Ciel, je t’attends pour m’y noyer
Silence je
sais que tu es là,
A mes côté,
une lune attentive,
Doucement me
détachant dans cet inconnu,
Vers mon infini voyage à ma vie.
Ciel, je t’attends
pour m’y noyer,
Une douce
musique à mes côté,
Un ciel s’y
froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers
une infinie paix.
Depuis longtemps,
une prière à mes coté,
J’ai tenu
mon corps vaquant pour un ciel,
Autant que
possible aux lois univers,
Je sens aujourd’hui
le temps s’affaiblir.
Ciel, je t’attends
pour m’y noyer,
Une douce
musique à mes côté,
Un ciel s’y
froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers
une infinie paix.
Les saisons
sont passées,
Mon cœur a
parlé avec le temps,
Ce referme aujourd’hui
mon corps,
Comme des
arbres, mon corps devenu un nu.
Ciel, je t’attends
pour m’y noyer,
Une douce
musique à mes côté,
Un ciel s’y
froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers
une infinie paix.
Je souris aux
silences,
Je nargue le
temps,
Mes yeux
ouverts à des nuits,
Saisons qui
passent ainsi à mes nuits.
Ciel, je t’attends
pour m’y noyer,
Une douce
musique à mes côté,
Un ciel s’y
froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers
une infinie paix.
J’écoute
cette musique,
Le secret d’une
prière vers vous,
Infini temps
suspendu à mon âme,
Une musique
me noyer un instant.
Ciel, je t’attends
pour m’y noyer,
Une douce
musique à mes coté,
Un ciel s’y
froid à mon corps que je laisserais,
Mon âme vers
une infinie paix.
Je suis
heureux,
Edmond
NICOLLE
Le 26.07.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2238
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