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lundi 30 mai 2011

Poésie

Poésie




Souvent tu me blesses,

Tu m’écrases par le temps,

J’ai besoin de repos,

D’une lumière qui me sauve,

Ce quelque chose à ma fuite.



J’ai trop longtemps marché,

Mes doigts à te souligner,

Sur du papier blanc,

Une encre ma vie dessus,

Noir ou ocre mon destin.



Je compte mes jours,

Ce qu’il me reste,

Les témoins de ma vie,

Mes lettres accumulées,

Un jour ressortirons à mon repos.



Une enfant qui saura me lire,

Entre ses doigts une maladie,

D’une muse son destin,

D’un poète malhabile de sens,

Remplie de notes gauchères.



Je suis né avec mes lignes,

Mes antécédents d’âmes,

Un poète qui fuit le poète,

Entre mes mots une vie,

Une transcendance familiale.



Je vous lie,

Vos poètes une fuite,

Un instant d’une transparence,

D’un Aragon ma fuite,

De lignes soumises à la souche.



NICOLLE Edmond le 31.05.11

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Seul dans le désert

Seul dans le désert




Quatre saisons,

Le temps à changer,

J’ai perdu mes repères,

Ma marche dans les méandres,

D’un ciel moribond,

Qui me laisse que de lettres mortes,

Je cherche mes repères,

Un ciel bleu,

Un ciel gris,

Seul sur un chemin métaphore,

De sillons poussiéreux,

De traces enlevées par un vent,

Seul dans le désert,

Mes yeux dans un univers passé,

A une médiocrité de raisons,

Mes traces sitôt perdus abstraits,

Mon sang coule de veine espoir,

Je n’y laisserai que ma plume,

A une encre séchée,

Témoin de mes lignes apostrophées.



NICOLLE Edmond le 30.05.11

mercredi 25 mai 2011

Tourmente dans le ciel

Tourmente dans le ciel




Un épilogue,

Trace dans le ciel,

Des couleurs arc en ciel,

Charger de colères,

Il va sens dire un témoin,

Un souffre de poussière,

Un témoin occluant,

Un ciel dispersant,

Ce fonde une tourmente.



Chasse un vent,

Sur une ville poussiéreuse,

Les déchets d’un ventre,

Vomissent l’attraction,

D’une terre brûler,

L’homme irresponsable,

Causent sa blessure,

D’une gravité déformée,

Une boule de terre en feu.



Aurai-je le temps ?

A mon âme perdue,

Cicatriser la plait ?

D’une éruption cancéreuse,

D’une main condamnable,

Une terre en colère,

Donc le ciel et charger de pourpres,

D’une fin inévitable,

Une terre inépuisables de souffres.



J’ai condamné ma terre



NICOLLE Edmond le 26.05.11

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mardi 24 mai 2011

Bien difficile aux discernements d'une muse ou d'un dieu


Bien difficile aux discernements d’une muse ou d’un dieu



Une muse qui n’aime pas être dictée,

Une façon à elle d’être auto dictatrice,

Comme celui d’un dieu faisant l’histoire,

Se mêle et ce démêle leurs histoires,

Un univers de mots incontrôlables,

Je n’ai pas la force aux discernements d’âme,

Je me couche sur le papier de lignes voilées.



Je ne suis que le travailleur sur un clavier,

Un combat perpétuel entre moi et ma vie,

Une âme qui ne sait toujours pas où allé,

De forces extérieures qui me dictent ma conduite,

Un ensemble de mots incontrôlables,

Mais parfaitement dicter pour la continuité de lignes,

Une métaphore qui ressemble à de lien d’écrivain.



Je n’ai pas d’expérience du combat des proses,

Je me laisse bercer par un symbole ancré,

Chaque jour, une dictature prononcée de mots,

D’une prose d’un dieu ou d’une muse,

Quelque part enraciné à en découdre l’absolu,

Bien difficile aux discernements d’une muse ou d’un dieu,

Seul sur une feuille face aux contradictions de m’a personne.



Je suis devenu auto dictateur de lignes d’une mure ou d’un dieu.



NICOLLE Edmond le 25.05.11

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lundi 23 mai 2011

Une muse qui danse assoiffé de lignes

Ma tête tourne les pages sans fin d’une muse




Une muse qui danse assoiffé de lignes,

Dans mon corps un vertige de lettres,

Le regard aux saisons disparaitre de mots,

Une lourdeur me pèse à mes membres,

Ma tête tourne les pages sans fin d’une muse.



Je ne peux retourner à mon départ,

De lignes distribuées sur les continents,

J’échappe le passé de mes lignes hors clé,

Reste dans la poussière que le souvenir,

Ma tête tourne les pages sans fin d’une muse.



Toutes les saisons non pas de fin aux feuilles,

Je voudrais lire les lignes d’une saison,

Une vie sans une muse,

Un arbre au printemps se redresse de l’hiver sans mots,

Ma tête tourne les pages sans fin d’une muse.



Ma nuit ressemble au jour d’une muse,

Me relâchant d’une histoire présente,

J’écris pour me libérer de ma cage de mots,

Une page de plus d’une muse obligeante,

Ma tête tourne les pages sans fin d’une muse.



NICOLLE Edmond le 23.05.11

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vendredi 20 mai 2011

Nous passons notre temps à écrire des proses

Nous passons notre temps à écrire des proses




La poésie m’a vie,

J’ai pris le temps avec elle,

Avec une muse dans l’âme,

Ma complice de tous les jours,

Nous passons notre temps à écrire des proses.



Comme une drogue,

Ensemble nous sommes,

Un univers de ligues sur les doigts,

Elle pose je suis son ordonnance,

Nous passons notre temps à écrire des proses.



Comme une femme,

Je suis le compagnon de ces rêves,

Une vie commune,

Il n’en sort que le principal,

Nous passons notre temps à écrire des proses.



Je me lève,

J’ai le regard sur une muse,

Invisible, mais pressent à mon âme,

Nous sommes liés dans une éternité,

Nous passons notre temps à écrire des proses.



Je ne suis pas amoureux d’elle,

Elle me corrige et me dicte son langage,

Mon âme prisonnière de ces mots,

Ensemble sur un chemin de lignes,

Nous passons notre temps à écrire des proses.



NICOLLE Edmond le 20.05.11

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mercredi 18 mai 2011

Cache des rides, caches ses pleurs sous un masque de sires

Cache des rides,


Cache ses pleurs sous un masque de sires.



Comme un enfant,

Elle à grandit dans sa tête,

Une femme de tout âge,

Elle n’a pas changé,

Son regard toujours fixé,

Sous un déguisement de souvenirs,

Cache des rides d’une femme,

Cache ses pleurs sous un masque de sires.



Je n’étais pas près pour elle,

Son chemin n’étant pas le mien,

Je n’ai rien à voir à elle,

Cette femme d’une autre culture,

J’ai roulé dans la boue,

Elle la guerre de l’hypocrisie,

Cache des rides d’une femme,

Cache ses pleurs sous un masque de sires.



Un instant ensemble,

Les minutes ruineuses,

Elle n’est pas comme moi,

Nous finirions dans cette guerre,

Une guerre d’âge,

Une guerre de culture,

Cache des rides d’une femme,

Cache ses pleurs sous un masque de sires.



Elle a fermé sa porte,

Comme toujours dehors,

La douleur des deux cotés,

Elle à l’intérieur de l’histoire,

Moi sur le palier, mon histoire,

Ma culture au-dedans,

Cache des rides d’une femme,

Cache ses pleurs sous un masque de sires.



NICOLLE Edmond le 18.05.11

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dimanche 15 mai 2011

Ma vie


Ma vie

Libérer je suis,
Autant de fois qu’au temps,
Je cours au vent ma délivrance,
Sur des pas effaçables,
Je prends le sens, ma liberté,
Ma vie.

Ma poésie me suit,
Partout sur les chemins,
Demain je ne sais où,
Mes lignes sont en moi,
Entre moi et elles, l’autonomie,
Ma vie.

J’écris mon droit,
La plume sur mes doigts,
J’efface demain le passé,
Mes veines coulant,
Des artères de mots,
Ma vie.

Je suis fou,
Je raconte mon histoire,
Hier et demain,
Mon amour tient sur le défi,
Entre mes mots une disponibilité,
Ma vie.

Je cours,
Pas de lassitude ma prison,
Mes écrits sont mon billet,
Un allé simple en une muse,
Mon âme et mon corps,
Ma vie.

NICOLLE Edmond le 15.05.11




dimanche 8 mai 2011

Re: trop belle chanson d'amour - juste pour une nuit

trop belle et douce chanson d'amour!!!

La rose sera morte d'ici demain

La rose sera morte d’ici demain




Une rose absente,

Ne sortira pas cet été,

La terre trop rude à la fleuraison,

D’une tige restera que le nu,

Un semblant de sortir peu,

Le temps n’est pas au rendez-vous,

La rose sera morte d’ici demain.



Le regard dans le ciel,

De supplication d’homme,

Une lumière brulante,

Mes yeux assécher d’absence,

Je perds les couleurs d’une fleur,

Le temps n’est pas au rendez-vous,

La rose sera morte d’ici demain.



Grande ville,

Vous avez de la chance,

Vos roses sont très jolies,

Loin dans ma tourmente,

Je n’ai point d’eau à lui donner,

Le temps n’est pas au rendez-vous,

La rose sera morte d’ici demain.



Oh belle rose sont restés mes souvenirs,

Que j’ai tant aimé l’an passé,

Je ne savais pas que demain finissais,

Le temps d’une rose à mon jardin,

Celle que j’ai vu grandir entre mes mains,

Le temps n’est pas au rendez-vous,

La rose sera morte d’ici demain.



NICOLLE Edmond le 8.05.11

jeudi 5 mai 2011

Juste une goutte

Juste une goutte




Juste une goutte,

Je voudrais t’aimer encore,

J’entends un bruit de canon,

Une terre qui tremble,

Je perds mes souvenirs,

Une encre inépuisable,

J’écris…



Juste une goutte,

Mon corps devient sécheresse,

Je marche sur un horizon d’âges,

J’ai soif sur mon chemin,

Je ne peux étancher mon âme,

Une encre inépuisable,

J’écris…



Juste une goutte,

Une seule goutte,

Pourrais me venir à mon secours,

Me rafraichir d’une peau flasque,

Sur une feuille blanche,

Une encre inépuisable,

J’écris…



Juste une goutte,

J’écris dans un vide noir,

Comme des serpents tassés,

Dans une boite déshydrater,

De lettres blessées d’écrire,

Une encre inépuisable,

J’écris…



Juste une goutte,

Celle qui me fera sortir,

Mon âme d’une cellule,

Nourrir mes mots,

Juste une goutte pour elles,

Une encre inépuisable,

J’écris…



NICOLLE Edmond le 6.04.11

mardi 3 mai 2011

passes les poètes, passe le temps

Passes les poètes, passe le temps




Passes les poètes, passe le temps,

Une chanson dans les cœurs,

Des mélodies entonnées au vent,

Je chanterais toujours à l’amour,

Mon amante ma consœur,

Oui je chanterais toujours après toi.



Passes les poètes, passe le temps,

Resteras-tu toujours aux grés des poètes ?

Le cœur aux émulsions des orages,

Je réapparais d’une autre âme après des tempêtes,

Des millions de mots sortant de nulle part,

Je suis ce poète qui chante des mots pour toi.



Passes les poètes, passe le temps,

De la grisaille à la liberté,

Je chante toujours après le vent,

Des mots et des mots toujours,

Je surpasse le temps, les saisons,

La mort à la vie je chante pour toi.



Passes les poètes, passe le temps,

Mon cœur chante pour toi,

Toi qui me lis après la tempête,

Une autre ligne née du poète,

La naissance du poète,

Je n’ai pas fini mon poème.



Passes les poètes, passe le temps,

Mes lignes sur une feuille,

Passe le temps à dire,

À écrire avec le temps,

De la grisaille au ciel clair,

T’aimer toujours sur ma feuille.



NICOLLE Edmond le 4.04.11































Amelie Morin "Ecoutez la chanson bien douce " l'âme des poètes-Complet

Taylor Swift - Mine

Revers d'humillités

Revers d’humilités




Je pose mes songes,

Entre réalité et souvenirs,

Je suis sur un fil de vie,

Je respire d’espérances,

Une ligue d’amour,

Mes forces à une mère.



Je me cogne au temps,

D’illusions perpétuelles,

Je suis ce poète d’illusions,

Je transporte mon âme,

Sur un fil de rêve éternel,

Je me cogne à nouveau.



Une phrase sur mille,

Je n’ai pas la place d’un Dieu de foi,

Sur mon voyage aux questions d’aimer,

Une seule tient sans souverain, liberté,

Le cœur aux affrontements réalistes,

Le temps c’est brisé une fois de plus.



Revers d’humilités,

Je n’aurai pas à écrire le temps,

Mon histoire en toi,

Le temps au regard d’aimer,

Celle qui m’a laissé un jour sur une route,

Une route aux espoirs d’illusions d’aimer.



NICOLLE Edmond le 3.04.11