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dimanche 23 septembre 2018

L'amour est un tango qui passe sans raison



L’amour est un tango qui passe sans raison

On ne le connaît pas plus.
Le corps à des frissons d’un amour,
 Je t’aime et je ne t’aime pas ainsi.
Je te cherche à mes recoins de mon corps.

Ton visage ressemble aux printemps.
Un temps pour un amour de passage,
Tu passes dans des bras de l’amour et tu fuis déjà.
Une fleur de passage pour un amour de printemps.

Je suis déjà partie comme les feuilles d’automne,
Je n’ai pas vu le temps passé à l’amour.
Déjà, recommence ma nuit aux questions.
Un livre qui n’en finit pas de dire, je t’aime.

Je cherche la grâce d’un Dieu à me pardonnera.
Tempérer la douleur d’aimer sans avoir cette raison,
Un grain de folie traversant mon corps chaque jour,
 Je t’aime tant que tu me fasses encore tomber aux saisons.

Je suis si peu pour toi.
T’aimer encore sur mes travées du temps,
Je me presse de t’offrir mon différent.
Un corps qui ressemble à mon âge passé.

L’amour est un tango qui passe sans raison.
 Apprends-moi l’amour loin des mots.
Celui que je cherche ailleurs qu’aux lignes,
Te retrouver après la saison.

Edmond Nicolle
Le 23.09.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2723


https://youtu.be/W5l9CZuo5To

Love is a tango that passes without reason

We do not know him anymore.
The body to the shivers of a love,
 I love you and I do not love you so.
I'm looking for you in my recesses of my body.

Your face looks like spring.
A time for a passing love,
You pass in the arms of love and you already flee.
A flower of passage for a love of spring.

I'm already gone like the autumn leaves,
I did not see the time spent in love.
Already, start my night again questions.
A book that does not stop saying, I love you.

I seek the grace of a God to forgive me.
To temper the pain of loving without having this reason,
A grain of madness crossing my body every day,
 I love you so much that you still make me fall to the seasons.

I am so little for you.
Love you again on my bays of time,
I hurry to offer you my different.
A body that looks like my past age.

Love is a tango that passes without reason.
 Teach me love away from words.
The one I'm looking for elsewhere than the lines,
To meet you after the season.

Edmond Nicolle
The 23.09.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2723

samedi 22 septembre 2018

Houle des marées





Houle des marées

Mon cœur chante.
Je le suis de bon pied,
Mon cœur vacille à des temps.
Chaque jour à de nouveaux jours.

J’habite sur une côte.
Un vent me parlant en brise,
Incompris des hommes,
Survivant des marées, un langage.

J’ai tant vu de cadavres.
Allongé sur des rives, noyées,
Je ne pleure plus ses étraves.
 Le temps sera à mon tour un jour.

Regard sur un horizon de lit,
Coule des ruissellements à mon visage.
Mon corps nu aux nuances de vagues,
Je voudrais être une coque, dansé à des flots.

Vivre l’instant présent,
Une barge mon vaisseau,
Lentement, m’éloignent de la rive.
Un souffle me guidant aux marées.

Edmond Nicolle
Le 22.09.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n°2722

 
 https://youtu.be/5rOVZDpXdIU

Swell of the tides

My heart sings.
I am on a good footing,
My heart wobbles at times.
Every day to new days.

I live on a coast.
A wind talking to me in breeze,
Including men,
Surviving tides, a language.

I saw so many corpses.
Lying on the banks, drowned,
I'm not crying anymore.
  The time will be my turn one day.

Look on a bed horizon,
Flowing runoff to my face.
My naked body with waves,
I would like to be a hull, danced to the waves.

Live in the moment,
A barge my ship,
Slowly, move me away from the shore.
A breath guiding me to the tides.

Edmond Nicolle
The 22.09.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2722

dimanche 2 septembre 2018

Tu ne m'as pas laissé le temps





Tu ne m’as pas laissé le temps

Il me reste cette image, cet enfant.
Tu m’as laissé un jour trop vite à la vie.
Je voulais découvrir le monde.
Va maintenant chercher ton destin.

Je n’étais pas prêt à ce voyage.
Tu m’as laissé sans mots, qu’un cri.
Dérisoire fantasme de la vie,
Tu m’as laissé un jour à la rue.

Je ne sais pas aimer.
Comment te dire maman ?
J’avais besoin de toi, te parler.
Comment aimer sans toi ?

Aujourd’hui je te revois,
 Tant d’années refoulées,
Tant de questions encore,
Pourquoi ainsi, tu m’as laissé ?

Maman mon cœur n’est pas ici,
Je te parle sur des lignes, pourquoi ?
Pourquoi tu m’as jetée sans dire mots ?
Tu m’as laissé dans un monde de grand.

Le temps, la vie à passer depuis,
Ton regard n’a pas changé aux années.
Je te revois aujourd’hui comme hier.
Tu es devenue cet enfant d’une histoire.

Notre histoire

Edmond NICOLLE
Le 03.09.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2721




https://youtu.be/iMiphphHWTQ

You did not leave me time

I still have this image, this child.
You left me one day too fast to life.
I wanted to discover the world.
Now go find your destiny.

I was not ready for this trip.
You left me without words, only a cry.
Derisory fantasy of life,
You left me one day in the street.

I do not know how to love.
How to tell you mom?
I needed you, to talk to you.
How to love without you?

Today I see you again,
 So many years repressed,
So many questions yet,
Why did you leave me?

Mom my heart is not here,
I speak to you on lines, why?
Why did you throw me without saying words?
You left me in a big world.

The time, the life to pass since,
Your look has not changed to years.
I see you today as yesterday.
You have become that child of a story.

Our history

Edmond NICOLLE
The 03.09.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2721

Une vie sans toi maman




Une vie sans toi maman

La mort n’étant pas la raison à mon âme,
Le cœur à temps de choses à solidité à toi,
L’âme étant gravée à la terre de tes pas,
Ton corps dispatché à des horizons affligeants.

Je te regarde en silence à mes yeux.
Une vie trépassant de saison à l’âme,
Ton âme figée au destin d’une arrivée,
Me chassent à cet instant à un autre monde.

Je cherche la raison sans connaître les sens.
Tes mots ce divagant à l’âge avancer,
L’espace traînant, étant un mort au souffle,
Recroquevillant à des souvenirs blessent.

Je ne peux avancer davantage.
De questions pertinence à de périls sentiments,
L’amour étant encore le silence le mieux adapté,
Sentant mon départ te rassurer à un destin autre.

Edmond NICOLLE
Le 02.09.2018
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2720



https://youtu.be/m9YSsLkZL74

A life without you mom

Death is not the reason for my soul,
The heart in time of things with strength to you,
The soul being engraved on the ground with your steps,
Your body dispatches to distressing horizons.

I look at you silently in my eyes.
A season-long life to the soul,
Your soul frozen to the destiny of an arrival,
Hunt me at this moment to another world.

I seek reason without knowing the senses.
Your words this rambling at advancing age,
The trailing space, being a dead man with a breath,
Curling at memories hurt.

I can not advance further.
From relevance issues to perilous feelings,
Love is still the most appropriate silence,
Feeling my departure reassuring you to a different destiny.

Edmond NICOLLE
The 02.09.2018
Author is creator of poems since 1973
Text n ° 2720

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