Le silence
de mon corps
Loin des
bruits d’une foule,
Mon cœur
battant raison,
Relâchant
mon esprit à la liberté,
Aimer plus
loin en déraisons,
Mon corps à
un amour.
Le silence
de mon corps,
Désobéissance
adulée,
Assouvir les
formes de ma peau,
Libéralisation
d’un organisme,
Mon corps en
désirs les plus fous.
Je voudrais
couvrir mon corps au tien,
Sentir ta
peau contre la mienne,
Assouvir des
désirs les plus cachés,
Ensembles à
des soubresauts intimes,
L’amour de
tant d’obstacles aux désirs.
Le silence
de mon corps,
Désobéissance
adulée,
Assouvir les
formes de ma peau,
Libéralisation
d’un organisme,
Mon corps en
désirs les plus fous.
Réveillent
ce qui s’est arrêté un jour,
L’amour qui
fait tant mal par des mots,
Sentiments
de ne plus appartenir à des parfums,
Mon corps
relâchant cette nécessité brutale d’un amour,
Besoin plus
fort de ressentir mes émulsions intérieures.
Le silence
de mon corps,
Désobéissance
adulée,
Assouvir les
formes de ma peau,
Libéralisation
d’un organisme,
Mon corps en
désirs les plus fous.
J’ai le cœur
en bataille,
Incessants désirs intérieur,
Je ne suis
pas le rêve fantasme de ces dames,
Mon corps ne
ressemble pas à hercule tant entendu dire,
J’ai un cœur
comme un bouquet de fleurs mûri au temps.
Le silence de mon corps,
Désobéissance
adulée,
Assouvir les
formes de ma peau,
Libéralisation
d’un organisme,
Mon corps en
désirs les plus fous.
Caresser
votre corps à tant de prémisses en éveille,
Ensemble
chercher les atouts secrets à nos corps,
Virevolté,
nos corps à des déraisons de désirs profonds,
Sentir nos
orgasmes ce reprochés en unissons des corps,
Votre lèvre
à ma mienne, sentir ce parfum alvéolé de l’amour.
Le silence
de mon corps,
Désobéissance
adulée,
Assouvir les
formes d’un organisme,
Libération
d’un organisme,
Mon corps en
désirs les plus fous.
Edmond
NICOLLE
Le
10.07.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2233
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