Un passage qui déjà, ainsi manquant de sa présence à mes jours, seuls,
Fille du vent passâtes non loin de moi, son attention.

Edmond NICOLLE
Le 19.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2208

Il pleut sur les saisons du temps


(Poème dédié pour une personne en particulier)
Il pleut sur les saisons du temps

Une femme,
Une marche aux travers du temps,
Cœur en exode à une vie,
Refuge à la nuit à des repos,
Il pleut sur les saisons du temps.

Une femme qui cherche des raisons,
Une marche silencieuse à un père,
Des prières qui montent chaque nuit,
Une enfant devenue une femme,
Il pleut sur les saisons du temps.

Je la regarde pensivement,
Des larmes me coulent,
Je laisse le temps en nous,
Elle sait déjà l’histoire,
Une femme en connaît déjà une vie,
Il pleut sur les saisons du temps.

Elle crie chaque jour en silence,
Un pas de plus à gagner au temps,
Un cœur, une foi, en raison,
L’amour pour divinité au ciel,
Entre ses mains, une enfant,
Il pleut sur les saisons du temps.

Une enfant, une femme devenue,
Une femme aguerrie d’une histoire,
De pas chaque jour plus fort,
Une armure protégeant ses pensées,
Son visage aux milieux de son destin,
Il pleut sur les saisons du temps.


Edmond NICOLLE
Le 18.05.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2207