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lundi 25 juillet 2016

Ciel, je t'attends pour m'y noyer

Ciel, je t’attends pour m’y noyer

Silence je sais que tu es là,
A mes côté, une lune attentive,
Doucement me détachant dans cet inconnu,
 Vers mon infini voyage à ma vie.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Depuis longtemps, une prière à mes coté,
J’ai tenu mon corps vaquant pour un ciel,
Autant que possible aux lois univers,
Je sens aujourd’hui le temps s’affaiblir.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Les saisons sont passées,
Mon cœur a parlé avec le temps,
Ce referme aujourd’hui mon corps,
Comme des arbres, mon corps devenu un nu.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Je souris aux silences,
Je nargue le temps,
Mes yeux ouverts à des nuits,
Saisons qui passent ainsi à mes nuits.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes côté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

J’écoute cette musique,
Le secret d’une prière vers vous,
Infini temps suspendu à mon âme,
Une musique me noyer un instant.

Ciel, je t’attends pour m’y noyer,
Une douce musique à mes coté,
Un ciel s’y froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers une infinie paix.

Je suis heureux,

Edmond NICOLLE
Le 26.07.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2238

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