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lundi 31 octobre 2016

Ou êtes-vous saisons de mon enfance


Où êtes-vous saisons de mon enfance 

Tant de choses que je voudrais bien revoir,
Une maison, une prairie à ma jeunesse,
Des rivières qui chantaient sans me rendre compte,
Aujourd’hui, un silence disparaissant sur des monts,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Le monde a bien changé,
Chacun pour soi et Dieu pour tous,
Une fleur poussant difficilement dans une terre devenue aride,
Je n’entends plus le chant des saisons pour un amour,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Il me reste que du papier pour écrire mes souvenirs,
Vous pensez que je rêve, ma vie sur de l’encre !
Je suis d’accord à vos pensées imaginaires en moi,
Le temps à passer avec des saisons déjà mortes,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Je n’entends plus le chant de dame nature,
Un vent soufflant pour mes souvenirs,
Des feuilles déjà mortes avant saisons, tombant en silences,
Mon corps ce trainant sur un temps ne ressemblant plus à hier,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Me reste-t-il encore un choix tolérable à vos silences ?
Mon regard cherchant un doux moment de saison,
Mes pas sur des chemins devenus d’étranges façons en lien cahoteux,
Mon souffle devenu pénible à des vents déjà surchargés d’un monde de demain,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Je suis seul sur mon clavier, ma vie trépassant chaque jour à une encre,
Seul sur une musique qui n’est plus réelle  à mon histoire,
Mes jours devenus qu’un poète qui passe sans mots à vous dire,
Silencieux par des tempêtes de tant d’âges passé à écrire des textes,
Où êtes-vous saisons de mon enfance ?

Edmond NICOLLE
Le 01.11.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2325

dimanche 30 octobre 2016

Mots pour un amour aux amants


Mots pour un amour aux amants

Je vous cherche avec mon âme,
Mes doigts cherchant votre visage,
Une douceur pour des amours solitaires,
Entre vos lèvres, l’instant à nos souffles,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Je t’aimerais sans plus de dialogue,
Le temps passé pour des mots chimériques,
Les automnes ont disparu en feuilles de saisons,
L’amour seul, face au temps à des accords,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Je viendrai à nos convenances,
Caresser l’amour de nos peines,
Prissent nos accords dans nos silences,
L’amour sait déjà nos affinités en mots,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Nous irons nous cacher loin du monde,
Tant de préjugés déjà fait aux amants,
Blessent davantage l’amour devenu fragile,
Entre nos bras, nous oublions les mots,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Je t’aimerais comme une première fois,
Doucement, nous irons nous porter à un Dieu,
Une nuit, un jour pour oublier le temps passant,
L’amour entrant à nos cœurs ouverts en perceptions,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Je t’aimerais ainsi loin du monde,
Adoucir nos cœurs en mots soignés,
Nous irons nous aimer à l’amour infini de mots,
Le temps passant aux rimes de nos cœurs,
Mots pour un amour d’un jour, une nuit,
Une éternité pour un amour aux amants.

Edmond NICOLLE
Le 31.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2324

samedi 29 octobre 2016

J'ai besoin de toi (bon weekend à tous)


J’ai tant besoin de toi
À l’amour

Mon sang qui coule comme des rivières,
Un parfum à mon corps qui fuit à un amour,
Je dessine l’amour à mes lettres en prières,
Oh, femme qui passe un jour et s’en va encore,
J’ai tant besoin de toi,
À l’amour.

Rien ne ressemble à un autre amour en nous,
Âmes se synchronisent à un amour inspiré de lettres,
De temps qui nous joignent à nos ères passantes,
Se chérissent au travers le temps, mes mots vers toi,
J’ai tant besoin de toi,
À l’amour.

L’amour m’appelle vers toi mon amie,
Mes lettres qui tremblent sur des lignes sans toi,
J’ai tant besoin de toi à des oraisons,
Mon amour se sentant seul sans toi,
J’ai tant besoin de toi,
À l’amour.

Je t’aime mon amie, mon amante,
À mes jours, à mes nuits, je pense à toi,
À l’amour qui se déchire en moi,
À l’amour qui se nomme,
J’ai tant besoin de toi,
À l’amour.

Vient à l’amour,
J’ai tant à aimer,
Mon cœur à toi,
Mon amie, mon amante,
J’ai tant besoin de toi,
À l’amour.

Edmond NICOLLE
Le 30.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2323

Des amants d'une histoire


Des amants d’une histoire

Je t’aimerais en cachette de mes lettres,
Mon amour entre des lignes, ma farandole,
Je danserais de mes doigts à mon clavier,
Doucement, je viendrais vers toi, vers l’amour,
Chorégraphie pour un destin de l’amour,
Des amants d’une histoire.

Je danserais mon ivresse des mots pour toi,
Je t’aime derrière des mots venant d’un Dieu,
Mon cœur qui bat à cent à l’heure, à l’amour,
Mon cœur qui fuit mes nuits sans personne,
Chorégraphie pour un destin de l’amour,
Des amants d’une histoire.

Chacun son destin, comme je l’ai tant entendu,
Moi, je suis le temps, le temps qui passe sans vos lettres,
L’amour, quelque part en attente de vous lire,
Un amour qui deviendra les amants du temps,
Chorégraphie pour un destin de l’amour,
Des amants d’une histoire.

Tu me connais bien assez pour me dire tes mots,
Dans les secrets de nos cœurs, un amour qui nous attend,
 L’amour qui attend chaque jour un mot, une lettre,
Un attachement sur des lettres en une passion d’honorer,
Chorégraphie pour un destin de l’amour,
Des amants d’une histoire.


Edmond NICOLLE
Le 29.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2322

jeudi 27 octobre 2016

Tendresses mon amour sur un coeur

Tendresses mon amour sur un cœur

Tu ne sais pas comment je t’aime,
Une musique pour oublier le temps,
Mes doigts en frisons sur un air de musique,
Je t’aime tant sur mes lignes de mes doigts,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Mon cœur qui a tant regardé ton regard,
Regard vif d’une fuite indéterminable,
Ton cœur loin en sentiments d’un amour,
Fuite toujours sur le mot dit,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Tu m’as désorienté à tes mots,
Une autre personne au-dedans de toi, ce fait,
Fuir à un autre amour plus viril,
Ton cœur en prison à ce monde,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Un ange à remplacer mes mots,
Il est écrit dans le ciel ton destin,
Un amour sur des ondes internes,
Ton regard sur une croix, une sollicitation,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Une fuite loin des hommes, t’a fortune,
Caché, ta douleur en sourire abrégé,
Ton regard loin de moi, un amour déjà blessé,
Retiré, ton visage des hommes, le sentiment,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Tendresse sur une musique,
J’élance le temps à mes écrits,
Des amours qui passent sans plus de mots,
Mon cœur sur des lignes de sépias,
Tendresse mon amour sur un cœur.

Edmond NICOLLE
Le 28.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2321

mardi 25 octobre 2016

âme sur des voyages du temps

Âme sur des voyages au temps

Mon cœur sur des voyages,
 Sur des horizons d’un langage abyssal,
Des notes intellectuellement appariées,
Un voyage au-delà d’une terre.

Je ne changerais pas mon âme ici,
Une route incertaine à mes nuits,
Un voyage pour revenir à une histoire,
J’ai temps vu d’histoire que je ne reviens plus.

Je partirai encore vers d’autres horizons,
Vous laissez sans une ombre de moi,
Mon chemin ne ressemblant pas à votre vie,
Je monterais sur des cimes impétueuses de la vie.

Mon corps et mon âme sur un enfer où un ciel,
Une maladresse d’une histoire que l’on m’a donnée,
Une vie de tout débonnaire qui ressemble en rien pour moi,
J’ai tant laissé de trace, que je fuis encore.

Je suis encore cet enfant et je resterais ainsi,
Personne ne peut comprendre mes défauts reçus des hommes,
Je fuirai un jour comme tant d’autres à vos mots et vos pensées,
Je suis un insoumis d’une vie tant prodigué de violations envers moi.

Âme sur des voyages,
Je voyage sans mots, loin de vous,
Mon regard vers un voyage, m’a prédilection,
Vous n’y pouvez rien, je suis devenu des lignes à mon histoire.


Edmond NICOLLE
Le 26.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2320

dimanche 23 octobre 2016

Ou es-tu ma confidente, mon amie

Où es-tu ma confidente, mon amie

Je te cherche encore, tu n’es pas là,
De lettres en confidence intimes,
Parler de tout, de confidences,
D’un geste, une main à mes jours.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

J’ai besoin de tes mots aux miens,
Sentir le parfum d’une rose,
Une plume ensemble pour des instants,
Des mots entre nos lèvres.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

Je veux croire encore à ce rêve d’un instant,
Mon cœur à des réveils constants d’un amour,
Une amie, une amante pour un cœur en désir,
Remplir nos cœurs à des mots secrets du temps.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

Je me languis de vous voir un jour pas comme un autre,
Serrer nos mots tendrement à nos cœurs,
Partir loin sur des lignes de l’amour,
Mes mains tendrement au vôtre un instant.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

Il me semble que le temps et déjà passé pour y croire,
Des invitations manquées aux temps des feuilles,
Des feuilles tombent sur mon visage abandonné,
Croire, où ne pas croire à un destin furtif.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

Où es-tu mon amie, ma confidente,
Je te cherche depuis un temps,
Je n’y vois que des lettres s’arrêtant à mes lignes,
Sans plus devanture que cela à une confidence.

Je t’aimerais comme un ami, comme un amant,
Le chemin des mots chantent l’amour,
Où es-tu ma confidente, mon amie,
Des mots pour un aveu à mes jours avec vous.

Edmond NICOLLE
Le 24.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2319

l'amour n'est plus de saison pour s'aimer

L’amour n’est plus de saison pour s’aimer

Mon cœur n’est plus à ce jour,
Les saisons qui passent à l’amour,
 Incessantes  prières au temps,
Mon cœur est en volage du temps,
T’aimer devient plus pressant à mon cœur,
L’amour n’est plus de saison pour nous cacher.

Je chante l’amour si pressant pour mon cœur,
Un amour qui un jour je t’ai aimé à mon corps,
Dans mon corps, ton amour si fragile encore,
Qu’une prière menace maintenant mon amour,
Le son des silences pour nous savoir encore à l’amour,
L’amour n’est plus de saison pour nous cacher.

Je saurais t’aimer avec un cœur nouveau,
Une foi qui nous remplira de son amour fidèle,
Ensemble, nous irons en voyager dans nos prédestinés,
Doucement, je viendrai te prendre la main,
Loin du monde, notre amour pour s’unir dans la foi,
L’amour n’est plus de saison pour nous cacher.

Nous ne sommes plus d’âges pour des enfantillages,
Des amours de première classe à nos nuits
Le temps nous faire dire ses prières en écho d’un Dieu,
L’amour devenu plus pressant à nos âges et du temps,
Mon cœur a besoin d’un amour plus vaste ensemble,
L’amour n’est plus de saison pour nous cacher.

Je te dirai les mots à ton cœur,
Nous ne serons pas seuls,
À trois, nous formerons un cœur,
La lumière de son ciel ouvert pour nous,
Seuls, nous nous aimerons dans cette main d’une grâce,
L’amour n’est plus de saison pour nous cacher.

Edmond NICOLLE
Le 23.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2318

vendredi 21 octobre 2016

Il me reste cette musique pour un amour...

Il me reste cette musique pour un amour…

Mes doigts sur un clavier de lettres,
J’ai le cœur en tremblement d’aimer,
Mes nuits, seul sur un lit de solitudes,
Je me lève chaque nuit pour écrire des mots.

Il me reste cette musique en refrain d’un amour,
 Un amour d’un cœur devenu inacceptable,
L’amour devenu qu’un rêve irréel de sens,
J’écoute cette musique seul dans ma nuit.

On se recherche un instant, pour des nuits à deux,
Nos nuits sont bien seules et si proches l’un à l’autre,
Le jour me parait si long sans te voir un instant,
Un regard, un geste qui me parle déjà à tes pas.

Il me reste cette musique en refrain d’un amour,
 Un amour d’un cœur devenu inacceptable,
L’amour devenu qu’un rêve irréel de sens,
J’écoute cette musique seul dans ma nuit.

J’ai le cœur en sentiment, un sentiment de l’amour,
Mes nuits sont bien difficiles à te dire les mots sans toi,
Un sentiment bien profond à te dire mon amour pour toi,
Celui qui un jour, te dira librement son cœur.

Il me reste cette musique en refrain d’un amour,
 Un amour d’un cœur devenu inacceptable,
L’amour devenu qu’un rêve irréel de sens,
J’écoute cette musique seul dans ma nuit.

Il fait froid sans toi à l’amour,
Loin de toi, mon cœur souffre,
J’ai besoin de toi, réchauffé cet amour,
L’amour à deux cœurs, unis dans les silences.

Il me reste cette musique en refrain d’un amour,
 Un amour d’un cœur devenu inacceptable,
L’amour devenu qu’un rêve irréel de sens,
J’écoute cette musique seul dans ma nuit.

J’écoute cette musique,
Une musique s’y courte pour un amour,
Une musique à nous seuls, à des nuits tant solitaires,
Un jour peut-être, nous irons nous dire ce que les cœurs ont tant à dire.

Il me reste cette musique en refrain d’un amour,
 Un amour d’un cœur devenu inacceptable,
L’amour devenu qu’un rêve irréel de sens,
J’écoute cette musique seul dans ma nuit.

T’aimer, voilà ma raison de mes mots,

Edmond NICOLLE
Le 22.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 23167

Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu'il faut

Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut

Je voudrais tant t’aimer à l’amour,
Un cœur qui attend qu’on lui parle,
J’ai besoin de toi, de tes bras,
Ce soir avec toi seul,
Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut.

Vient calmer mes douleurs,
Ensemble pour un amour à emporter,
Ensemble sentir nos cœurs à des désirs,
Blottir nos corps à l’amour,
Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut.

Je serai peut-être maladroit à cet amour,
Peu importe le temps entre nos bras,
Nous irons chercher l’amour avec des mots,
Nos cœurs se connaîtront ensemble,
Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut.

Te dire les mots qu’il convient,
Peut-être maladroitement sûr,
Tu me feras la correction pour apprendre tes mots,
Nous irons nous aimer comme des amis, des amants,
Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut.

Je veux t’aimer un soir, une nuit,
Sentir nos cœurs en appel,
Les regards fermés,
Nos cœurs à la nuit,
Oh, mon amie, apprends-moi les mots qu’il faut.

Edmond NICOLLE
Le 21.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2316

jeudi 20 octobre 2016

Je t'aimerais encore

Je t’aimerais encore

Je t’aime est, tu ne le vois pas ainsi,
Des sentiments d’amours vers toi,
Ton cœur pense à des ailleurs,
Mes mots veulent te dire mes sentiments,
Amour sentimental, je t’aimerais encore.

J’ai écrit des mots sur les murs de ton cœur,
Ton regard est ailleurs, cherché l’amour,
Voyage pour d’autres destins,
 De désirs de libertés,
Amour sentimental, je t’aimerais encore.

Je t’aimerais encore,
Des mots écrits sur ton cœur,
Un amour qui te cherche dans tes auvents,
Des silences à me brûler de t’aimer,
Amour sentimental, je t’aimerais encore.

Mon amour te cherche encore,
Un amour qui a pris de l’âge aux saisons,
Ensemble, consolé une vie de tant d’errances,
Un horizon d’amour pour deux cœurs désunis,
Amour sentimental, je t’aimerais encore.

Je t’aimerais ainsi à mon amour,
Le temps de t’aimer à la vie,
Ensemble, consolés l’amour endommagé,
Mon amour à des sentiments vers toi,
Amour sentimental, je t’aimerais encore.


Edmond NICOLLE
Le 21.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2315

mercredi 19 octobre 2016

Parle-moi d'amour

Parle-moi d’amour

Je t’aime tant à l’amour,
Une histoire, un amour,
Mon cœur remplis de vœux,
Sur tes lèvres, mon appel,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Oh, mon amour !
Rejoins-moi vite,
Mon cœur au tien,
Je veux t’aimer,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Les années passent,
J’ai tant de larmes en désirs,
Ne fais pas languir l’amour,
Ensemble, nous serons mieux,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Parle-moi d’amour,
Mon cœur à besoin de tes mots,
Entendre un appel de toi,
Un mot, un message de toi,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

J’ai tant de désirs à t’aimer,
Mon cœur, ce presse de t’entendre,
Ne reste plus caché à des solitudes,
Je veux t’aimer une fois,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Le silence à nos lèvres,
Un souffle, je t’aime,
Ton regard aux miennes,
Embrassons l’amour,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensembles à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Je t’attends à mon cœur,
Prenons le temps,
Cachons-nous du monde,
Enlacer nos mots ensemble,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Vient à l’amour,
N’attends pas, le temps s’écoulant,
Ne plus souffrir ainsi à des illusions,
Nos cœurs dans des solitudes,
Parle-moi d’amour.

Parle-moi d’amour,
Je te dirais mon amour,
Toi et moi joignant les mots,
Ensemble à tant de désirs,
Je t’aime tant.

Edmond NICOLLE
Le 20.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2314

Ma dépendance

Ma dépendance

Je chante ses mots,
Libéral, je suis,
Une poésie entre mes doigts,
Un jour noir, un jour bleu.

Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Ne me chercher pas,
Je suis déjà loin de vous,
Un voyage sans terminus,
Je suis libéral de mes mots.

Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Tant de poésies sur des lignes,
Rien ne ressemble à moi,
Un corps qui s’assèche à des vents,
Je suis qu’une feuille à des saisons.

 Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Je vous et aimé tant de fois sur ma route,
Demain, une plume, ma correspondante,
Une muse à mon corps, suscitant une liberté,
J’écris pour fuir le temps des mythes.

Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Je chante ma liberté,
Dépendance de l’amour,
Voyage indéterminé de sens,
Mon corps et mon âme fuyant vos attraits.

Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Je n’ai que faire de vos lois,
Je voyage pour une liberté,
Vous aimez ou pas, peu importe,
L’amour à expirer ma vie sur votre route.

Je chante pour moi,
Ma dépendance,
 J’écris pour moi,
J’écris ce que je veux.

Edmond NICOLLE
Le 19.10.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2313