Fille du vent passâtes non loin de
moi
(Poème dédié pour une personne en
particulier)
Une brise légère,
Caressant
une douceur,
À mes pieds,
une invisible beauté,
Soufflant sur
des mats une chanson,
Berçâmes ses
horizons au grès de vents,
Fille du
vent passâtes non loin de moi, son attention.
J’embrassai
le temps d’un instant,
Marchant au hasard
de cette rencontre,
Une fille
déjà bien avertie des hommes,
Se glissa
entre vent et marée à mon visage,
Un passage s’entend déjà un éloignement fugace,
Fille du
vent passâtes non loin de moi, son attention.
Le temps m’avertissant
de cette souveraine,
Un vent brisa
mon silence de temps d’années,
Ça brise me haussa
en vertige à cette femme,
Me perdent
la face à ses rires touchants d’un instant,
Ensemble
respirer un air de bons trains à des vents attentionnés,
Fille du
vent passâtes non loin de moi, son attention.
Nos chemins
se croissent ainsi pour flâner un temps,
Notre destin
concluant à une envie de poursuivre nos pas,
Chacun à une
fuite du temps et aux marées de nos histoires,
Ce reposant
un instant chacun pour revenir plus assidus en thèmes,
Un passage
qui déjà, ainsi manquant de sa présence à mes jours, seuls,
Fille du
vent passâtes non loin de moi, son attention.
Edmond
NICOLLE
Le 19.05.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2208
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