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vendredi 28 janvier 2011

Comme un souffle au vent

Comme un souffle au vent







Comme un souffle au vent,


J’entends ta voix sur les brises du vent,


Je t’aime toi qui es loin à mes horizons,


Je te caresse avec mes mains invisibles à ton corps,


Un souffle pour te dire je t’aime à chaque fois à la brise,


Un vent qui me soufflera encore ta présence,


Par ces mots silencieux je t’aime.






Comme un souffle au vent,


Oui je me retiens de te voir,


Ton image non sortie de ma mémoire,


Comme un arbre planté là après un passage,


Les souvenirs d’un moment de liberté,


Un vent qui me soufflera encore ta présence,


Par ces mots silencieux je t’aime.






Comme un souffle au vent,


Notre langage se porte à notre silence,


Devinant bien d’autres choses encore,


Le cœur pressé à la prochaine tempête des cœurs,


Un message envoyé à de complaisance d’aimer,


Un vent qui me soufflera encore ta présence,


Par ces mots silencieux je t’aime.






Comme un souffle au vent,


J’entends ta voix en vent me dire,


Vient avec moi dans le silence,


Je saurai te dire sur mes lèvres,


Je que je ressens à mon cœur,


Un vent qui me soufflera encore ta présence,


Par ces mots silencieux je t’aime.






NICOLLE Edmond le 29.01.11


http://edmondnicolle.wordpress.com/




















































jeudi 27 janvier 2011

Vient remonter le temps mon amour









Vient remonter le temps mon amour














Vient remonter le temps mon amour,






Mon amour mon amante je t’aime,






Vient m’ensorceler avec tes mots,






Unissons ensemble nos corps,






Sur ce lit des passions,






Vient mon amour.














Vient remonter le temps mon amour,






Mon amour mon amante je t’aime,






Laissons-nous glisser nos corps ici,






Aux parfums secrets de mots,






Entre nos mains le fruit de l’amour,






Vient mon amour remonter le temps.














Vient remonter le temps mon amour,






Mon amour mon amante je t’aime,






Ensemble lire nos poèmes tant aimé,






Tant écrit ensemble sur nos lits d’amour,






Mon amour vient avec moi te supplier,






J’ai dans les sens ton corps dans mes tripes.














Vient remonter le temps mon amour,






Mon amour mon amante je t’aime,






Vient je ne peux me priver de mes substances,






T’aimer toujours à te donner mon amour,






Entre tes bras la violation de t’aimer,






La violence commuée contre les sens du temps.














Vient remonter le temps mon amour,






Mon amour mon amante je t’aime,






Brisons ensemble nos forces à s’aimer,






Jusqu’à épuisement de nos lèvres sur nos corps,






Aimer plus fort à nos orgasmes jamais épuiser,






Mon amour mon amante je t’attends.














NICOLLE Edmond le 27.01.11






http://merveillespoetiques.forumperso.com/






http://edmondnicolle.wordpress.com/





mardi 25 janvier 2011

Ta paume sur la mienne

Ta paume sur la mienne







Ta paume sur la mienne,


Notre amour à notre vie,


Je me presse à ton cœur,


T’aimer encore plus fort,


Nos amours au diaphane du cœur,


Mon amour ma vie,


Nos cœurs ensemble sur la vie de demain.






Ta paume sur la mienne,


Tu m’aimes je t’aime,


Nos chemins ensemble,


Parcourir notre destin,


Sur les sentiers de l’amour,


Mon amour ma vie,


Nos cœurs ensemble sur la vie de demain.






Ta paume sur la mienne,


Je te cherche encore,


Modeler mon cœur au tien,


Celui que j’ai préféré sur ma route,


Loin des idylles prometteuses,


Mon amour ma vie,


Nos cœurs ensemble sur la vie de demain.






Ta paume sur la mienne,


Je couche mon ancre sur ton cœur,


Me reposer des langages superflus,


De tant d’histoire perdue à mon cœur,


Sur la route des désaccords,


Mon amour ma vie,


Nos cœurs ensemble sur la vie de demain.






NICOLLE Edmond le 25.01.11


http://poemesauxtraversdutemps.blogspot.com/










































lundi 24 janvier 2011

Une de mes aquarelles le 24.01.11

Alain Barriere - Ma vie

Les blessures sur les chemins du coeur

Les blessures sur les chemins du cœur (A une amie)






Les blessures sur les chemins du cœur,


Aux douleurs du passé te transportent,


D’un ciel grisonnent à ton âme,


Quelques gouttes de pleures sur tes joues,


Tu fuis le temps des sarcasmes prolongés.






Tu tapes sur un clavier un semblant d’échanges,


Derrière toi la solitude demeurent à tes nuits,


Le jour une fille restant une enfant aux passés,


Des montagnes de frappes cours sur des chemins irréels,


Ton cœur un semblant d’aimer à ce jour.






Je ne peux accéder à ta violence de mots,


Moi-même un jour à cette révolte,


Le temps m’a oblitéré à terrer mes blessures,


Mon âme sur des voies de secours,


Mes blessures dans mon corps laissent une cicatrice.






Écris-moi ta liberté,


Que nous soyons fous à demain,


D’écrire la folie d’un autre monde,


Celui qui nous appartient aux rêves imaginés,


Un seul instant avant de mourir dans un feu d’incroyants.






Vient avec moi sécher le temps des pleures,


Ensembles réchauffer nos espoirs,


Vient que la folie nous emporte à d’autres horizons,


Chanter pour soigner les lendemains incertains,


D’un monde qui n’est pas le nôtre.






NICOLLE Edmond le 24.01.11



















































jeudi 20 janvier 2011

Pourquoi la mort

Pourquoi la mort



Pourquoi la mort,

Pulsion indélicate,

Faire souffrir tes ôtes,

Peut importe la constitution,

Ton cœur à tant de souffrance,

Tu as décidé dans finir,

Mon amie.



Pourquoi la mort,

Tu étais seule,

Souvent fermer à tes ôtes,

D’un monde hors commun,

Ton cœur à tant de souffrances,

Tu as décidé dans finir,

Mon amie.



Pourquoi la mort,

As-tu le droit à ta liberté ?

Mourir pour oublier tes mots nos mots,

Ne plus aimer que par répulsion,

Ton cœur à tant de souffrances,

Tu as décidé dans finir,

Mon amie.



Pourquoi la mort,

Pourquoi prévenir,

Pourquoi restes-tu là,

A fermé tes volets,

Ton cœur à tant de souffrances,

Tu as décidé dans finir,

Mon amie.



Pourquoi la mort,

J’ai aimé te donner mes mots,

Peut-être trop te donner de tonalité,

La vie plus simple aux espoirs de rêves,

Ton cœur à tant de souffrances,

Tu as décidé dans finir,

Mon ami.



NICOLLE Edmond le 21.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/













mercredi 19 janvier 2011

Je suis le vagabond

Je suis le vagabond







Je suis le vagabond,


Mes lignes chantent la liberté,


Sur une plume l’encre toujours en fuite,


Je chante la misère, la liberté,


Celui qui est de mon parcours,


Je chante au ciel d’un Dieu de prière,


Je chante pour lui mes mots solitaires.






Je suis le vagabond,


Je suis seul,


Ce poète de liberté,


Personne ne peut faire quelque chose,


Je suis la vie celui de mon âme,


Je chante au ciel d’un Dieu de prière,


Je chante pour lui mes mots solitaires.






Je suis le vagabond,


Je passe et j’oublie mes lignes,


Sur les chemins de l’écriture,


Je n’ai rien à envier, car je n’ai rien de plus,


Que celui qui écrit mal entretenu de mots,


Je chante au ciel d’un Dieu de prière,


Je chante pour lui mes mots solitaires.






Je suis le vagabond,


Je chante pour un ciel de délivrance,


Le temps de mes pas à monter vers lui,


J’écris ma solitude ou personne ne peut me suivre,


Laissent que des papiers délavés par le temps,


Je chante au ciel d’un Dieu de prières,


Je chante pour lui mes mots solitaires.






Ma vie, celle qui me donne mes espoirs, ma poésie.






NICOLLE Edmond le 20.01.11


http://edmondnicolle.wordpress.com/















































samedi 15 janvier 2011

Thérapie des mots

Thérapie des mots







Ce glisse doucement les phases,


Seul devant un monde sans mots,


Le cœur à des ivresses tortueuses,


Je fais de mes mots une sortie,


Sur des pages libres de voyager.






Je voudrais me blottir à vous,


Loin d’une thérapie écrite,


Des mots qui torturent mes sens,


Je ne vois pas l’issue du repos,


Que seul un Dieu à mon dernier souffle.






Mes ligues sont le silence de mon âme,


Je ne serais mieux le faire,


Mes blessures sont le traitement à vie,


Une thérapie chaque jour sur mes lignes,


Une prolongation d’une fuite du passé.






Je veux être fou et oublier les sens poétiques,


S’aimer ce que jamais ont m’a donné de vivre,


Je veux danser jusqu’au matin oublier la nuit,


Mon cœur à de l’ivresse inconnues,


Seule une thérapie à deux pour aimer l’au-delà.






J’écris sur des pages demain,


Ma mémoire ce fonde et ce dissipe avec le temps,


Que seul le cœur respire aux espoirs d’une fin,


Une thérapie soignante à mon âme traînée,


Déshabiller mon âme d’une muse blessante.






NICOLLE Edmond le 16.01.11


http://edmondnicolle.wordpress.com/













 

vendredi 14 janvier 2011

Veux-tu qu'on n'ose oser



Veux-tu qu’on n’ose oser



Veux-tu qu’on n’ose oser,

Chercher plus loin l’amour,

Chercher ces cœurs à tant d’espoirs,

Je suis prêt à t’aimer de mon corps,

Démolir les murailles solidifiées.



Veux-tu qu’on n’ose oser,

Ferme les volets des sacrifices,

Je t’aime tant de notre histoire passée,

Marchons nu sur ce jardin épineux,

Dépouiller de tout soupçon dit.



Veux-tu qu’on n’ose oser,

Vient dans mes entrailles,

Me rendre fou d’aimer,

Ton cœur au mien,

Toi mon amante de chaque jour.



Veux-tu qu’on n’ose oser,

Vient sur ma couche de l’amour,

Serrer nos bras pour violer le temps,

Le temps passé à nos premiers amours,

Vient m’aimer comme jamais nous n’avons osés.



Veux-tu qu’on n’ose oser,

J’ai dans le cœur notre amour,

Lier le sang de nos amours sur ce lit,

Mon corps au tien mon amante,

Vient en moi épousé le temps des appels manqués.



NICOLLE Edmond le 15.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/





jeudi 13 janvier 2011

J'ai tant marché sur les chemins de la poésie



J’ai tant marché sur les chemins de la poésie



J’ai tant marché sur les chemins de la poésie,

De lignes toujours à une soif d’écrire pour lui pour elle pour moi,

Une prière toujours plus haute dans un ciel étoilé d’un Dieu,

D’un poète sur la croiser d’un chemin inconnu d’un crayon,

Je cours sur un horizon de poètes illuminés de mots fous.



Je n’ai pas fini mon sommeil que déjà j’écris sur une feuille,

D’une musique qui danse des mots sur une page,

Je n’ai pas fini d’écrire que déjà les pages se tournent à d’autres horizons,

D’un ciel gris, d’un ciel de poète dans un jardin poétique,

Je cours sur un horizon de poètes illuminés de mots fous.



J’écris sur des couleurs imprévisibles de mots,

Mon cœur sur des textures d’une muse,

Je ne sais pas comment se fait-il que nous soyons à deux pour écrire,

D’un sentiment très fragile à m’exposer dans un ciel de poètes fous,

Je cours sur un horizon de poètes illuminés de mots fous.



NICOLLE Edmond le 14.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/









mardi 11 janvier 2011

écris-moi ton histoire


Écris-moi ton histoire



Écris-moi ton histoire,

Des mots qui sortent de ton téléphone,

Le cri d’une femme au bout du fil,

Vient raconte-moi ton histoire,

Entres nos cœurs leurs secrets,

N’attend pas, vient avec moi parler de nous,

De ton histoire, de notre histoire aujourd’hui,

Vient avec moi ici au téléphone.



Écris-moi ton histoire,

Toi qui pleure dans les secrets de tes larmes,

Vient avec moi te cacher,

A deux nous serons mieux,

Peut importe les trahissons du passé,

N’attend pas, vient avec moi parler de nous,

De ton histoire, de notre histoire aujourd’hui,

Vient avec moi ici au téléphone.



Écris-moi ton histoire,

Je te regarde en silence dans le téléphone,

Tu n’as pas changé,

Ta voix et celle que je connais depuis toujours,

Celle qui pleure, celle qui rit,

N’attend pas, vient avec moi parler de nous,

De ton histoire, de notre histoire aujourd’hui,

Vient avec moi ici au téléphone.



Écris-moi ton histoire,

Un message, un texto,

Mon téléphone reste ouvert pour toi,

Dans le silence j’attends ta voix,

Mon amie mon silence,

N’attend pas, vient avec moi nous parler de nous,

De ton histoire, de notre histoire aujourd’hui,

Vient avec moi ici au téléphone.



Écris-moi ton histoire,

Celui qui t’attend toujours,

Celui qui te connait de toujours,

Les bras serrés un jour de plus,

De t’avoir aimé comme des amants,

N’attend pas, vient avec moi nous parler de nous,

De ton histoire, de notre histoire aujourd’hui,

Vient avec moi au téléphone.



NICOLLE Edmond le 12.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/



dimanche 9 janvier 2011

Merci la vie



Merci la vie



Merci la vie,

Merci l’amour,

Merci mes douleurs sur une plume,

Vous me donnez tant de choses,

L’humilité à mon âme.



Merci la vie,

Merci à vous,

Vous, les poètes,

La plume toujours à la main,

Une plume pour les consolations.



Merci la vie,

D’aimer toujours,

Sur des lignes à tant d’espoirs,

Je vous aime sur la plume,

Vos étoiles à mon chemin de toujours.



Merci la vie,

Merci l’amour,

Merci les poètes,

Merci l’humilité,

Merci d’être toujours pressent.



Merci la vie,

Du bonheur d’écrire avec nos cœurs de poète,

Avoir une plume toujours nouvelle à écrire,

Une âme de muse pour conciliation,

Mes vœux les plus sincères pour vous amies poètes.



NICOLLE Edmond le 10.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/







lundi 3 janvier 2011

amour

Amour



Amour,

Tu me prends dans tes bras,

Par une danse aux tortures de feu,

Le diable s’y mêlant à nos corps,

Je tombe amoureux de sens physique,

Amouracher éperdu de ton corps.



Amour,

Mes lèvres aux tiens,

Un froissement entre nos mains,

De corps immergent de sueurs,

Je caresse ton corps de fibrillations,

Nos corps allongés de sensations brulantes.



Amour,

Amour s’en va et s’en vient,

Ne quitte plus nos corps de pulsions,

Une remue d’extase sans fin aux pénétrations,

Ensemble sur des violations de loi,

Souder par des lèvres humectées d’odeurs de nos corps.



Amour,

Toujours amour,

Le diable à nos corps,

Ce réveillent à une lune plus claire,

Qu’un feu embrassant nos âmes à de folies,

Un amour toujours vivace à nos corps.



NICOLLE Edmond le 4.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/












  1. Amour
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  9. Amour,
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  12. Tu me prends dans tes bras,
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  15. Par une danse aux tortures de feu,
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  18. Le diable s’y mêlant à nos corps,
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  21. Je tombe amoureux de sens physique,
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  24. Amouracher éperdu de ton corps.
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  31. Amour,
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  34. Mes lèvres aux tiens,
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  37. Un froissement entre nos mains,
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  40. De corps immergent de sueurs,
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  43. Je caresse ton corps de fibrillations,
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  46. Nos corps allongés de sensations brulantes.
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  53. Amour,
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  56. Amour s’en va et s’en vient,
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  59. Ne quitte plus nos corps de pulsions,
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  62. Une remue d’extase sans fin aux pénétrations,
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  65. Ensemble sur des violations de loi,
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  68. Souder par des lèvres humectées d’odeurs de nos corps.
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  75. Amour,
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  78. Toujours amour,
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  81. Le diable à nos corps,
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  84. Ce réveillent à une lune plus claire,
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  87. Qu’un feu embrassant nos âmes à de folies,
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  90. Un amour toujours vivace à nos corps.
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  97. NICOLLE Edmond le 4.01.11
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  100. http://edmondnicolle.wordpress.com/
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samedi 1 janvier 2011

poète


Poète




Poète,

J’écris mes jours,

Temps de fois sur les lignes,

Comme un train qui s’en va,

Toujours à tant d’espoir,

J’écris sur des lignes incertaines,

Moi le poète quelque part sur des pages.



Poète,

Je n’ai pas de titre,

Qu’un cœur pour parler,

Que des mots à inscrire,

Sur un clavier dépassé par le temps,

De lignes couleurs noirs,

Une envie de changer pour des fleurs.



Poète,

Je ne suis pas certain de l’être,

Je ne suis pas certain de moi,

De mes lettres avec le temps,

Un jour à des désirs dépasser,

Je ne suis pas certain de moi,

Je me pose des questions à la nuit.



Poète,

Je voudrais être l’eau,

Ne pas rester sur mes mots,

Comme une rigole d’un caniveau,

Des mots qui s’en vont fuir à demain,

Un poète limpide de couleur sur une plume,

Effacer tout pour recommencer sans musarder un instant.



(Mes vœux les plus sincères à tous)



NICOLLE Edmond le 2.01.11

http://edmondnicolle.wordpress.com/