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dimanche 30 avril 2017

Sentiment qui ressemble à un amour


Sentiment qui ressemble à de l’amour

Je suis perdu,
Mes yeux se perdent dans l’infini,
Le temps est ma condamnation,
Je traine ma plume sur le papier,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

J’écoute le silence,
Je voudrais fuir dans un corps,
Les mots qui s’accordent à dire,
Ma liberté rebelle à mon corps,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

Ma vie devenue un papier,
Une liberté d’aimer en prose,
Je suis le temps, les saisons,
Loin d’un monde, je fuis,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

Je voudrais aimer pour un amour,
Le mien qui se bouscule dans des apothéoses,
Je crie pour un ciel sans pardon de moi,
Je reste là sans personne, le silence qui me colle,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

Ma raison est une folie déraisonnable,
Je veux aimer à des sentiments interdis,
Plus loin à des profondeurs de l’amour,
Chercher ce cœur qui est en moi, en découdre,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

J’ai perdu mon âge, les saisons sont passées,
Je reste là à regarder les autres,
Je suis au milieu de mes questions,
Mourir serait une solution, abolition à ma liberté,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

Vous ne pouvez pas comprendre mes sens,
Trop jeune encore pour vous arrêter un instant,
Où penser de moi, la peur vous fuyant,
Mes lignes suffisent à lever l’ancre de vos papiers,
Sentiment qui ressemble à de l’amour.

Ma vie est en sentiment,
L’amour sur du papier transformé en mots,
Caresser un instant des mots cachés à votre amour,
Vous direz, je vous aime ainsi à cette vie, ma liberté.

Ma vie est ainsi faite de vous aimer.

Edmond NICOLLE
Le 01.05.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2438

samedi 29 avril 2017

Les poètes


Les poètes

Des gens pas ordinaires
Glissant leurs mots sur du papier
La nuit dans le silence des poètes
Un mot, des refrains répétés.

Se glisse doucement une nostalgie
Des appels perçants, le ciel des poètes
L’amour au bon gré du temps et des raisons
Une nuit comme tant d’autres à une plume.

Invisible amour, je t’aime en poète
Désir de mots entrelacés en page
Sentiment à l’encre pure d’un ciel
Mes mots ne suffisent pas à dire l’amour.

Poètes nés de page infinie de sons
Les livres ne suffisent pas à dire toutes les douleurs,
Caché au jour, une nostalgie indéfinissable
Le temps passant sans reconnaître le vrai bonheur.

Les poètes, les chansonniers de la nuit
Métaphore de l’amour, des écrits sans répits du temps
Les poètes de la nuit, les poètes sur une plume
Désir infini de mots en maux liturgiques d’une plume.

Edmond NICOLLE
Le 29.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2437

vendredi 28 avril 2017

Amitié précieuse


Amitié précieuse

Lettre en poésie,
J’écris en silence,
Sans doute, que tu ne me verras jamais,
Mes mots sont le cœur,
Tu es trop jeune pour savoir,
Mon iniquité, c’est l’amour,
Je ne te condamne pas.

Amitié précieuse,
Entre mes mains, un mot, une lettre,
Un cœur, une amitié,
Je te suis en entendant un répit de toi,
Le monde est si grand, on se perd déjà,
Juste une rencontre pour se dire,
Nous ne possédons pas le but conciliateur ensemble.

Sentiment du cœur,
Tes mots sont ressemblants aux miennes,
Aujourd’hui, tu passes, déjà, tu pars dans les secrets,
Un instant, moins seule,
Ton cœur et déjà ailleurs,
Je ne sais pas quoi pensé de toi !
Comme une fleur qui perd ses pétales à des vents.

Le temps nous chassant à la peur, une condamnation,
Les mots se confondant à des idéologies de sens,
Trahissons de rêves blessent en jalousies,
Juste un instant d’y croire, instant féerique à une vie,
Je voudrais oublier mon âge, mes sentiments,
Oublié, les mots, les maux finissent en décors poétiques,
Une vie qui fuit toujours à mon corps.

On finit par l’oublié le principal, une erreur de la vie,
Les amitiés qui fuient toujours avec les années,
Un souffle, un espoir juste, un instant,
Croire encore un peu de temps à une amitié,
Une amitié qui cherche la vie à des lendemains,
J’écris des poésies pour un Dieu, pour une amitié,
Mes lignes pour personnes à entendre mes maux.

Edmond NICOLLE
Le 29.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2436

mercredi 19 avril 2017

Prélude d'une vie


Prélude d’une vie

Une histoire
Ma vie
Celle des autres
Passe le temps
Un air déjà connu
Prélude d’une vie.

Une musique
Le silence
Une ombre
Ma vie
Des rencontres
Prélude d’une vie.

Je t’aime
Un instant
Une histoire
Nostalgie
Mon temps
Prélude d’une vie.

Ma vie
Mes silences
Mes évasions
Un sens de vie
Te dire !
Prélude d’une vie.

Des mots
Maux d’un corps
Seul
Je chante
Des souvenirs
Prélude d’une vie.

Mes troubles
Mes fuites
Je n’entends plus
Déraison
Ma vie
Prélude d’une vie.

Je suis malade
Ça ne se voit pas
Je fais silence
Trépasse le temps
Trépasse les amours
Prélude d’une vie.

Une ombre
Une vie
Mes jours
Solitude
Musique
Prélude d’une vie.

Edmond NICOLLE
Le 20.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973

Texte n° 2433

lundi 17 avril 2017

Sentiment qui se réveille pour une histoire


Sentiment qui se réveille pour une histoire

Je te regarde différemment,
Je te vois avec des secrets,
Tendresse du passé aujourd’hui,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Je marche vers vous,
Je voudrais vous parler d’amour,
Sentiment plus profond à un cœur,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Un poète, quelque part,
Avec des mots à la nuit,
Une nuit, un jour pour vous dire,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Tendresse d’un cœur,
Vous êtes loin de moi,
Échouage d’un poète à des lignes,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Offrez-moi une fleur,
Un présent à mon cœur,
Un souvenir de vous déjà,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Peut-être un regard au profond de moi,
Vous direz, que je vous aime depuis temps de temps,
Mes sentiments qui voudraient vous dire mon amour,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Ne partez pas,
J’ai tant attendu ce moment,
Des sentiments que je voudrais vous partager,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Sentiment qui me trouble dans ma tête,
Je vous aime,
Vous pensez déjà partir,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

J’écris,
Un poète dans ses lignes,
Une histoire, la mienne,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Je cours toujours à vous,
Une histoire, des sentiments,
Je voudrais m’arrêter enfin pour vous dire,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Rester, j’ai tant de choses à vous dire,
Mon cœur est rempli de lignes pour vous,
D’affections pour vous êtes avec vous,
Sentiment qui se réveille pour une histoire.

Edmond NICOLLE
Le 18.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2432

Roulis de mon corps


Roulis de mon corps

Je suis loin,
Je rêvasse,
Mon corps en évasion,
Mes pensées vers ces vagues,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Évasion du temps,
Évasion de mon être,
Je vague dans cette musique,
Je sommeille un instant,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Je suis ailleurs,
Je suis perdu dans le temps,
Je n’entends plus personne,
Je m’en vais sans votre accord,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Un vent caressant mon corps,
Mon regard aux mouettes,
Je ne peux plus crier vers ce ciel,
Je vole sans détour comme l’oiseau,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Je ne suis pas perdu dans le rêve,
Libération de mes lettres clissent,
Une page s’envolant avec moi au loin,
Des mots laissent une histoire à mon passé,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Le temps se clissant doucement,
Une égérie sur une onde lointaine,
Je m’élève dans ce tourbillon,
Mes lettres, ce détachant de mon envolée,
Roulis de mon corps,
Les vagues roulent sur mes pensées.

Edmond NICOLLE
Le 17.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2431

jeudi 13 avril 2017

Le fruit de la passion à des corps


Le fruit de la passion à des corps

Danse dans mon corps, un désir,
Un frisson me courbant le corps,
J’ai tant besoin d’amour,
Le fruit de la passion à des corps.

Je suis amoureux,
Élixir de l’amour,
Mon corps en appels,
Le fruit de la passion à des corps.

Mon corps avec le tien, le vôtre,
Aller savoir ma débauche ainsi,
Je suis pris d’un désir sans fin,
Le fruit de la passion à des corps.

Besoin de connaître votre atout,
Besoin d’une rose à mon cœur,
Ensemble sur des baisers altérer,
Le fruit de la passion à des corps.

Je crie dans mon silence,
Une fleur à mon corps,
J’ai tant besoin de vous, de toi,
Le fruit de la passion à des corps.

Caresser la fleur,
Des mots doux sur un cœur,
Enlacé, nos corps sur des vertiges,
Le fruit de la passion à des corps.

Enlacer nos stimulations,
Passion des corps à la nuit,
Nos corps ouverts au fruit,
Le fruit de la passion à des corps.

Je t’aimerai,
En silence et passions,
J’embrasserais vos désirs,
Le fruit de la passion à des corps.

Edmond NICOLLE
Le 14.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2430

Un printemps à mon coeur


Un printemps à mon cœur

J’irais voir le temps à mon cœur,
Lui parler que j’ai besoin de lui,
Un printemps à mon cœur,
Réchauffer mon cœur,
Les mots pour lui dire,
J’ai besoin de toi à mes jours.

Je ne dors plus si bien,
Sentir un printemps sur une couche,
Une rose sur mon corps, son parfum,
Réchauffer mon cœur,
Les mots pour lui dire,
J’ai besoin de toi à mes jours.

Vient refleurir mon cœur,
Je t’embrasserais comme une première fois,
Mon corps sur un rayon de désirs,
Réchauffer mon cœur,
Les mots pour lui dire,
J’ai besoin de toi à mes jours.

J’ai envie de tes mots sur ma bouche,
Un souffle venu me caresser ce corps nu,
Une brise me faire l’amour sur une herbe,
Réchauffer mon cœur,
Les mots pour lui dire,
J’ai besoin de toi à mes jours.

Printemps des désirs,
Fais-moi l’amour,
Mon corps au tien,
Réchauffer mon cœur,
Les mots pour lui dire,
J’ai besoin de toi à mes jours.

Edmond NICOLLE
Le 13.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2428

mardi 11 avril 2017

Entre ciel et lumière, un amour


Entre ciel et lumière, un amour

Je t’ai aimé
Le temps était différent
Les nuages passaient sur des désirs
Un cœur si différent des autres
Entre ciel et lumière, un amour.

Je rêve un instant
Des rêves en des éternités
L’amour passant sur mon corps
Déchirure d’une solitude
Entre ciel et lumière, un amour.

Je meurs doucement
Sous un ciel, mon corps
Un silence sur des lèvres
Reviens-moi un instant me dire
Entre ciel et lumière, un amour.

Je ne sais pas comment te dire !
J’ai oublié les mots qu’il faut placer
Entre mon âme, une poésie
J’écris ma solitude
Entre ciel et lumière, un amour.

Une foi, un désert dans l’âme
Un monde refusant mes lignes
L’amour entre des lignes imaginées
Un désert de mourir seul
Entre lumière et ciel, un amour.

Pourquoi crier encore !
Personne n’entend plus ma voix
Je ne connais plus ma raison,
Échappatoire d’une vie, une mort
Entre lumière et ciel, un amour.

Regard s’évadant au lointain
Un désert sur des pas silencieux
Nonchalance d’un corps
Brise effaçant mon âme
Entre lumière et ciel, un amour.

Edmond NICOLLE
Le 12.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2427

lundi 10 avril 2017

Les oiseaux chantant une mélodie au matin


Les oiseaux chantant une mélodie au matin

Brise du matin
Soufflant une respiration
Sentant une odeur d'un printemps
Les oiseaux chantant une mélodie au matin.

Une tasse de café à mes mains
Réveillant ma muse de mon esprit
Doucement m’emportent dans des accords
Les oiseaux chantant une mélodie au matin.

Il me manque un peu de temps à écrire
Le temps passant si vite à cet instant
Une terre tournante dans des sens vertigineux
Les oiseaux chantant une mélodie au matin.

Un clocher d’une église déjà oublié au lointain
Les membres vaquant à leurs occupations
S'apprêtent déjà à une sacristie de la journée
Les oiseaux chantant une mélodie au matin.

Une herbe brillante à l’éclat d'un matin
Encore frissonnantes d'une nuit fraîche
Quelques gouttes tombantes des feuillages
Les oiseaux chantant une mélodie au matin.

Edmond NICOLLE
Le 10.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2426

lundi 3 avril 2017

Solitude d'un jour...



Solitude d’un jour
 Solitude pour une éternité

Cœur solitaire,
Un chant remplissant ma vie,
Une vis qui n’a plus d’importance,
Brisé mes nuits et mes jours sans vous.

Une langue de bois sans un son,
Solitude d’un jour,
Solitude pour une éternité
Mon cœur s’en va doucement sans bruit.

Je regarde ce ciel,
Ce ciel qui passe à ma vie,
Je suis à t’attendre un jour,
Une douceur sans plus d’une nuit.

Sentiment que j’ai dans ma tête,
Un sentiment qui n’avance plus,
Un mur m’arrêtant à ma passion,
Je crois à une fin, la mort à mon chemin.

Je vis pour une incertitude,
Demain, sera peut-être autrement,
Ma peine sera ma force à attendre,
Je perdrais la face à ce jour.

Ma solitude me suit à des jours,
J’ai appris à vivre avec elle,
Sentiments d’être effacé au temps,
Je marche sur un chemin, un exil à mes pas.

Des pas sans toi, sans vous,
Un monde qui ne m’appartient plus,
L’amour qui s’en va à des vents au lointain,
Brisant chaque jour de plus dans une corrida, ma vie.

Edmond NICOLLE
Le 3.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2425

dimanche 2 avril 2017

Mes jours sont les même pour t'aimer encore


Mes jours sont les mêmes pour t’aimer encore

 Aux sentiments qui durent,
Un soleil qui brille pour un amour,
Suffisent pour te dire mon affection,
Je me plais de te dire mes mots,
Mon inconnue de mes nuits,
Mes jours sont les mêmes pour t’aimer encore.

Non, je t’aime sans retour d’un regret,
Mes lignes t’attendent un jour sans loi,
Qu’un destin me pardonnant de t’aimer ainsi,
Je serai ton décor à tes tendresses,
Caresser la dentelle cachant l’impunité d’un amour,
Mes jours sont les mêmes pour t’aimer encore.

Pas besoin du jour pour nous dire…
La lumière de nos cœurs suffira,
Ensemble sur un chemin de mots,
Nos mains caressent nos corps à l’invisible,
Nos lèvres suintant le désir profond de nos corps,
Mes jours sont les mêmes pour t’aimer encore.

Mes mots sont déjà l’amour,
Un sentiment bien profond,
Une ardeur sur des lignes d’un cœur,
Une poésie pour toi, mon inconnue de mes lignes,
Une encre que je voudrais nourrir ensemble à un amour,
Mes jours sont les mêmes pour t’aimer encore.

Edmond NICOLLE
Le 2.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2424

samedi 1 avril 2017

Ce n'est qu'une histoire sur des lignes du temps


Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps

Le temps n’est pas encore là,
Une fleur se cachant encore à ma vie,
Ne pouvant toucher cette fleur encore,
Mon regard se perd dans d’un infini lieu,
Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps.

Je voudrais vous aimer aussi,
Refleurir le temps à des amours,
Rien que deux amours naissent d’une histoire,
L’amour qui nous reste avant une fin d’un Dieu,
Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps.

Faire sortir nos segments pour des fleurs de saisons,
Des lignes errent sur du papier de désirs en poètes,
Des mots avec une plume poétique en appels à un amour,
Rien d’autre que pour s’aimer des nuits solitaires passées,
Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps.

Rêve où réaliste…
Des mots qui se voudraient-être autres,
Sentiments passagers d’âme sans âme,
Le corps en désir d’une instante fougasse,
Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps.

J’écris, je n’ose m’y tromper,
Entre des lignes, un amour,
Une fleur en une saison murissante,
Mes nuits en des attraits de folies durent,
Ce n’est qu’une histoire sur des lignes du temps.

Edmond NICOLLE
Le 2.04.2017
Auteur est créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2423