Messages les plus consultés

dimanche 28 décembre 2014

Mes vœux 2015


Une année passe et une nouvelle s’ouvre
avec son lot de rêves et d’étoiles prometteuses,
 Chacun fera son petit bonheur de foi et d’espoirs,
en prient en silence que tout sera pour le mieux,
ou les mésaventures ne reviendront plus nous accabler de sort,
de tristesses et de malheurs,
Qu’un pardon sera toujours notre devise à notre terre des hommes !
Le mot qui sera pour  moi et celui de la paix entre tous les hommes,
Et aussi la stabilisé et le maintien dans la santé pour tous,
Et enfin avoir toujours avec son cœur aimer mieux encore chacun de nous,
Que cette année 2015 soit bonne a chacun de nous et de nos familles !
Meilleurs vœux 2015 à tous.
Edmond Nicolle

vendredi 26 décembre 2014

Quoi de plus beau que la vie



Quoi de plus beau que la vie !

(Mes mots sont pour les laisser pour compte à la vie,
Les handicaps de la vie.)

J’aime ce qui n’est pas normal,
Dans le sang une injustice,
Mon regard chaque jour vers toi,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et plus pure.
L’amour sans différent.

Pourquoi ne pas dire, je t’aime,
Simplement à la vie toi et moi,
Chanter les déraisons des hommes,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et de plus pure,
L’amour sans différent.

Un monde qui cris en silence,
Rejeté d’une société,
Loin d’un monde en folies,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et de plus pure,
L’amour sans différent.

Je passe dans ma rue,
Aucun regard, ils me prennent fou,
J’ai besoin de dire mon amour,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et de plus pure,
L’amour sans différent.

Des yeux vers un ciel,
Dans le cœur des prières,
Un monde déjà loin de vous,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et de plus pure,
L’amour sans différent.

Je suis fou,
Fou de votre âme,
Loin d’un monde (normal),
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et de plus pure,
L’amour sans différent.

Vos mots sont déjà ma vie,
Le temps d’un chemin ensemble,
Aimer la vie sans rien d’autre,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et plus pure,
L’amour sans différent.

Je t’aime,
L’amour simplement,
Mon amour aux laissés pour compte,
Quoi de plus beau que la vie,
Aimer ce qui et plus pure,
L’amour sans différent.

NICOLLE Edmond le 27.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)























mercredi 24 décembre 2014

Pourquoi tu m'as choisi!



Pourquoi tu m’as choisi !

Une terre qui tourne,
Des hommes comme des bêtes,
Je n’ai appris qu’un langage de diable,
Usé mon corps à en débattre au temps,
Pourquoi tu m’as choisi !

Des animaux qui ragent,
Hommes qui n’en finissent pas de tuer,
Des cris en silence pour pardonner à un Dieu,
Je prie avec mes faibles forces,
Pourquoi tu m’as choisi !

L’amour qui me porte en tenaille,
Mon corps qui n’en finissent pas,
Aimer à l’amour toujours,
Je voudrais finir ce qui n’est pas fini,
Pourquoi tu m’as choisi !

De saisons qui passent,
Une vie qui défile,
Le temps d’ouvrir les yeux,
Sans costume sans façon,
Pourquoi tu m’as choisi !

Je ne compte plus mes douleurs,
Mon destin et le ciel,
A pas lent pour un dôme,
Portent en silence ma vie pour l’au-delà,
Pourquoi tu m’as choisi !

J’entends des cris,
Des résonnantes débordantes dans ma tête,
J’ai oublié les tonalités exactes des sons,
Une histoire qui finira dans mon silence,
Pourquoi tu m’as choisi !

NICOLLE Edmond le 24.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)












 



















vendredi 12 décembre 2014

Que me reste-t-il de mon passé!



Que me reste-t-il de mon passé !

Il pleut sur le paver de mon âme,
Un brillant éblouissant mon regard,
Des gouttes de pluies s’affalant comme un destin,
Tombe la nuit sur mes lignes,
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.

Le temps n’est plus comme avant,
 Une folie qui me reste encore sur des musiques,
Un microsillon dans l’air des saisons,
Rappelez-vous ce temps, le temps des microsillons,
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.

J'emmenais une musique dans ma poche,
Un cortège de sons dans un train démoniaque,
Tortillant aux vallées de banlieusard,
Un train pour un paradis de rêveurs,
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.

Et moi qui reste là,
Je ne reconnais plus les murs de mon quartier,
Ils ont fait de mon passé des murs en bétons,
J’entends encore une musique en silence dans ma tête,
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.

Ils attendent ma mort,
Ma signature sur une tombe,
Me resteras-il peut-être une rose pour des souvenirs ?
Entendrai-je encore cette musique en dessous ?
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.

Il pleut dehors, tombe des gouttes sur mon visage, 
J’entends en silence des musiques dans ma tête,
A de microsillons déjà usés qui tourne dans ma tête,
Une histoire qui se finira sur un bout de papier,
Que me reste-t-il de mon passé !
De gens comme moi qui rêve sur des microsillons.


NICOLLE Edmond le 12.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE

samedi 6 décembre 2014

Dans le silence



Dans le silence

Un oiseau qui chante,
Lui faire taire le chant des oiseaux,
Des bruits de canons à mes oreilles,
La poussière envahissant des cadavres,
Dans le silence.       

Ils sont tués l’innocent,
Brisé les cœurs sans mots,
Des prières qui se sont éteints,
Un ciel remplis de sang,
Dans le silence.

Un oiseau, un enfant,
Le chant de la honte,
Liberté en cage,
Le silence dans des murs,
Dans le silence.

Je cris en silence,
Par-dessus les murs,
Les mots pour un enfant,
Un enfant se meurt en silence,
Dans le silence.

Des cris, des prières,
Je vous donne ma poésie de la mort,
Bouclier des sons à vos marques soldats,
Vous avez tué le silence,
Dans le silence.

Un enfant qui ne sera plus un homme,
Le cri des bombes effaçant le chant de l’oiseau,
Le timbre d’une sirène éteinte,
Les rues devenues la mort,
Dans le silence.

J’écrie ses mots,
Ses mots pour vous,
Loin du son des oiseaux,
Mes lignes pour un ciel en silence,
Dans le silence.
NICOLLE Edmond le 07.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)

jeudi 4 décembre 2014

Je suis comme les feuilles d'un automne trépassant au temps



Je suis comme les feuilles d’un automne trépassant au temps

Doucement ce trépasse le temps,
Les feuilles tombent sur le sol,
En silence sur un cercueil de la mort,
Danse dans le ciel leurs vertus d’un dernier automne,
Je suis comme les feuilles d’un automne trépassant au temps,
Finissent ma vie comme des feuilles dansent avant ma mort.

Mon histoire est déjà oubliée sur vos danses,
Mes yeux vers un ciel décoloré de mes fantasmes,
Chantant pour me consoler avant l’hiver passant,
Danse dans le ciel leurs vertus d’un dernier automne,
Je suis comme les feuilles d’un automne trépassant au temps,
Finissent ma vie comme des feuilles dansent avant ma mort.


Dansez feuilles de saisons dans ma tête,
Faites colorer vos couleurs dans mes yeux,
Un jour nous nous rencontrerons pour une dernière danse,
Danse dans le ciel leurs vertus d’un dernier automne,
Je suis comme les feuilles d’un automne trépassant au temps,
Finissent ma vie comme des feuilles dansent avant ma mort.

Dansez feuilles,
Un vent d’automne vous emmenant dans le lointain
Finir votre danse dans le silence du temps,
Danse dans le ciel leurs vertus d’un dernier automne,
Je suis comme les feuilles d’un automne trépassant au temps,
Finissent ma vie comme des feuilles dansent avant ma mort.


NICOLLE Edmond le 05.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)

Le temps passe est s'envolent les baisés



Le temps passe est s’envolent les baisés

Tombe la neige sur les cœurs,
Le vent a chassé mes mots,
L’amour disparu comme la mort,
Les lettres tachées de larmes à la nuit,
Le temps passe est s’envolent les baisés.

Je me couche dans ma solitude,
J’ai oublié comment s’aimer,
Mes lèvres seules sur des mots,
Je t’aime sur une buée d’un miroir,
Le temps passe est s’envolent les baisés.

Je voudrais aimer encore à l’amour,
Aux amants qui s’aiment à des jours en folies,
Embrassé les mouvements du temps sur un cœur,
Jouir ensemble sans regarder les âges du temps,
Le temps passe est s’envolent les baissés.

Refaire le temps, refaire l’amour,
Celui ( e) qui nous à laisser un jour de fatigue,
Comme des amants qui ont perdu le temps d’aimer,
Le cœur à la recherche de tendresses perdues,
Le temps passe est s’envolent les baissés.

Je ne pourrais pas attendre longtemps à l’amour,
Dans mon corps, luit cette forme d’aimer,
Embrassé le temps, embrassé à l’amour,
Le corps en abolition d’aimer à cet amour,
Le temps passe est s’envolent les baissés.


NICOLLE Edmond le 04.12.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)





 

























vendredi 28 novembre 2014

Comme tout le monde!



Comme tout le monde !

Dans ma rue passe des passants,
Des rues des villes,
Une vie à ritournelles,
Comme tout le monde !
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

Mon évasion sur des brise-lames,
Comme des passants de l’histoire,
Une brise me poussant à l’infinies,
Comme tout le monde !
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

Je voudrais connaître la mer,
Celle qui fait des rêves sur des cœurs,
Celle qui a tant séché les larmes,
Comme tout le monde !
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

Effacé tout et recommencé,
Comme un enfant qui tend ses bras à des lendemains,
Refaire les mots sur un cœur,
Comme tout le monde !
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

Je fuis mon histoire sur cette jetée,
Mon histoire sur des remous océaniques
Que les vagues voudront bien jeter mes pensées sous l’eau,
Comme tout le monde,
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

Des passants dans ma rue,
Des histoires sur un bitume de la nuit,
Une brise soufflant sur les cœurs,
Comme tout le monde,
Je m’en vais à mon histoire sur un môle oublié.

NICOLLE Edmond le 29.11.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)

lundi 10 novembre 2014

Le ciel sera ma maison éternelle



Le ciel sera ma maison éternelle

Je retrouverais l’amour suprême,
Une foule de gens heureux,
Je serai mort depuis longtemps,
Je n’existe déjà plus ici avec vous,
Dans la pénombre d’une nuit, je partirais,
Le ciel sera ma maison éternelle.

Vous m’avez jeté en pâture du monde,
Un objet que l’on joue avant des pleure,
Sortie d’un ventre de haines sans nom,
Je n’ai pas d’âge, je suis ce clandestin,
Dans la pénombre d’une nuit, je partirais,
Le ciel sera ma maison éternelle.

Je ne suis pas l’ami de vous,
Qu’un rêve qui me passe par la tête,
Vous aimez sans savoir qui vous êtes !
Mon ennemi est celui qui m’a montré cet ami,
Dans la pénombre d’une nuit, je partirais,
Le ciel sera ma maison éternelle.

Je suis le clown d’une vie,
Derrière mon empreinte, une infidélité,
 Le corps ouvert d’abus d’un diable,
Tellement de cris étouffer dans la nuit,
Dans la pénombre d’une nuit, je partirais,
Le ciel sera ma maison éternelle.

J’attends ce jour depuis toujours,
Une main sera celui des anges,
Un ciel pour l’éternité, autant de pardons
de prières tant élevées au ciel à mes pleurent,
Dans la pénombre d’une nuit, je partirais,
Le ciel sera ma maison éternelle.


NICOLLE Edmond le 10.11.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)

























samedi 8 novembre 2014

Des mots pour moi pour toi



Слова для меня для вас

Время и слова имеют больше эффективности,
Моя спина сломал веру
Религиозные обманы
Они нарушили столы,
Слова для меня для вас,
Тайная земля без веры.

Они пьют за столом скинии
Я плакал много раз в моей слабости
Щебень этническими словами
Спасаясь мир тело выглядит,
Слова для меня для вас,
Секрет земли в вере.

Мир без веры и любви,
Я молился небо в моей душе,
Так трудно путь камней получил
такune повреждены вера возлюбил мир
   Слова для меня для вас,
Тайная земля без веры.

Я не верю в человеческой любви,
Они просто дали свою травму
Рубцы от дьявола в моем теле,
  Мужчины и женщины без ссылки на вере,
Слова для меня для вас,
Тайная земля без веры.

У меня есть только вера в моем багаже
Мое тело было разделся по времени
Простите мою дерзость,
Я не получил желаемого номера,
Слова для меня для вас,
Тайная земля без веры.


Николь Эдмонд 09/11/2014
Создатель поэзии с 1973 года
  http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond Николь)

Des mots pour moi pour toi

Le temps et les mots n’ont plus efficacités,
Mes reins brisés d’une foi,
Tromperies religieuses,
Ils sont violés les tables,
Des mots pour moi pour toi,
Le clandestin d’une terre sans foi.

Ils boivent à la table du tabernacle,
J’ai pleuré bien des fois à ma faiblesse,
Ecrasé par des mots ethniques,
Fuyant le monde des regards corporels,
Des mots pour moi pour toi,
Le clandestin d’une terre dans foi.

Monde sans foi et sans amour,
J’ai prié le ciel à mon âme,
Le chemin tellement dure de cailloux reçus,
une foi tellement abîmée d’avoir aimé le monde,
  Des mots pour moi pour toi,
Le clandestin d’une terre sans foi.

Je ne crois pas à l’amour humain,
Ils ne mon rien donné que des blessures,
Des cicatrices du diable en mon corps,
 Des hommes et des femmes sans référence d’une foi,
Des mots pour moi pour toi,
Le clandestin d’une terre sans foi.

Je n’ai qu’une foi à mon bagage,
Mon corps déshabillé par le temps,
Pardonnez mon impertinence,
Je n’ai pas reçu l’accommodement désiré,
Des mots pour moi pour toi,
Le clandestin d’une terre sans foi.


NICOLLE Edmond le 09.11.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)

lundi 3 novembre 2014

Ce ciel me guettant sournoisement



Ce ciel me guettant sournoisement

Je cris ma liberté,
Un vent me souffle sur ma route,
Je marche les yeux mi-clos,
De vagues me claquant sur mon visage,
Ce ciel me guettant sournoisement,
Non le temps ne me brisera pas sur ce chemin.

Je me ferai violence contre ce vent,
Mes pas me porteront face à cette marrée,
Je marche seul sur ces galets  usés du temps,
Je ne veux pas me perdre dans les souvenirs,
Ce ciel me guettant sournoisement,
Non le temps ne me brisera pas sur ce chemin.

Une brise océanique m’asperge sur mon visage,
Echouage de mon corps à ces lames croissantes,
Mes pensées naviguent comme ces écumes faces à moi,
Au loin un son d’une corne de brume étouffer par un océan bruissant,
Ce ciel me guettant sournoisement,
Non le temps ne me brisera pas sur ce chemin.

Je suis seul sur ce chemin sableux,
Les traces de pas effacés de souvenirs de passants,
Je reste seul tremper des salins des rives lointaines,
Un ouragan grandissant sur cette plage désaffecter de souffles,
Ce ciel me guettant sournoisement,
Non le temps ne me brisera pas sur ce chemin.

NICOLLE Edmond le 04.11.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)


























lundi 27 octobre 2014

Le temps sur des ondes poétiques


Le temps sur des ondes poétiques

Le temps sur le chemin de demain,
Une musique se levant à mes sommeils,
Comme des échos dans la nuit,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Elle et moi remplissant le temps,
Je suis amoureux d’elle,
Une station sur une plage,
Je prends des photos souvenirs,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Ton regard sur ma peau,
Je frisonne sur une plume,
Doucement ton cœur sur le mien,
 Je suis amoureux infidèle,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Je voudrais être loin de toi et si près encore,
Tes caresses à ma nuit à une encre,
Je cherche ton visage chaque nuit,
Comment lire tes traits à mes lignes ?
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Une femme à mon lit,
En silence sur une nostalgie,
Une nuit avec toi, un rêve fou,
Entre mes lignes l’amour,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Vient oublions le monde,
Mes lignes seront l’amour,
Dans mon corps une femme,
Une femme (muse) entre les lignes,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

Je regarde ma montre,
Le temps ne compte plus ici,
Des feuilles qui tombent chaque nuit,
Je regarde la mer, ton visage sur mes lignes,
Le temps sur des ondes poétiques
Effacent le temps sur une plume.

NICOLLE Edmond le 28.10.2014
Créateur de poésies depuis 1973
 http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.fr/
Wordpress poemesauxtraversdutemps
GOOGLE + (Edmond NICOLLE)