Je ne veux plus vivre sans amour qui
se meurt
Sourire à la
vie,
Mon cœur pour
un destin,
Dans mon
cœur, un amour,
Aimer ce qui
est plus beau, plus pur,
À deux, la
main ensemble.
Je ne veux
plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour
pour celle que le temps à passer,
Mon amour
est un ailleurs à une femme,
À un destin
ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le
temps qui nous reste à nous aimer cacher.
Tu m’as tout
donné,
Ton cœur,
ton amour,
Tes lettres,
tes appels,
Ton sourire,
ton aide,
Tes cris,
tes désirs.
Je ne veux
plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour
pour celle que le temps à passer,
Mon amour
est un ailleurs à une femme,
A un destin
ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le
temps qui nous reste à nous aimer cacher.
Je n’ai pas
toujours été à ton écoute,
J’ai fermé
les yeux souvent en te regardant,
J’ai fermé
les yeux quand toi, tu me parlais,
Pourtant, l’amour
été bien là à nous consoler,
Le temps
nous a fait comprendre cet appel.
Je ne veux
plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour
pour celle que le temps à passer,
Mon amour
est un ailleurs à une femme,
À un destin
ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le
temps qui nous reste à nous aimer cacher.
Dans mon
cœur, une femme,
Une femme
qui a des désirs autant que moi,
Des sentiments
profonds d’un amour,
Un secret
entre nous,
Entre nos
mains, une ligne de destin, une vie.
Je ne veux
plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour
pour celle que le temps à passer,
Mon amour
est un ailleurs à une femme,
À un destin
ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le
temps qui nous reste à nous aimer cacher.
Ensemble,
nous partirons un instant,
Nous
échapper sur des destins de nos cœurs,
Nous
partirons calmer nos douleurs pour des cris, des joies,
Dormirons
comme les couples unis un instant à toujours,
Nos cœurs à
l’unisson des amants.
Je ne veux
plus vivre sans amour qui se meurt,
Un amour
pour celle que le temps à passer,
Mon amour
est un ailleurs à une femme,
À un destin
ainsi unis pour le reste d’une vie,
Vivre le
temps qui nous reste à nous aimer cacher.
Edmond
NICOLLE
Le
16.07.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n° 2234
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