Mon amour
Oh mon
amour,
Je t’aime
comme un fou,
On s’est
disputé bien fois,
Mais l’amour
et toujours là,
Il est entré
à nos cœurs, l’amour,
Mon amour,
Combien je t’aime
encore.
Tu es loin de
moi encore,
Une confession
interdite des amours,
Des amants
qui ne sont jamais vus une fois,
J’entends au
loin, ton amour qui m’appelle,
Nous allons
devenir fous, si rien ne se fait,
Mon amour,
Combien je t’aime
encore.
Je voudrais être
plus près de toi,
Mais le
temps n’est pas avec nous,
Souffrir encore jusqu’à notre mort, notre supplice,
Combien de
soleils se sont passés entre nos maux,
Mon amour,
je t’aime dans mes silences,
Mon amour,
Combien je t’aime
encore.
Il y a un
amour beaucoup plus beau,
Celui des
amants qui s’aiment toujours,
L’amour
interdit dans le royaume des cons,
L’amour
naissant dans des folies aux amants,
Je t’aime
ainsi mon amante,
Mon amour,
Combien je t’aime
encore.
Vient, je t’attends
avec nos amours,
Embrassé nos
corps sur un lit aux amants,
Nous rendre
fous à des désirs fous,
Bousculer les
traditions lassantes des couples,
Sortir en
nous un amour de tant de lassitudes,
Mon amour,
Combien je t’aime
encore.
Je t’aime
Edmond
NICOLLE
Le 27.05.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2214
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