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vendredi 29 juillet 2016

Partir ensemble à des lendemains plus beaux


Partir ensemble à des lendemains plus beaux

Aimer sans avoir peur,
Des lendemains ensemble,
Partir remplir nos nuits,
Entre nos mains, une aventure,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Ensemble sur des chemins,
Nos silences nous emporter,
Loin du monde et des bruits,
Sourire enfin a tant de solitudes,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Nous irons refaire la vie,
Doucement, je viendrai à toi,
 Une fleur s’y fragile avec le temps,
Que mes câlins seront ceux des espoirs,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Nous irons partir chercher cette fleur,
Entre nos mots, des tendresses du cœur,
Te porter pour effacer tes douleurs,
Nos chemins s’y ressemblant se joindront à nos pas,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Te retrouver, ivre de revivre des instants entre nous,
Tant de choses s’échappant tant de fois au temps,
Je voudrais tant de choses et d’ivresses avec toi,
Fuir le temps des nostalgies et des peurs,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Éclairer nos nuits tant troubles,
Des jours sans pouvoir aimer,
Faire semblant de croire à un amour,
Ne pas troubler les habitudes, partir,
Partir ensemble à des lendemains plus beaux.

Edmond NICOLLE
Le 30.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2243

Partir avec toi

Partir avec toi

Partir avec toi,
Loin du temps,
Loin de nos souvenirs,
Nous bercer de chansons,
Nous bercer de musiques,
Rien que nous deux.

Revivre ce qui est interdit,
Nous libérer de questions,
Partir loin de tout, des règles,
Je voudrais nous enivrer une fois,
Vivre librement à cette amitié,
Dans les silences d’un amour.

Laisse-moi faire le premier pas,
Nous respirerons le parfum des secrets,
Ensemble, le cœur serré d’être,
Le temps d’un instant à la vie,
Les regards vers une amitié secrète,
Nous remplacement nos pleurs pour des rires.

Je saurais t’aimer,
Mon cœur qui a tant à te donner,
Doucement, je caresserai ton visage,
Le temps et s’y prêt à cela,
Ensemble pour un souffle nouveau,
Mon amitié et s’y forte pour deux.

Laisse-moi venir à toi,
Comme une fleur entre des doigts,
Tellement fragile à cette vie,
Laisse-moi effacer ta peur,
Laisse-moi te donner ce moment,
Nous partirons ensemble pour une amitié.

Laisse-moi venir à toi,
Je serais ton silence,
Comme un amant aussi d’une histoire,
Le regard attendri d’une amitié,
Le cœur pressé de te dire…
Mon amitié vers toi à cet instant.

Edmond NICOLLE
Le 29.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2242

mercredi 27 juillet 2016

Tendresses

Tendresses
Je n’ose te dire,
Mon cœur pour un amour,
Mon passé, je l’oublierai avec toi,
Je t’offrirai mille fleurs à ton cœur,
Sur ta main, un baiser de mes lèvres,
Tendresses.

Un souffle sur ton cœur,
En silence, dans tes bras, mon appel,
Ce dire, la vie à demain, maintenant,
Ensemble cacher pour oublier le temps,
Je t’offrirai mon cœur, mon amour,
Tendresses.

Ne pas se briser,
Le temps est déjà fait à notre vie,
Nos pas vers une liberté en attente,
Te dire, je t’aime dans mon souffle,
 Entre nos lèvres, ce parfum d’une amitié,
Tendresses.

Pourquoi attendre encore…
Notre destin sur des chemins,
Que l’on ose se dire les mots,
Notre cœur pour une amitié véritable,
Juste un mot et la vie renait en nous,
Tendresses.

Aimons-nous en tendresse,
Rien ne peut entraver cette destinée,
Entre nos mains, un cœur,
Une amitié complice,
Une vie entre nos mains,
Tendresses.


Edmond NICOLLE
Le 27.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2241

Pourquoi parler...


Pourquoi parler…
L’essentiel est déjà dit.

Mon cœur est déjà loin,
J’ai tout donné,
Mon âme, ma chair,
Entre mes mains, des souvenirs.

Pourquoi parler…
Je meurs déjà depuis longtemps,
L’essentiel est déjà dit,
Mon cœur n’a plus la force de notre amour.

Je m’éloigne maintenant,
Je n’ai plus le goût de l’amour,
Mon réveil est devenu amère,
Je pars vers une terre nouvelle.

Pourquoi parler…
Je meurs déjà depuis longtemps,
L’essentiel est déjà dit,
Mon cœur n’a plus la force de notre amour.

Le chant de mon cœur est terne,
Je n’ai plus la force à t’aimer,
Trouver l’amour, serait plus long à ma mort,
Une histoire répétée, mille fois, à des goûts amers.

Pourquoi parler…
Je meurs déjà depuis longtemps,
L’essentiel est déjà dit,
Mon cœur n’a plus la force de notre amour.

Un chemin sans issue avec toi,
Je crie ma liberté, ma vie,
Aimer encore une fois, serais pire,
Mon cœur se meurt déjà.

Pourquoi parler…
Je meurs déjà depuis longtemps,
L’essentiel est déjà dit,
Mon cœur n’a plus la force de notre amour.

Trouver l’amour à nouveau,
Effacer les souvenirs d’une histoire,
Le matin, un baiser entre des bras d’un amour,
Effacé le temps, effacer l’amour en sursis.

Pourquoi parler…
Je meurs déjà depuis longtemps,
L’essentiel est déjà dit,
Mon cœur n’a plus la force de notre amour.


Edmond NICOLLE
Le 27.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2240

mardi 26 juillet 2016

Mes jours devenant des silences...

Mes jours devenant des silences…

Des mots comme des chansons,
Je suis déjà ailleurs,
J’écris pour un ciel en silence,
Mes larmes remplissent ma vie,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Je n’ai pas su dire les mots,
Mon cœur devenu comme le temps,
Le temps des saisons arides,
Je n’ai pas su remplir ma vie,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Dire, je t’aime et tout s’effaçant avec le temps,
Des mots qui m’ont fait que tristesses à mon cœur,
Des mots s’envolent comme les vents d’automnes,
Je vous ai aimés, oui, mais le temps est devenu des litanies,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Vous pleurez vos pères vos mères,
Une vie passant dans des bras remplis de sentiments,
Un jour, vous grandissez, une page se tournant à votre vie,
Un enfant cherchant encore une vie sans longe d’un passé,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Mon âme est celui d’un vent sans ligature,
Je n’ai pas su connaître mes attaches, trop vite dissipées,
Lentement se meurt ma vie, vide de mots, vide d’histoire,
Je suis mon chemin lentement vers celui qui m’attend un jour,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Mes mots sont des mots de solitudes d’enfants sans attaches,
L’amour passant un jour et brisant le temps des solitudes,
Le temps de connaître un peu de réconfort avant un nouveau départ,
 Un peu de larmes séché au cœur d’un amour concilient,
Mes jours devenant des silences au grès de ma vie.

Edmond NICOLLE
Le 27.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2239

lundi 25 juillet 2016

Ciel, je t'attends pour m'y noyer

Ciel, je t’attends pour m’y noyer

Silence je sais que tu es là,
A mes côté, une lune attentive,
Doucement me détachant dans cet inconnu,
 Vers mon infini voyage à ma vie.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Depuis longtemps, une prière à mes coté,
J’ai tenu mon corps vaquant pour un ciel,
Autant que possible aux lois univers,
Je sens aujourd’hui le temps s’affaiblir.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Les saisons sont passées,
Mon cœur a parlé avec le temps,
Ce referme aujourd’hui mon corps,
Comme des arbres, mon corps devenu un nu.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Je souris aux silences,
Je nargue le temps,
Mes yeux ouverts à des nuits,
Saisons qui passent ainsi à mes nuits.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

J’écoute cette musique,
Le secret d’une prière vers vous,
Infini temps suspendu à mon âme,
Une musique me noyer un instant.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes coté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Je suis heureux,

Edmond NICOLLE
Le 26.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2238

dimanche 24 juillet 2016

Faites-moi danser pour oublier

Faites-moi danser pour oublier

Je veux sortir mes griefs de mon corps,
Faites-moi danser à ma chair,
J’ai besoin de vous, de cette musique,
Les sons sortis de nulle aux hommes,
Libérez-moi de cette prison de mots.

Faites-moi danser pour oublier,
Je veux danser a en finir à mes silences,
 À me faire tuer de vos mots,
Des résonances reçues dans ma tête,
Faites-moi danser pour oublier.

J’entends au loin, des souffrances,
Tu pleures mon ami (e),
Le silence se déchaînant à ton corps,
Tu cries dans la nuit, des douleurs,
Tes oreilles ont le son d’un gouffre.

Faites-moi danser pour oublier,
Je veux danser a en finir à mes silences,
 À me faire tuer de vos mots,
Des résonances reçus dans ma tête,
Faites-moi danser pour oublier.

J’écris des mots, pour toi, pour moi,
Un monde loin, un monde de prisons,
Voler comme un oiseau vers une liberté,
Personne n’a su entendre mes appels encore,
Je continue, je ne veux entendre que cette musique.

Faites-moi danser pour oublier,
Je veux danser a en finir à mes silences,
 À me faire tuer de vos mots,
Des résonances reçus dans ma tête,
Faites-moi danser pour oublier.

Non, je ne rien entendre maintenant,
Fuir comme un oiseau,
Des ailes qui me laisseront un jour, sur des crépitations,
Dansé à mon corps, une musique,
Faites-moi danser musique, à ne plus en finir…

Faites-moi danser pour oublier,
Je veux danser a en finir à mes silences,
 À me faire tuer de vos mots,
Des résonances reçus dans ma tête,
Faites-moi danser pour oublier.

Edmond NICOLLE
Le 25.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2237

samedi 23 juillet 2016

Mots du silence

Mots du silence

Le corps est l’esprit,
Union des silences, je t’aime ainsi,
Une terre qui tourne,
Un visage sur le mien,
Un monde pour demain,
Mots du silence.

Des visages qui se recherchent,
Les mots en silence dans un regard,
Un moment de croire à cet instant,
Toujours attendre le mot qui surprend,
Elle me voit, je suis déjà loin d’elle,
Mots du silence.

Mon corps s’échappant de moi,
Je ne suis plus le même qu’hier,
Tout a changé, un ciel prêt pour un voyage,
J’ai aimé à tous ses vents de mots,
Aimer mon corps à des amours,
Mots du silence.

Il me reste quelques souvenirs,
Des chansons que j’ai chantées un jour aussi,
Des jours en solitudes d’avoir tout connu,
Des illusions d’un instant, d’aimer mieux,
Un rêve qui me suit toujours, une flamme qui me veille,
Mots du silence.

Des mots qui restent des silences en moi,
Des pages qui tournent comme le temps,
J’ai aimé, j’ai changé le sens à ma vie,
Je regarde le temps qui passe encore,
Les gens sur un autre trottoir défilent,
Mots en silence.

Je t’aime et je souffre de toi, de solitude d’aimer encore,
Parfois, le temps s’échappant, où moi qui fuis encore ce temps,
Je ne sais plus très bien les sens, la direction à ma vie,
Mes mots qui me font sommeils sur mes lignes,
Je libelle le temps en poésies et illusions d’aimer encore,
Mots en silence.

Edmond NICOLLE
Le 23.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2236

dimanche 17 juillet 2016

L'amour passant sans dire son départ un jour


L’amour passant sans dire son départ un jour

Des cris à chaque moment dans des prières d’un cœur,
Oublier le temps qui a passé sur des âges,
Redécouvrir l’amour délaissé au temps d’une histoire,
Nous aiment comme des enfants amoureux libres,
L’amour a tant de silences, oublié la vie sans plus.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

Amour sentimental à deux cœurs,
Je te cherche aujourd’hui à mon univers,
J’ai besoin de toi à mes jours,
Amour, je te cherche pour remplir ma vie,
Aujourd’hui, j’ai besoin de toi à ma vie.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

Je t’aimerais comme jamais je n’ai peu le réalisé,
Ensemble, le cœur ouvert pour un nouvel amour,
Sans appréhension, sans douleur d’un passé en meurtrissures,
Non, je t’aimerais comme un homme qui aime encore,
Toi mon amie qui est prête à me recevoir à ton cœur.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

Vient remplir mon cœur,
J’ai tant besoin de toi,
Tant d’années dans cette attente,
Une attente, qui je savais que c’était toi à ce jour,
Mon amour, mon amie qui m’a tant attendu à tes jours.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

J’ai le mal d’avoir fait des erreurs,
Je n’ai pas su attendre cet amour,
Chacun, nous étions à se poser des questions,
Aujourd’hui, le temps a passé,
L’amour nous appelant à des raisons d’un amour.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

J’ai dans le cœur, une amie,
Une femme, une histoire non concrétisée d’un amour,
Une histoire déjà inscrite dans un livre,
L’amour de deux êtres qui s’aime depuis toujours,
L’amour à une attente indéterminé au temps.

L’amour passant sans dire son départ un jour,
J’ai besoin de toi, être deux à cet amour,
Le temps passant sans dire mot bien des fois,
Vient me chercher, j’ai le cœur à t’aimer,
Nous partirons ensemble, reconstruire l’amour.

Edmond NICOLLE
Le 17.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2235

samedi 16 juillet 2016

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt

Sourire à la vie,
Mon cœur pour un destin,
Dans mon cœur, un amour,
Aimer ce qui est plus beau, plus pur,
À deux, la main ensemble.

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour pour celle que le temps à passer,
Mon amour est un ailleurs à une femme,
À un destin ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le temps qui nous reste à nous aimer cacher.

Tu m’as tout donné,
Ton cœur, ton amour,
Tes lettres, tes appels,
Ton sourire, ton aide,
Tes cris, tes désirs.

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour pour celle que le temps à passer,
Mon amour est un ailleurs à une femme,
A un destin ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le temps qui nous reste à nous aimer cacher.

Je n’ai pas toujours été à ton écoute,
J’ai fermé les yeux souvent en te regardant,
J’ai fermé les yeux quand toi, tu me parlais,
Pourtant, l’amour été bien là à nous consoler,
Le temps nous a fait comprendre cet appel.

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour pour celle que le temps à passer,
Mon amour est un ailleurs à une femme,
À un destin ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le temps qui nous reste à nous aimer cacher.

Dans mon cœur, une femme,
Une femme qui a des désirs autant que moi,
Des sentiments profonds d’un amour,
Un secret entre nous,
Entre nos mains, une ligne de destin, une vie.

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour pour celle que le temps à passer,
Mon amour est un ailleurs à une femme,
À un destin ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le temps qui nous reste à nous aimer cacher.

Ensemble, nous partirons un instant,
Nous échapper sur des destins de nos cœurs,
Nous partirons calmer nos douleurs pour des cris, des joies,
Dormirons comme les couples unis un instant à toujours,
Nos cœurs à l’unisson des amants.

Je ne veux plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour pour celle que le temps à passer,
Mon amour est un ailleurs à une femme,
À un destin ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le temps qui nous reste à nous aimer cacher.

Edmond NICOLLE
Le 16.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2234