Un instant
avec toi pour oublier nos jadis
Ensemble sur
un monde nouveau,
Vivre librement
à aimer,
Je ne veux
plus de mes exils de vie,
Trop de
nostalgie que je voudrais faire disparaître.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Un instant
avec toi, une éternité à t’aimer,
Oublier le
temps, vivre cet instant,
Nous chérir
comme une première fois,
En silence,
nos cœurs abandonnés sur nos lèvres.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Un instant
avec toi, une éternité en souvenir,
Oublier le
temps, vivre cet instant,
Nous aimer
comme une première fois,
En silence,
nos cœurs abandonnés à nos lèvres.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Un instant
avec toi,
Loin de ce
monde, loin des questions qui disent !
Des regards,
chaque jour se posant sur nous,
Vivre libre,
le temps qui nous reste d’une vie.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Une amitié, une
femme, une amante,
Une vie secrète
entre deux cœurs,
Mon amour
qui a tant besoin d’aimer,
Une amitié
entre deux amours délaissés du temps.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Je viens
avec mon amour vers toi,
Doucement, mon
cœur devenu être,
Je ne veux
plus revenir, à des nuits seules,
Naissent
déjà un autre amour à mon cœur.
Ma vie et
pour demain, ma liberté,
Oublier le
temps des formules interdites,
Briser cet
amour tant prisonnier au temps,
Mon cœur qui
a tant besoin de toi, d’un amour.
Edmond
NICOLLE
Le 01.09.2016
Créateur de
poésies depuis 1973
Texte n°
2269
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