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vendredi 30 septembre 2016

J'ai le cœur sentimental

J’ai le cœur sentimental

Je me bats avec le temps,
Mes cris sur des pages,
J’ai oublié le temps,
Mon cœur qui voudrait éclater.

J’ai le cœur sentimental,
Un amour sans griffe de vous,
Ardu de me suivre ainsi à mon cœur,
Un voyage de poésies à des sentiments.

Non, vous ne savez pas,
Comment je suis devenu,
Ils m’ont crédité d’une foi,
Laver la tête de leurs mots.

J’ai le cœur sentimental,
Un amour sans griffe de vous,
Ardu de me suivre ainsi à mon cœur,
Un voyage de poésies à des sentiments.

Mes sentiments,
Mon cœur ressemble à de l’amour,
Un amour indéfinissable,
Mourir déjà loin de vous.

J’ai le cœur sentimental,
Un amour sans griffe de vous,
Ardu de me suivre ainsi à mon cœur,
Un voyage de poésies à des sentiments.

Mon corps est déjà loin de moi,
Plus près de vous à mes lignes,
Ne ressemblant en rien à vos pensées,
Un poète en voyage de lignes.

J’ai le cœur sentimental,
Un amour sans griffe de vous,
Ardu de me suivre ainsi à mon cœur,
Un voyage de poésies à des sentiments.

Je vous aime sans vous apercevoir,
Votre regard, j’en fais mon secret,
Vos mots vont droits à mes émois,
Le jeu établi d’un cœur en émotions.

J’ai le cœur sentimental,
Un amour sans griffe de vous,
Ardu de me suivre ainsi à mon cœur,
Un voyage de poésies à des sentiments.

Edmond NICOLLE
Le 30.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2295

jeudi 29 septembre 2016

J'en oublie le temps avec vous

J’en oublie le temps avec vous

Que sont devenus mes souvenirs,
Celles que j’ai aimées avant de partir,
Que des blessures à mon âme,
L’amour m’a pris à contre verse de vos vies,
J’ai beau réfléchir, je n’y arrive plus à comprendre.

Où et on parties depuis ces jours ?
Je regarde indéfiniment ce ciel,
Un ciel qui s’est tut à nos silences,-
Me foudroyant d’inexactitude à ma vie,
Des poésies qui n’en finissent jamais de dire.

Comment aimer encore quand tout s’efface ?
En moi, cet amour devenu des ombres,
Revenir ou devenir que des songes où espoirs ?
Mon corps qui ne peut s’attendre à des promesses,
Se pressent davantage à mes mots.

Je ne sais plus comment aimer encore,
Mon avenir est déjà dans les souvenirs,
Vous offensez davantage en mes mots !
Des rêves que je n’y crois plus à un amour sûr,
Tant rejeter de m’a personne imparfaite d’aimer.

Je vous recherche encore,
Mais vous êtes déjà plus ici avec moi,
Le temps a brisé nos espoirs sur des mots,
Des mots qui avaient besoin de réconforts, d’un amour,
Je repars sans vous revoir, vous êtes déjà loin de moi.

Je vous écris encore ces mots,
Un amour que je pensais, nous croyant plus forts,
Mais mon cœur n’a pas su vous dire les mots,
Un amour qui est devenu que des prières en exils de vous,
J’en oublie le temps avec vous.

Edmond NICOLLE
Le 29.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2294

mercredi 28 septembre 2016

l'amour passant loin de ma terre

L’amour passant loin de ma terre

Je me rappelle notre histoire,
L’amour est passé à me briser le cœur,
C’était hier, il y a soixante-sept ans,
Je n’ai jamais oublié cette mort,
L’amour passant loin de ma terre.

Tu m’as tué déjà avec lui,
J’ai pleuré des larmes de douleurs,
Mes larmes sont devenues mon défunt,
L’amour devenu mes silences,
L’amour passant loin de ma terre.

J’ai marché temps de tant sur des chemins,
Confondant les jours et mes nuits à mes noirceurs,
Le soleil brillant à mes larmes en voyage,
Une pluie confondue dans mes douleurs,
L’amour passant loin de ma terre.

Je ne connais pas l’amour réel,
Une enfance construite dans la violence,
Une vie impardonnable d’adultères,
Me liras-tu un jour, non, un enfant déjà disparu,
L’amour passant loin de ma terre.

Je ne peux pas vous aimer,
Je ne sais pas aimer,
Que des sentiments instables,
Une vie de voyageur sans fin,
L’amour passant loin de ma terre.

Edmond NICOLLE
Le 28.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2293

lundi 26 septembre 2016

Les poètes s'aiment ainsi à la vie

Les poètes s’aiment ainsi à vivre

Nos doigts serrés contre corps,
Loin de nous, les regards jalousés,
Rencontrer les mots qu’il faut.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Tu feras de moi, ta toile,
Je te ferais mes plus belles poésies,
Ensemble sur des notes fleuries.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Je sais que tu viendras un jour,
Ta demeure est ailleurs,
Nos routes se croissent à l’amour.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Nous irons à des voyages,
Brisé, les barrières interdites,
Nos cœurs à des rêves inassouvis.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Nous avons encore l’âge de nous aimer,
Nos mots ressemblent tellement à l’amour,
Que notre regard serait en accord d’aimer.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Embrassons-nous en nos lettres,
Embrassons nos corps ainsi,
Ensemble sur des chemins de l’amour.

Embrassons le temps des poètes,
Ensemble, un temps pour s’aimer,
Les poètes s’aiment ainsi à vivre.

Edmond NICOLLE
Le 27.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2292

Mon cœur restera dans ce port

Mon cœur restera dans ce port

Me saouler aux bruits des rocailles,
J’ai marché tant de fois à un destin,
Que mes pas, ce sont arrêtés ici,
Un jour épuisé de croire à la vie,
Mon port d’attache est ici en ligne.

Mon cœur restera dans ce port des lignes,
 Le reste du temps à écrire des proses avec elle,
Me promener dans ma solitude à me rendre fou,
Écrire pour une muse, une muse, un destin,
Épouser la folie de ces mots dans mon corps.

M’allonger, une éternité sur des falaises de son corps,
Entendre le chant des roulements incessant de son corps,
Plus rien ne peux me déranger, l’amour étant là à elle,
 Pas même le bruit  des chalands qui passent à nos horizons,
Le ciel bleu passant une danse de nues blanches.

Mon cœur restera dans ce port des lignes
 Le reste du temps à écrire des proses avec elle,
Me promener dans ma solitude à me rendre fou,
Écrire pour une muse, une muse, un destin,
Épouser la folie de ses mots dans mon corps.

Loin des cris assujettis, mon corps s’en est allé,
De mots devenus mes silences en encre noire,
Heureux de voir le temps qui passe sans penser à vous,
Mon amour devenu fidèle en ces mots,
Une muse qui me suit à mes jours.

Mon cœur restera dans ce port des lignes,
 Le reste du temps à écrire des proses avec elle,
Me promener dans ma solitude à me rendre fou,
Écrire pour une muse, une muse, un destin,
Épouser la folie de ses mots dans mon corps.

Je suis ce poète aux lignes aventureuses,
Demain, ma muse m’emmènera sur ces rives,
Nous musardant entre son encre et mon destin,
Aux falaises abruptes de notre amour singulier,
Moi et elle nous retirez des amours cupidons.

Mon cœur restera dans ce port des lignes,
 Le reste du temps à écrire des proses avec elle,
Me promener dans ma solitude à me rendre fou,
Écrire pour une muse, une muse, un destin,
Épouser la folie de ses mots dans mon corps.

Je ne veux pas toucher vos doigts sur mes lignes,
Trop difficile de s’entendre à un amour,
Je veux passer mon temps à écrire à mon amie,
Une muse qui m’aime depuis toujours à des rives,
Mon corps et mon âme sur une sépia d’encre poétique.

Mon cœur restera dans ce port des lignes,
 Le reste du temps à écrire des proses avec elle,
Me promener dans ma solitude à me rendre fou,
Écrire pour une muse, une muse, un destin,
Épouser la folie de ses mots dans mon corps.

Edmond NICOLLE
Le 26.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2291

samedi 24 septembre 2016

Amour fuyant avec le temps

Amour fuyant avec le temps

Coller sur une toile ma vie,
Mes traits changeant à ma vie,
Sur un miroir, mes histoires,
Je n’ai que faire du temps qui me reste,
Mon chemin et celui d’un amour, une liberté.

Aimer encore à la vie,
Un chemin tellement brutalisé à ma vie,
Je veux croire encore à cet amour, loin d’ici,
Un souhait, qui un jour sortira à mes silences,
Loin des amours traditionnels.

Je veux aimer ce qui me reste du temps,
Aimer à en perdre les raisons, aimer à l’amour,
Un ciel aux lumières étoilées à ma vie,
Franchisse les murailles des solitudes,
L’amour sur des pages à vous connaître.

Aimer encore !
Un monde qui n’est plus le mien,
Un amour qui vient et s’en va en tir d’aile,
Ainsi à apprendre à la vie, les faits passés,
Souffrir pour aller plus loin encore.

J’ai tant prié à une attente,
Une église qui m’a fermé ces portes,
Je suis revenu sur un banc d’une église,
Comme mes traits sur un visage remplis de remords,
Priant encore mon âme à ce Dieu loin de moi.

Je voudrais entendre votre souffle auprès de moi,
Qu’un vent m’amènerait à vous sans bruits,
Cet amour devenu infidèle à mon âme d’aimer,
D’amants qui souffleraient le temps d’une vie encore,
Nous aiment en des secrets aspirant de mots.

Amour fuyant avec le temps,
Mon destin et une vie sur des lignes,
Attrayant, un amour en espoir,
Mon atout rempli de sentiments à ma chair,
Ma liberté de vous aimer un jour prochain.



Edmond NICOLLE
Le 25.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2290

Danser feuille d'automne

Danser feuille d’automne

Mon cœur vous suit ainsi,
Doucement, mon corps au vôtre,
Sur l’automne amollis de nos jours,
Mon corps faisant danse avec vous,
Je transcende mon âme à vous.

Danser feuille d’automne,
Il me plaît d’être ainsi avec vous,
L’amour faisant gué à mon corps,
Couché à vos feuilles nues,
Espérant une venue d’un amour.

Je perds ma raison à vous,
Mon corps affligé de sens,
Je me bats contre nature,
Feuillage enrobent mon atout,
Mon corps à espérer à une raison.

Danser feuille d’automne,
Il me plaît d’être ainsi avec vous,
L’amour faisant gué à mon corps,
Couché à vos feuilles nues,
Espérant une venue d’un amour.

Je veux rester ainsi à vous,
Suppliant le ciel de me donner réponse,
Dans vos bois, l’amour attendant,
Peu importe le temps qu’il fera,
Sous la tiédeur de vos feuilles, j’attendrais.

Danser feuille d’automne,
Il me plaît d’être ainsi avec vous,
L’amour faisant gué à mon corps,
Couché à vos feuilles nues,
Espérant une venue d’un amour.

J’entends une voix apprêtent à mes mots,
Doucement brisent mon silence,
L’amour faisant oracle à mes sentiments,
Me préparant à son langage déjà averti,
Mon corps enlacé de ses mots.

Danser feuille d’automne,
Il me plaît d’être ainsi avec vous,
L’amour faisant gué à mon corps,
Couché à vos feuilles nues,
Espérant une venue d’un amour.

Doucement, une brise caressant nos corps,
Nos corps offerts de nature à ces bois,
Nudité sans accoutumance,
Les feuillages dansent de plus belles,
Exclament les couleurs d’un automne à nos corps.

Danser feuille d’automne,
Il me plaît d’être ainsi avec vous,
L’amour faisant gué à mon corps,
Couché à vos feuilles nues,
Espérant une venue d’un amour.

Edmond NICOLLE
Le 24.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2289

vendredi 23 septembre 2016

Entre les bras de l'amour

Entre les bras de l’amour

L’amour de toujours,
Dans tes bras, je me sens bien,
Une histoire de toujours,
Dans ton cœur des mots.

Entre les bras de l’amour,
Des amants fuyant le temps d’une histoire,
S’aimer tout simplement à un amour,
Coule dans nos yeux des larmes de bonheur.


Vient, je souffre bien trop,
Notre amour est sans égal,
Une histoire de sentiments et d’amitiés,
Une histoire qui passe tant vite sans toi.

Entre les bras de l’amour,
Des amants fuyant le temps d’une histoire,
S’aimer tout simplement à un amour,
Coule dans nos yeux des larmes de bonheur.

Être l’amant entre tes bras,
Coucher sur ton corps, mon ébullition,
Mon corps suppléant à des désirs intenses,
Je suis ce diable, l’amour à fleur de peau.

Entre les bras de l’amour,
Des amants fuyant le temps d’une histoire,
S’aimer tout simplement à un amour,
Coule dans nos yeux des larmes de bonheur.

Tu es mon invisible, mais désirable,
Fuir le temps d’hier et des nostalgies,
Vient m’enivrais de parfums,
Une aventure aux amants.

Entre les bras de l’amour,
Des amants fuyant le temps d’une histoire,
S’aimer tout simplement sans façon d’être,
Coulant dans nos yeux des larmes de bonheur.

Je te chérirais comme jamais je n’ai peut y arriver,
Entre nos bras, un désir à deux aux amants,
T’aimer plus loin qu’un diable à mon corps,
Le ciel s’ouvrira à nos corps libérés à l’amour.

Entre les bras de l’amour,
Des amants fuyant le temps d’une histoire,
S’aimer tout simplement sans façon d’être,
Coulant dans nos yeux des larmes de bonheur.


Edmond NICOLLE
Le 23.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2288

jeudi 22 septembre 2016

Tellement de rêves à l'impossible demain

Tellement de rêves à l’impossible demain

Des mots, des leçons,
Corrections d’une vie,
Interminables mots à mon oreille,
 Tromperie et supercherie du monde,
La vie est ainsi à des cellules censurées,
Tellement de rêves à l’impossible demain.

Le temps passe, je vous raconte mon histoire,
Déjà, mes mots ne résonnent plus de vérité à vous,
Tant d’histoires qui se sont passées,
Vous êtes une génération avec vos bruits,
J’écris mes mots pour des souvenirs en papier,
Tellement de rêves à l’impossible demain.

Je marche en solitaire des couples,
Une histoire d’hier qui n’est plus que du passé,
Orientation d’une vieillesse passant trop vite,
Mon corps en soubresaut d’un désir, mon échappé,
Désir intense d’un amour échappatoire d’une mort,
Tellement de rêves à l’impossible demain.

 Mon histoire ressemble à des silences,
Comme la vôtre, la mienne devenue poésie,
Tant de maux, tant de blessures en afflictions,
Notre liberté, c’est de croire encore à un peu d’espoir,
Brutalité du temps devenue des prières à tant de désirs,
Tellement de rêves à l’impossible demain.

Il me reste des pages, ensemble par des mots,
Écrire pour ne plus sombrer à nos nuits, seul (e),
Sentir encore ce parfum d’une fleur à nos lignes,
Des sentiments du cœur à partager en écrits,
Des sentiments d’un amour sur des lignes,
Tellement de rêves à l’impossible demain.

Edmond NICOLLE
Le 22.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2287

mercredi 21 septembre 2016

L'amour est passé comme la fleur aux saisons

L’amour est passé comme la fleur aux saisons

Les saisons s’en vont,
Comme l’amour au cœur des filles,
Je passerais encore la saison prochaine,
L’amour qui s’accroche à moi,
À vous guetter à vos mots,
L’amour est passé comme la fleur aux saisons.

Venaient mes lettres à ma saison,
Je suis bien seul à être amoureux,
Non, je ne veux pas mourir à demain,
Oh amour, je t’aime en mes mots,
L’amour est passé comme la fleur aux saisons.

Les feuilles tombent sur ma page,
Des couleurs jaunies avec mon âge,
Je vous aime malgré ma faute,
Le vent souffle à me dire pourquoi tu es si loin ?
L’amour est passé comme la fleur aux saisons.

Je suis le vagabond des saisons,
Dans le corps, mon sang coule des parfums,
Parfum de femmes à mes lignes,
Juste un temps sur des chemins de mes voyages,
L’amour est passé comme la fleur aux saisons.

Demain, l’amour sera au rendez-vous,
Des rendez-vous des amours abandonnés,
L’amour sur des écrits poétiques,
Demain, les saisons me diront peut-être le chemin,
L’amour est passé comme la fleur aux saisons.

Edmond NICOLLE
Le 21.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2286

mardi 20 septembre 2016

Immobile, le poète au temps des oubliés

Immobile, le poète au temps des oubliés

Je suis ce poète bien seul,
J’écris des poèmes à longueur de mes jours,
Mes lignes seules me parlent de vous,
Non, je mourais un jour sans vous,
Sur ma tombe, vous regarderez ailleurs,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

J’ai aimé dans mes silences,
Aujourd’hui, j’ai envie de vous aimer,
Mes lignes vous parlent d’amour,
Mais je suis bien seul sur mes lignes,
Une encre qui coule sur mes proses,  mon sang,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

J’attends vos lignes aux miennes,
Poésie des solitudes entre des poètes,
Le temps passe encore en espoirs,
Votre amour au mien, nous marierons nos mots,
Je veux croire même si déjà, vous êtes parties ailleurs,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

Je suis le solitaire, je marche pour vous chercher,
Vous aimez, compléter le temps en poésies,
Vous embrassez avec mes mots, nos lignes,
 Je veux être à vous, nos cœurs en fleurs champêtres,
Doucement glissés nos corps et nos âmes sur un parfum en proses,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

Poésie du temps, poésie de l’amour,
Je vous cherche avant mon départ pour un ciel à mes proses,
Je ne pourrais pas dire le temps, le dernier soupir de vous aimer,
Vous êtes avec mes mots, mon cœur à vous dire mes sentiments,
 Loin de vous, je m’éloigne encore vers un ciel éperdu de sens,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

Je suis seul, le poète qui vous cherche sur des lignes,
Un mot et tout deviens force en moi, ensemble,
Unir nos proses, unir mots, unir nos lettres ensemble,
Des poèmes, des poètes unissent en des lettres, leurs mots,
Désir de tout un instant avec vous, amis (e) poètes (esse),
Immobile, le poète au temps des oubliés.

Immobile, le poète au temps des oubliés,
Je veux oublier mes solitudes en vous, avec vous,
Désir de vous écrire, nous écrire ainsi,
Le temps de tant de silences à des lettres,
Ensemble, unir nos lettres, poètes du temps,
Immobile, le poète au temps des oubliés.

Edmond NICOLLE
Le 20.09.2016
Créateur de poésies depuis 1973
Texte n° 2285